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 Of simple best friends? (Marcus) (ENA)

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MessageSujet: Re: Of simple best friends? (Marcus) (ENA)   Of simple best friends? (Marcus) (ENA) - Page 4 EmptyJeu 13 Oct - 19:57


Marcus & Jonathan

Tu as la haine, clairement. Tu fais l’effort de revenir pour voir ce que ça peut donner, car étrangement, au fond de toi tu n’as pas spécialement envie de partir. Tu as envie d’être près de lui, de rester à ses côtés le plus longtemps possible. Maintenant que tu sais qu’il va sûrement s’en aller, tu aimerais juste profiter de sa présence. La haine t’aveugle quand même. Tu rentres dans le loft en lui disant de se taire, de ne rien dire et de te laisser te calmer. Mouai, en vrai t’en penses pas grand mot, t’as juste envie qu’il s’excuse et qu’il assure pour la suite de la soirée. Le truc, c’est que si tu pars tu n’es pas sûr de revenir… Il commence à parler et tu lui lances un regard aussi froid que la glace, l’intimant de se la fermer. Finalement, il lève les mains en l’air en disant qu’il allait se taire. Tant mieux, là, tu n’es pas apte à tenir une conversation calme et dépourvue de colère. Déposant furieusement les sachets sur la table, tu remarques tes clefs et peste intérieurement. Tu n’aurais pas été loin sans elles…Tu rumines comme pas deux, déballant les affaires, les déposant sans grande délicatesse sur la table. T’es un vrai gamin quand tu t’y mets, quoi que, là il y a quand même matière à râler non…Te posant le plus loin possible de lui, tu remarques sa grimace de douleur et ton regard croise le sien. Tiens donc, monsieur c’est fait mal. Tant mieux ! Qu’il souffre un peu, ça lui fera les pieds.

Il te propose des Nems et tu le regardes une fois de plus furieusement. Décidément, Marcus ne sait absolument pas se taire quand il le faut. Sauf que voilà que monsieur fait de l’humour et tu pousses un soupire, lui lançant un regard encore plus sombre que les deux précédents. Non mