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 toute première fois (ciaren #7)

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Shannen Weaver
Shannen Weaver
La crevette ingénue
☞ ÂGE : 17 ans. (22/04)
☞ STATUT : amoureuse de son pedobear. heureuse. rêveuse.
☞ PROFESSION : lycéenne emplie de rêves et d'espoirs ; baby-sitter d'un petit James.
☞ HABITATION : petit appartement à Thornhill avec sa mère.

☞ BAFOUILLES : 4147 ☞ PSEUDO : demon dance (emeline).
☞ AVATAR : elle fanning.
☞ CREDITS : Lolitaes.
☞ MULTI-COMPTES : aucun.

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MessageSujet: Re: toute première fois (ciaren #7)   toute première fois (ciaren #7) - Page 2 EmptyMar 13 Déc - 23:51

toute première fois

Naît-on deux fois ? Oui. La première fois, le jour où l’on naît à la vie ; la seconde fois, le jour où l’on naît à l’amour + Victor Hugo.

Shannen s'occupe de décorer la pièce, les draps, de les orner de bougies aux odeurs captivantes, de pétales de roses qu'elle arrache aux fleurs. Elle s'émerveille devant sa création, idéale et correspondant à celle imaginée. Elle esquisse un sourire enjoué lorsqu'elle observe le moindre détail de ce décor, puis se tourne vers Ciaran, tantôt pour le taquiner, tantôt pour lui révéler ses envies profondes. Elle se déplace jusqu'à lui telle une lionne, avant de prendre place contre ses cuisses et d'enserrer sa nuque de ses deux bras fins. Elle crée une proximité, efface toutes traces de distance, par un besoin viscéral de retrouver son corps. « Encore moins, mais je pense qu'aujourd'hui tu sauras le devenir. » Elle commente sincèrement en souriant tout contre sa bouche, amusée de lui lancer ces commentaires. Le blond est un impatient, un faux sage, qui se transforme en une véritable bête lorsqu'elle se tient entre ses doigts gourmands. Il la veut chaque fois, avec passion, l'air vorace toujours dégagé, pour la dévorer en une seule bouchée. Shannen est toutefois obstinée à l'idée de ne pas lui permettre ce soir, car cette première fois est précieuse à ses yeux, et elle se doit d'être divine, unique, inoubliable. Elle veut contrôler chaque petit détail, jusqu'au comportement que Ciaran doit adapter. Il comprend assez vite qu'elle espère de la douceur, de la lenteur, de la compréhension, le genre de partenaire dont toutes les gamines rêvent. Shannen sait qu'elle l'a entre ses mains, tout contre elle, et elle n'est pas prête à le laisser s'échapper. Alors qu'elle entreprend un pas vers lui, embrassant ses lèvres délicieuses, la blondinette se laisse surprendre par les contacts tentateurs de Ciaran. Il la caresse au niveau des fesses, la soulevant quelque peu lors de leur étreinte savoureuse, et profite de ce moment tendre pour embrasser les parcelles de son visage. Toute troublée, Shannen sourit davantage contre ses lèvres, caresse les cheveux contre sa nuque, le front posé contre le sien. Le moment l'apaise, extermine toutes les petites touches d'angoisse. Alors elle attrape la bougie de massage d'une main pour vérifier son état et lui propose ensuite de commencer. « La chemise je veux bien, mais la jupe tu es quand même un sacré profiteur. » Elle lève les yeux au ciel, soupirant faussement. Elle a beau avoir une part innocente, Shannen n'est pas idiote. Elle connaît bien son petit jeu, ses petits airs voraces. Il veut la dévorer des doigts et des yeux.

« Je l'espère bien car c'est le deal. Sinon je ne te donnerais pas le droit de me déflorer ! » Elle arrête pourtant de râler faussement lorsqu'il commence à déboutonner les boutons de sa propre chemise, la dénudant au fur et à mesure. Elle n'a plus de mouvement de recul, le laisse entreprendre sa démarche, trop captivée par le regard pénétrant qu'il lui lance. Il la sonde avec désir, affection - elle le sent au plus profond de ses tripes. Alors lorsque ses yeux font face à sa petite poitrine, elle vient doucement l'embrasser sans cette peur de décevoir, sans cette honte de ne pas posséder des courbes féminines et développées. Elle se redresse ensuite, tirant sur sa jupe et se tortillant pour la faire descendre, riant aux éclats quand elle bloque légèrement contre ses hanches. Elle s'abaisse de nouveau pour s'allonger de tout son long sur le matelas, donnant la liberté à Ciaran de la masser et de s'installer comme il le désire. Elle porte encore sa petite culotte, seule barrière à sa nudité, qu'elle dissimule toutefois puisqu'elle est allongée sur le ventre. Elle sent un poids au niveau de ses cuisses, très léger puisque le blond a pris le soin de poser ses jambes aux extrémités. Il fait glisser la cire chaude le long de son dos, avant de poser ses mains pour l'étaler. Il débute par ses épaules, pour soulager toute la nervosité qui reste coincée à ce niveau. Il insiste et appuie fortement mais avec sensualité, sur les points qui menacent de bloquer son dos. Il lui accorde un moment plein de douceurs, la détend, s'applique dans des poignes fermes, mêlées à des caresses délicates. Shannen ferme les paupières, savoure ce contact agréable qui l'apaise pleinement. C'est si appréciable de se laisser bichonner par cet homme, quand il cède à ses désirs - ou caprices. Elle soupire même parfois lorsque le plaisir lui envahit totalement les tripes. Elle se sent excitée de plus en plus, à chaque toucher, Ciaran renforçant son désir au creux de ses reins et au fil des minutes. Elle a envie de lui, c'est indéniable, et dans un moment d'égarement, elle décide de lui montrer. Elle plie son bras en arrière pour attraper sa grande main dans la sienne, freiner son massage, et les diriger sous son corps. Elle loge leurs doigts contre son intimité, sous son bas mouillé par le désir qui explose en elle.
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Ciaran O'Malley
Ciaran O'Malley
Le crevettlover
☞ ÂGE : 39
☞ STATUT : sous le charme d'une femme enfant aux formes juvéniles, mais pourtant exquises, qui se trouve être l'amie proche de sa propre fille et l'enfant de son meilleur ami. Une demoiselle qui devrait lui être interdit, mais qui l'attendri par ses airs solides et fragile à la fois. père célibataire de Summer, 13 ans.
☞ PROFESSION : musicien, interprète, compositeur. Il joue seul, parfois avec des musiciens rencontrés au hasard d'une salle de concert, mais ce n'est pas de la musique qu'il vit. Pour payer ses factures, il enchaine deux postes de serveur, un dans un restaurant assez chic et l'un dans un bar branché, six jours sur sept. Cela permet de vivre correctement sans extravagance.
☞ HABITATION : RAVENTHORPE

☞ BAFOUILLES : 1382 ☞ PSEUDO : mary
☞ AVATAR : boyd holbrook
☞ CREDITS : avengedinchains
☞ MULTI-COMPTES : Judson Sherpherdson, le lieutenant de police, coupable d'aimer son meilleur ami.

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MessageSujet: Re: toute première fois (ciaren #7)   toute première fois (ciaren #7) - Page 2 EmptyJeu 22 Déc - 17:53

toute première fois

Naît-on deux fois ? Oui. La première fois, le jour où l’on naît à la vie ; la seconde fois, le jour où l’on naît à l’amour + Victor Hugo.

Il est convié à ouvrir le bal, à effleurer ses formes pour lui administrer des caresses à la fois apaisantes et taquines, afin d’apprivoiser ses formes, lui permettre de se détendre et il compte bien s’y appliquer. En effet, il est disposé à devenir un amant sage, attentif aux besoins de son amante, bien plus qu’en accoutumé. Il a parfaitement conscience de l’innocence de l’adolescente, ce qui l’amuse tout comme l’attire d’autant plus. Il doit bien admettre que l’idée de la défleurir est source de fierté, mais également est un honneur qu’elle lui donne. Résultat, il veut lui offrir une nuit à l’image de celle qu’elle s’était visualisée dans ses fantasmes. Seulement, elle ne peut pas l’empêcher d’être lui-même et d’avoir envie de profiter de la situation pour satisfaire ses propres desseins. Bonne joueuse, elle ne manque pas de le taquiner, le remettre sur le droit chemin. « Quelle idée !? Moi, un profiteur ? » Il questionne en haussant un sourcil, le regard mutin. Un sourire franc orne ses commissures alors qu’il s’applique à lui défaire son chemisier. Il frôle sa chair par inadvertance, retrouver le galbe de ses seins fins qu’il a déjà caressé précédemment. Il a hâte d’y gouter de nouveau, de laisser ses lèvres recouvrir leur chair et de les sentir s’affermir sous ses baisers et coups de langues. On ne le refait pas. Il sait bien à quel point les femmes en refoule, tout comme lui. Pourtant, il demeure sage, tient sa promesse et savoure le baiser qu’elle lui tend. Il laisse ses lèvres caresser les siennes, guérir sa langue pour un baiser sensuel qui perdure tandis que la demoiselle s’efforce de retirer sa jupe difficilement. Il rit naturellement avec elle, à la fois amusé et satisfait d’obtenir ce qu’il désire. Son regard pétille de malice. A vrai dire, il a l’impression de redevenir un adolescent avec elle et cela à une saveur singulière, rafraichissante qui provoque d’étranges sensations au fond de ses tripes. Il adore cette saveur qui gagne ses sens. Il finit par la laisser s’échapper, prendre place sur le matelas et il vient se positionner autour de son corps soumis à ses doigts. Il profite de la vue, ressent quelques pensées coquines envahir son esprit, notamment dans les positions qu’il pourrait expérimenter avec une vue somptueuse sur ses formes attirantes, bien que délicates. C’est un homme, on ne le refait pas. Seulement, il garde les idées claires, s’applique à sa mission, laisse le liquide tiède de la bougie s’épandre sur la peau rosée de sa future amante. Ses doigts viennent rejoindre la danse, savoure la chaleur de sa chair tandis qu’il lui prodigue un massage dont il est le maître. Il appuie sur les points stratégiques, éveille les sens et le désir de l’adolescente qui savoure sa prestation. Il la sent se détendre, exprimer plus librement le plaisir qu’il engendre en elle. Elle finit par gémir, l’excite par la simple entente de ce son qu’il juge mélodieux et il s’enivre de l’odeur qui se dégage de sa peau fruitée. Ses mains respectent sa promesse. Elles demeurent timides, ne se font pas plus perverses. Le feu qu’il provoque au creux des reins de l’adolescente semble plus violente seconde après seconde, tant et si bien qu’elle capture sa menotte de la sienne, l’immisce au creux de sa culotte pour qu’elle puisse savourer l’état de fébrilité dans lequel elle la plonge. La moiteur de sa fleur accroit son appétit. Il sourit, mordille sa lèvre tandis que le bout de ses phalanges s’immisce naturellement au creux de cette fleur pour lui procurer un plaisir plus conséquent. En appui sur son bras, il s’applique à frôler son bouton de chair à le titiller avec dextérité. Il ne commente pas, la laisse savourer ce plaisir qu’il lui procure en insistant bien sur ce point sensible. Il la trouve désirable. « Tu veux que je continue ou tu désires apprivoiser mes formes. » Il murmure contre son oreille qu’il embrasse faiblement tandis que ses doigts poursuivent leur taquinerie. C’est à elle de décider après tout. Il est tout excité.
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Shannen Weaver
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MessageSujet: Re: toute première fois (ciaren #7)   toute première fois (ciaren #7) - Page 2 EmptyLun 26 Déc - 11:30

toute première fois

Naît-on deux fois ? Oui. La première fois, le jour où l’on naît à la vie ; la seconde fois, le jour où l’on naît à l’amour + Victor Hugo.

Shannen se dévêtit sous le regard intéressé du blond, retire sa jupe et son haut, avant de s'allonger sur le matelas, simplement habillée d'une fine culotte. Elle lui permet de caresser son corps, le rend accessible sans ces couches de vêtements. Elle ne refuse pas un massage, même si elle l'a un peu contraint. Elle savoure ses mouvements fermes contre son dos, ses épaules. Elle profite de cet instant où il se plie à ses besoins, se livre à des caresses agréables et apaisantes. Toute sa nervosité s'envole pour laisser place seulement au désir, qui l'envahit pleinement et devient obsédant. Il le pousse même à attraper sa grande main au cœur de la sienne pour l'accompagner à l'intérieur de son bas. Elle a envie qu'il frôle sa féminité, la recouvre de coups de main graciles et experts comme il en a pris l'habitude. Et il lui accorde ce qu'elle désire, glissant ses doigts contre son clitoris pour le titiller avant d'en fondre délicatement au creux de son intimité. Shannen ne peut s'abstenir de pousser des gémissements, son excitation bien activée au contact de ses longs doigts chauds. Il la fait vibrer durant quelques secondes, s'enfonçant plus intimement en elle, jusqu'à lui proposer deux alternatives : continuer ou apprivoiser ses formes masculines. Shannen sourit, tremblant légèrement à son mordillement contre son oreille. Elle exerce une pression contre sa main pour le retirer d'elle, afin de pouvoir se tourner pour lui faire face. « Les deux. » Elle rit avec amusement contre ses lèvres, qu'elle s'accapare avec passion et désir plusieurs secondes. Elle lui laisse un libre accès à sa féminité et ses seins dénudés, qu'il peut goûter et caresser à sa guise et sans modération... Elle entoure son cou de ses bras fins pour le tirer vers elle et que leurs corps se heurtent avec envie. Il la recouvre de son corps mais elle s'occupe seulement de river ses yeux sur lui, captivée par ses traits soulagés, emplis de beauté et d'assurance. Ciaran est le plus bel homme qu'elle n'a jamais vu. Même Ryan Gosling est détrôné et hors compétition. Et elle ne le pense pas parce qu'il est son homme. Juste parce que c'est ainsi. Elle retire sa culotte, moins complexée car il ne peut pas l'apercevoir sous la couette qu'elle a tirée sur eux, encore trop nerveuse de le laisser la contempler avec insistance. Elle glisse ses mains le long de son dos puis contre le bas, à l'extrémité de ses fesses pour baisser son boxer et laisser sa virilité bondir à l'extérieur. Très excitée et désireuse de sentir l'ampleur de son désir pour elle, Shannen redresse son bassin vers celui de Ciaran pour joindre leurs intimité. Elle la frotte perpendiculairement contre son sexe tendu : ses lèvres s'écartent dans des coups de vas et viens sensuels de son sexe gonflé. C'est cruellement délicieux, et en plus de titiller le bord de sa féminité, cela semble cruellement plaire à son amant, dont la virilité se pompe de tout son désir. Shannen sourit en le regardant à la fois avec amusement et amour. Elle l'aime son blond, a envie de lui et lui montre simplement en réalisant ses envies. Elle cesse de se pencher vers l'avant et retrouver le confort du matelas. Nue contre lui, elle est troublée, chamboulée. Elle se perd dans ses yeux clairs, contre sa bouche savoureuse, et vient lui caresser le torse. Elle apprécie frôler ses courbes du bout de ses doigts, de découvrir des muscles sous la pulpe de ses doigts. Puis elle glisse une main contre sa virilité tendue pour lui prodiguer des caresses luxuriantes. Un peu maladroite dans sa démarche et le positionnement de satin car c'est la premiere fois qu'elle exerce une masturbation. Elle rougit, perturbée de le sentir entre ses doigts, mais surtout peur de mal s'y prendre avec un homme aussi expérimenté que lui. Elle espère convenir et ne pas trop jouer à l'adolescente dans ses mouvements. « Comme ça ? » Elle l'interroge dans son regard, illuminé par un brin d'innocence.
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Ciaran O'Malley
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☞ STATUT : sous le charme d'une femme enfant aux formes juvéniles, mais pourtant exquises, qui se trouve être l'amie proche de sa propre fille et l'enfant de son meilleur ami. Une demoiselle qui devrait lui être interdit, mais qui l'attendri par ses airs solides et fragile à la fois. père célibataire de Summer, 13 ans.
☞ PROFESSION : musicien, interprète, compositeur. Il joue seul, parfois avec des musiciens rencontrés au hasard d'une salle de concert, mais ce n'est pas de la musique qu'il vit. Pour payer ses factures, il enchaine deux postes de serveur, un dans un restaurant assez chic et l'un dans un bar branché, six jours sur sept. Cela permet de vivre correctement sans extravagance.
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MessageSujet: Re: toute première fois (ciaren #7)   toute première fois (ciaren #7) - Page 2 EmptyLun 2 Jan - 23:12

toute première fois

Naît-on deux fois ? Oui. La première fois, le jour où l’on naît à la vie ; la seconde fois, le jour où l’on naît à l’amour + Victor Hugo.

Ses phalanges prodiguent des caresses exaltantes au creux du bassin de l’adolescente, qui la rendent particulièrement fébrile. Cette réalité le ravit, l’envoute, l’excite profondément. Il est délicieux de sentir la moiteur de sa fleur se mêler aux mouvements de ses doigts, comme l’érotisme des gémissements de plaisir qui s’extirpent de ses lèvres qu’il aime savourer. Il demeure sage dans ses actions afin de respecter la promesse qu’il lui a faite. Il désire lui fournir le fantasme qu’elle a envisagé pour sa première fois. Il la laisse avoir le contrôle sur ce qu’il va se passer, car il trouve cela à la fois envoutant et amusant. Il redevient un adolescent et ne pense qu’à partager et savourer cette complicité évidente entre eux. Il est tout excité de l’avoir entre ses doigts, mais la laisse se dégager de son emprise pour se retourner face à lui. Elle lui permet par cette action une vision enchanteresse sur sa poitrine fine qu’il désire ardemment frôler, dévorer de ses doigts et de ses lèvres. Elle désire qu’ils partagent la suite, qu’ils mêlent leurs actions pour attiser le désir de l’autre. Il lui sourit, satisfait par  sa réponse avant de laisser ses lèvres retrouver avec passion les siennes. Sa langue retrouve sa comparse, leur échange devient brûlant face au plaisir qui les grignote avec force. Elle oblige à une étreinte intime qu’il lui offre sans rechigner. Son torse retrouve son buste, sa poitrine heurte délicatement sa peau, active d’autant plus son désir face au contact ferme de sa pointe. Il la laisse agir, s’enivre juste de son odeur délicate, du frôlement entre leurs deux corps presque dénudés. Il la sent retirer sa petite culotte et cela active d’autant plus son excitation. Elle est désormais nue sous son corps en demande. Cette sensation grise tout son être et il laisse son corps être frôler par ses menottes délicates. Elles frôlent les muscles de son dos, glissent le long de ses fesses pour lui retirer son boxer, qui se perd au creux de ses cuisses. Leurs corps cachés par les draps, il lui impossible d’exposer fièrement sa virilité tendue, mais son ampleur est telle qu’elle demeure très perceptible. Shannen doit sentir sa force, sa chaleur proche de son bassin. Contre toute attente, Ciaran plongé dans ces baisers qu’il partage avec l’adolescente, il sent son désir s’accroitre profondément au contact de la moiteur contre la courbe de sa virilité. Une action coquine qui lui fait un effet dingue. Il savoure ce contact, laisse la fournaise qu’il procure grignoter ses reins. Il lâche un gémissement contre ces lèvres gonflées par les baisers qu’ils s’offrent avec plus d’appétit. Il dit mot, sourit juste à l’adolescence tandis que son désir grimpe avec violence. Sa virilité devient plus ferme, gonflée par le désir face au liquide humide qu’elle dépose contre sa protubérance titillée. Il sait que cette proximité s’assimile déjà à un acte sexuel, qu’il devrait se protéger, mais il n’a pas le déclic à cet instant. Il se délecte de cette chaleur humide qui le recouvre et active son désir de s’immiscer au creux de ses reins. Pourtant, cette sucrerie délicieuse s’évanouit pour lui laisser un gout d’inachevé au fond de la bouche. Cela le frustre, mais il ne fait rien pour imposer de nouveau ce contact. Il la laisse dompter ses formes, se tient juste en équilibre sur ses avants bras pour ne pas l’écraser de son poids. Il savoure les frisons que ses caresses lui prodiguent. C’est exquis et lorsque ses phalanges féminines retrouvent sa protubérance, un soupir de bien-être s’exprime naturellement de ses lèvres. Elle le questionne sur son initiative. Elle semble tellement innocente, inexpérience que cela l’attendrit profondément. Alors naturellement, une de ses mains libres vient glisser jusqu’à la sienne pour la guider. Il lui montre le rythme à prendre, vient titiller la pointe de sa virilité pour qu’elle puisse entrevoir l’effet grisant que cela lui procure. « Tu peux jouer comme ça, accélérer le mouvement ou le rendre plus lent. Tu peux même modifier la pression de tes doigts pour modifier le plaisir que tu désires procurer. » Il déclare avec douceur contre ses lèvres qu’il vient embrasser avec délicatesse. Sa bouche s’entiche de sa comparse, dévore avec appétit celle-ci tandis que ses doigts viennent frôler sa poitrine, le creux de ses cuisses. Il enveloppe de nouveau sa féminité de ses doigts pour lui prodiguer des cajoleries, qui sauront lui tourner la tête. Il s’applique avec dextérité et douceur. Il lui donne tout pouvoir sur son excitation, la laisse envahir ses muscles de la chaleur de ses doigts sans pour autant la contrôler. Il partage avec elle, cette fournaise qui le consomme avec rage et s’enivre de son odeur, de son contact. Il meurt d’envie de la posséder et ces gémissements s’intensifie sous la pression de ses doigts timides, mais avides de lui offrir le même plaisir qu’il lui procure. Sa bouche glisse contre sa nuque, sa clavicule, le creux de sa poitrine avant de lécher sa peau accessible. Il titille ce bouton de char de sa langue. Il est petit et délicat, mais gonfle sous la pression exercée. Une poitrine de crevette, mais qui attise ses sens. Il réalise ses fantasmes tout en demeurant doux et attentif, terriblement envieux  de découvrir une intimité plus profonde avec elle.
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MessageSujet: Re: toute première fois (ciaren #7)   toute première fois (ciaren #7) - Page 2 EmptyMer 4 Jan - 11:18

toute première fois

Naît-on deux fois ? Oui. La première fois, le jour où l’on naît à la vie ; la seconde fois, le jour où l’on naît à l’amour + Victor Hugo.

Ciaran semble apprécier l'initiative de l'adolescente, qui s'empresse de continuer ses mouvements de frottement contre sa virilité plus tendue à chaque passage humide de sa féminité. Elle se délecte de sa respiration saccadée, de ses traits plus apaisés. Ciaran est beau lorsqu'il se laisse emporter par le désir qui le consume ; lorsqu'il se laisse embraser par l'excitation qu'elle essaye de lui apporter. Jeune fille inexpérimentée, Shannen tente toutefois de se détacher de ce rôle pour ne pas qu'il lui colle trop à la peau. Elle aimerait que cette première fois soit un partage, une complicité ; de la douceur, des préliminaires. Ses mains aussi doivent le frôler, le sentir, l'apprivoiser, pour que le climat devienne chaleureux, sensuel. Elle n'a aucune envie de se donner à l'arrache, d'entreprendre cette luxure rapidement, sans sens ni véritable fougue. Elle veut prendre le temps de s'habituer à sa peau chaude contre la sienne, à s'exciter. Elle veut l'aimer durant l'acte, et apercevoir un brin d'affection au creux de ses regards, dans ses gestes ou baisers. Elle veut sentir ce sentiment tendre lui envelopper les sens, le cœur, pour lui laisser un goût de septième ciel. Alors elle s'applique, fait preuve de délicatesse pour se montrer adroite et attentive. Elle exerce une pression légère le long de sa virilité, qu'elle recouvre d'une main pour lui prodiguer quelques caresses qu'elle espère luxuriantes. C'est agréable de le sentir si dur contre sa paume, de s'apercevoir qu'il la désire à un point peu croyable. Elle, petite adolescente aux formes peu développées. Elle, petite crevette insignifiante. Elle se sent chanceuse d'être frôlée du bout de ses doigts, de sentir ses lèvres parsemer sa peau de quelques baisers doux, et sa bouche de certains plus passionnés. Son coeur bat à cent à l'heure, est-ce qu'il le ressent ? Elle frissonne à son contact, ou lors des croisements de regards. Elle se sent si fébrile à cet instant, si bien qu'elle lui demande conseil concernant sa masturbation. Il la guide d'un air prévenant, lui dicte les alternatives possibles pour contrôler cette gourmandise, rendre le désir plus important selon l'accélération prise. Il prend même ses doigts au creux des siens pour rythmer ses gestes, la diriger plus activement. Elle écoute, se montre patiente, et le laisse titiller son bout grâce à sa main frêle. Ses mains deviennent moites avec le trouble qui l'agite, alors elle espère que ça ne retire en rien l'excitation qui l'anime. Elle continue toutefois comme il lui a indiqué lorsqu'il lâche sa main pour la laisser faire. Elle se montre plus ferme et lente, adroite aussi, prenant ses aises au fil des secondes. Ses yeux restent plantés dans les siens, pour apercevoir ses réactions. Elle veut seulement s'assurer que le rythme est approprié, excitant. Il semble apprécier, puisque ses doigts viennent caresser son corps pour se loger au creux de son intimité. Elle gémit fortement lorsqu'ils s'enfoncent en elle avec délicatesse, s'accroche à son cou de sa main libre. Et quand sa bouche vient titiller sa fine poitrine, et notamment ses boutons de chair, son dos se courbe pour se tendre davantage vers ses lèvres gourmandes. Elle ferme les paupières et explose tout son plaisir par des cris de plaisir à l'intérieur de la chambre. Heureusement que Summer n'est pas présente au sein de l'appartement. Elle se sent toute mouillée au niveau de sa féminité, toute tremblante, fébrile. Le désir conséquent qui la submerge la fait vaciller. Elle a envie de lui, de lui sauter dessus. Elle a relâché la pression sur son sexe, totalement happée par son excitation. Il en rajoute, cela se sent dans ses mouvements. Il veut lui faire atteindre l'orgasme par ses doigts et sa bouche, cela se sent. Et il y arrive, elle tremble des jambes et explose dans un dernier gémissement bruyant. Il la rend folle. Alors quand il freine ses mouvements, elle peut se ressaisir légèrement, caresser sa nuque pour exprimer son envie. « Tu peux Cia... Je me sens... » chaude, excitée, coquine... Elle a envie de le sentir en elle, qu'il envahisse son intimité, qu'il lui retire la pudeur et la rende femme. Elle le veut à un point inimaginable. Son ventre se tord, ses reins s'enflamment de plus bel. Elle veut juste écarter les cuisses pour qu'il se fonde en elle. Et c'est ce qu'elle entreprend, glissant ses jambes autour de lui pour lui donner un accès à sa féminité. Elle le laisse appliquer le préservatif, elle n'a pas envie de demeurer maladroite. « Prête. Oui, ça doit être le bon mot. » Elle sourit contre sa bouche, les traits déjà éreintés par le flot de désir qui la consume. Elle prend seulement le temps de démarrer une musique en deux trois mouvements sur son portable, Je t'aime moi non plus de Jane Birkin et Serge Gainsbourg, ayant toujours rêvé de faire l'amour sur cette mélodie sensuelle. Elle le repose sur la tête de lit et se raccroche à sa nuque, venant l'embrasser tendrement.
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Ciaran O'Malley
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☞ PROFESSION : musicien, interprète, compositeur. Il joue seul, parfois avec des musiciens rencontrés au hasard d'une salle de concert, mais ce n'est pas de la musique qu'il vit. Pour payer ses factures, il enchaine deux postes de serveur, un dans un restaurant assez chic et l'un dans un bar branché, six jours sur sept. Cela permet de vivre correctement sans extravagance.
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MessageSujet: Re: toute première fois (ciaren #7)   toute première fois (ciaren #7) - Page 2 EmptySam 7 Jan - 23:43

toute première fois

Naît-on deux fois ? Oui. La première fois, le jour où l’on naît à la vie ; la seconde fois, le jour où l’on naît à l’amour + Victor Hugo.

La danse lascive qu’ils entreprennent a une saveur exquise. En gentleman, avide d’offrir à l’adolescente une première fois à la hauteur de ses fantasmes, Ciaran s’applique à éveiller ses sens en douceur, dans une complicité et intimité qui les caractérise par sa simplicité. Il se laisse embarquer par les sensations exquises qu’elle provoque par ses caresses sensuelles sur sa chair et sa virilité. Il sent son inexpérience, mais elle a une saveur grisante qu’il ne saurait expliquer. Cela l’attendri, comme l’amuse, mais surtout, l’ainé s’obstine à la détendre, lui faire perdre toute pudeur et angoisse. Il semble y parvenir et il se laisse entrainé en réalisant ses propres fantasmes. Il prend possession du désir de l’adolescente avec une expertise qui lui est propre. Il la dévore avec douceur, ambition, mais franche. Ses doigts s’immiscent au cœur de sa féminité pour titiller ces points sensibles qu’il savoure titiller. Sa bouche contre sa fine poitrine, il s’applique à savourer sa chair salée qu’il a tant désirer parcourir. Il la sent à sa merci, plus fébrile que jamais et cela l’excite cruellement. L’adolescente doit le sentir sous ses mouvements de mains timides qui enchantent sa virilité. Cela le rend plus gourmand, conquérant et plus il l’excite, plus cela le rend dingue. Il cherche à la faire jouir, savoure ses cris d’extase qui s’extirpent franchement de ses lèvres et enveloppent sa chambre d’une ambiance érotique, bercée par les bougies et pétales de roses mises en place par l’adolescente. Il est conquis par l’ambiance délicieuse que cela créé. En conséquence, son désir demeure puissant, plus que jamais conséquent, quand il la sent atteindre le paroxysme du plaisir. Il relâche la pression de ses lèvres pour l’admirer atteindre ce point de non-retour avant de s’étaler dans les draps. Une fleur en pleine éclosion, terriblement tentante. Si ça ne tenait qu’à lui, ses lèvres retrouveraient sa féminité pour savourer son breuvage, recréer une exaltation des sens de l’adolescente pour obtenir le droit de la défleurir, lui retirer tout innocence du bout de son épée, qui ne demande qu’à se perdre au creux de sa fleur ouverte. Il sourit à ses paroles. L’amant est satisfait de gagner ce droit qu’il désire. En conséquence, son bras attrape une protection qu’il vient ouvrir du bout de ses dents avec une expertise qu’il a acquise au cours de ses soirées de débauche. Il sent qu’elle le veut, que ce désir lui prend les tripes autant à Shannen, qu’à lui. Il savoure la vision qu’elle lui offre, sans vraiment l’entrevoir. Il sent ses cuisses se perdre autour de ses hanches pour lui permettre d’accéder à elle. Il revêt ce bout de protection nécessaire à l’aveugle, laisse un soupir de bien-être s’échapper de ses lèvres lors du passage de sa main. Il se sent à l’étroit, impatient, gourmand et désireux de découvrir ce corps immaculé. Pourtant, il attend son feu vert qu’il obtient avant qu’elle ne diffuse une mélodie particulièrement sensuelle à la sonorité française. « C’est celle que tu voulais pour ta première fois ? » Il questionne contre ses lèvres qu’il embrasse délicatement. En appui sur ses avants bras, il glisse une de ses mains entre leurs deux corps bouillants pour guider sa virilité au cœur de sa féminité. Son épée retrouve la moiteur de sa fleur, s’enfonce en elle dans un mouvement de bassin très lent. Il savoure cette caresse humide et étroite, grogne de plaisir à l’idée de s’enfoncer en elle, la posséder comme dans ses fantasmes. Il jure de plaisir, continue d’investir son corps sans se montrer violent ou impatient. Il la laisse s’habituer à son intrusion, laisse son bassin se coller au sien, jusqu’à qu’il ne puisse plus. Sa main libre caresse l’une de ses aines, sa hanche avec douceur avant de remonter sa taille. « Tout va bien ? » Il questionne avec inquiétude pour entrevoir si ce contact lui est plus douloureux que plaisant. Il sait la douleur inévitable, mais désire l’atténuer. En conséquence, sa main caresse sa fine poitrine tandis que ses lèvres glissent contre sa nuque, son oreille pour la détendre. « Laisse-toi juste aller, embarquer par mes mouvements. » Il murmure alors qu’il opère un léger mouvement de bassin pour créer le frôlement nécessaire pour activer leur extase à tous les deux. Sa main nichée contre sa poitrine glisse le long de son ventre pour rejoindre son bouton de chair au creux de ses cuisses, contre sa virilité brûlante de désir. Il demeure doux dans ses mouvements tandis que ses doigts titillent ce bouton de plaisir. Il compte bien la faire planer, lui offrir le plaisir qu’un adolescent n’aurait pas pu lui procurer. Il veut la faire devenir une véritable femme et il la possède en tant que tel. Il brûle d’envie de se mouvoir avec érotisme en elle. « Tu es belle... » Il admet contre son oreille alors que son bassin se fait plus gourmand. Il a juste envie de se perdre en elle. Cette sensation est cruellement exquise.
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Shannen Weaver
Shannen Weaver
La crevette ingénue
☞ ÂGE : 17 ans. (22/04)
☞ STATUT : amoureuse de son pedobear. heureuse. rêveuse.
☞ PROFESSION : lycéenne emplie de rêves et d'espoirs ; baby-sitter d'un petit James.
☞ HABITATION : petit appartement à Thornhill avec sa mère.

☞ BAFOUILLES : 4147 ☞ PSEUDO : demon dance (emeline).
☞ AVATAR : elle fanning.
☞ CREDITS : Lolitaes.
☞ MULTI-COMPTES : aucun.

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MessageSujet: Re: toute première fois (ciaren #7)   toute première fois (ciaren #7) - Page 2 EmptyDim 8 Jan - 21:48

toute première fois

Naît-on deux fois ? Oui. La première fois, le jour où l’on naît à la vie ; la seconde fois, le jour où l’on naît à l’amour + Victor Hugo.

Après quelques préliminaires explosifs et sensuels au goût de Shannen, Ciaran attrape un préservatif pour l'enfiler avec expertise, tandis que l'adolescente démarre une mélodie lascive et française pour rythmer l'ébat qui se rapproche. Elle l'autorise à commencer sa manœuvre, excitée et désireuse de le recevoir en elle. Personne n'a encore exploité cette intimité et elle est impatiente de connaître, même sentir, les sensations de cet acte. « Oui, je la trouve érotique. J'aime bien cet artiste pour ce que j'en comprends. » Elle déclare simplement avant de se positionner convenablement et d'entourer sa taille de ses jambes. Elle rend sa féminité plus accessible, et Ciaran ne perd pas un instant pour se fondre en elle délicatement, aidé de sa main pour s'insinuer moins brusquement. Son mouvement est lent, il se faufile avec douceur, pour atteindre la profondeur de sa cavité. Elle extirpe une plainte de ses lèvres, en mordillant une au passage, tant la douleur se propage dans son corps. Elle est pourtant détendue, prête à savourer cette étreinte lascive. « Ça fait un peu mal. Mais t'arrête pas. » Elle préfère persévérer plutôt qu'abandonner en cours de chemin, surtout que la souffrance ne tardera pas à s'envoler. Ses caresses contre son corps, ses seins, sa taille, ainsi que ses baisers au creux de son cou, suffisant déjà à l'apaiser davantage, à détendre totalement ses muscles. Et plus son bassin se mouve contre le sien, avec délicatesse et tendresse, plus Shannen soupire de plaisir contre sa bouche fiévreuse. Elle se délecte totalement de cet échange lorsque Ciaran décide de recouvrir son clitoris de son pouce, pour la titiller avec agilité, et accentuer son excitation. La bouche entrouverte, la tête balancée en arrière et les bras autour de son cou, Shannen jouit avec puissance. Le désir est conséquent, et le plaisir inonde toutes ses tripes. Elle se laisse emporter par ses mouvements voluptueux comme il lui a conseillé de faire. Elle vient embrasser ses lèvres par besoin compulsif de sentir sa bouche contre la sienne ; ça la rassure en plus. « Et toi sensuel. » Il continue les vas-et-viens qui enflamment ses reins et sa féminité, tandis que son doigt poursuit son initiative contre son point sensible. Elle gémit fortement, sans pudeur, se contentant de déverser le plaisir qu'elle ressent. Elle atteint rapidement le paroxysme de la jouissance, au fil de ses gestes cupides et maîtrisés. Elle explose dans un dernier gémissement, cambrant légèrement le dos. « C'est parfait. » Elle souffle contre sa bouche en l'embrassant une nouvelle fois. Ciaran lui collera à la peau à tout jamais, ça y est.
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Ciaran O'Malley
Ciaran O'Malley
Le crevettlover
☞ ÂGE : 39
☞ STATUT : sous le charme d'une femme enfant aux formes juvéniles, mais pourtant exquises, qui se trouve être l'amie proche de sa propre fille et l'enfant de son meilleur ami. Une demoiselle qui devrait lui être interdit, mais qui l'attendri par ses airs solides et fragile à la fois. père célibataire de Summer, 13 ans.
☞ PROFESSION : musicien, interprète, compositeur. Il joue seul, parfois avec des musiciens rencontrés au hasard d'une salle de concert, mais ce n'est pas de la musique qu'il vit. Pour payer ses factures, il enchaine deux postes de serveur, un dans un restaurant assez chic et l'un dans un bar branché, six jours sur sept. Cela permet de vivre correctement sans extravagance.
☞ HABITATION : RAVENTHORPE

☞ BAFOUILLES : 1382 ☞ PSEUDO : mary
☞ AVATAR : boyd holbrook
☞ CREDITS : avengedinchains
☞ MULTI-COMPTES : Judson Sherpherdson, le lieutenant de police, coupable d'aimer son meilleur ami.

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MessageSujet: Re: toute première fois (ciaren #7)   toute première fois (ciaren #7) - Page 2 EmptyMer 11 Jan - 19:28

toute première fois

Naît-on deux fois ? Oui. La première fois, le jour où l’on naît à la vie ; la seconde fois, le jour où l’on naît à l’amour + Victor Hugo.

« Elle l’est. Je la trouve parfaite pour ce type d’échange » Il murmure contre ces lèvres qu’il dévore avec sensualité. Il se laisse enivré par la musique, leurs corps qui se frôlent et se désirent. Il la veut sienne et sait cette ambition réciproque. Il frôle du bout des doigts la réalisation d’un de ses fantasmes, mais demeure particulièrement vigilent au bien-être de l’adolescente. Son souffle se mêle au sien, ses reins s’immiscent en elle avec une lenteur érotique. Il la possède, mêle son corps au sien, empreigne chaque parcelle de sa chair de la sienne tout comme elle marque sa chair au fer rouge. Il grogne son plaisir, jure tant la pression que procure leur étreinte est conséquente. Il se laisse aller, profite de ce moment où leurs corps se livrent à l’autre. Sa respiration est courte, vive, tout comme le battement de son cœur, poussé par l’adrénaline procurée par le plaisir. C’est un savoureux cocktail qu’il savoure, ses doigts grisant la peau délicate de l’adolescente pour la détendre. Il s’inquiète de son bien-être, désire s’en assurer, mais elle l’invite à poursuivre, car tout comme lui, elle sait que la suite sera délicieuse. Alors, il se contente de lui sourire, continue de déposer ses cajoleries du bout de ses doigts, de ses lèvres, de son souffle qui s’échoue contre sa peau brûlante. Il l’invite à se donner, se détendre au creux de ses bras et c’est ce qu’elle fait. Il la trouve belle, délicieuse. Elle se métamorphose sous son regard, passe une étape capitale dans son adolescente. Elle n’est plus une gamine, ni une adolescente. Il lui donne les clés pour aller au-delà, devenir une jeune femme, en pleine possession de ses charmes et indirectement, il meurt d’envie de la découvrir, bien qu’elle soit toujours une crevette. La sienne. Son bassin amorce des mouvements de balancier. Il fait en sorte d’être prévenant, grise la chair de Shannen du bout de ses doigts, de ses lèvres, mais la gourmandise dévore insidieusement son bassin. Il savoure le frôlement de son épée au cœur de son intimité, l’étroitesse de sa féminité, mais notamment sa moiteur. C’est un délice. Il sent sa fleur se gonfler de plaisir, ses lèvres s’ouvrir pour le recevoir davantage. Il la dévore, plonge en elle dans des mouvements lents, mais profonds, parfois plus lascifs. Il se donne à elle pour lui offrir une nuit somptueuse qu’elle n’oubliera pas, avec une douceur qu’il n’a pas avec les autres. Il a conscience de sa fragilité et en prend soin, lui prodiguant le désir de façon subtile, mais profond. Il sait qu’il y parvient. Il s’enivre de ses gémissements et leur étreinte se fait d’autant plus torride, érotique, cruellement excitante au point que leurs corps se déchargent de tout ce délice contenu. Une fois de plus, elle se laisse embarquer par son audace, atteint de nouveau le paroxysme de ce plaisir qu’il apprécie lui offrir, mais cela est suffisant pour faire éclater le sien. Dans un rôle purement compulsif, presque bestial, il sent la jouissance lui prendre les tripes avec violence dans un râle puissant, qui saura sans aucun doute plaire à l’adolescente. Le souffle brûlant, court, exténué par cette danse érotique, sa bouche retrouve sa comparse. Un sourire sincère orne ses lèvres à ses mots. Il ne commente pas, car indirectement cette danse lui retirer toute énergie. Cela fait bien longtemps qu’il ne s’est pas senti si détendu. Cela le surprend, le rend inévitablement curieux. Ses phalanges glissent sur ses aines, remontent sa hanche tandis que ses lèvres retrouvent la fine poitrine de la demoiselle. Il embrasse sa peau, son corps encore entremêlé au sien. Il sait qu’il devrait se retirer pour plus de sécurité, mais il savoure sa chaleur, de bien être que tout ceci invoque à lui. « C’était délicieux. » Il murmure contre l’un de ses boutons de chair qu’il titille du bout de sa langue. Son regard ancré au sien, il continue ses baisers avant de s’éloigner de son corps, retirer son préservatif qu’il jette dans la poubelle d’un mouvement furtif. Toujours plongés dans les draps, il l’écrase de son poids en venant frôler ses formes pour partager un moment doux. Il sait qu’elle le désire et il doit bien admettre qu’il le veut tout autant. Alors, il se laisse manier sous la douceur de ses phalanges féminines. Son visage niché au creux de sa poitrine, il hume son odeur fruité et érotique et tous ses nerfs se détendent, à tel point que le sommeil le gagne par mégarde. Ce qui est bien une première. Cette demoiselle lui retourne résolument les sens plus qu’il ne voudrait l’admettre.
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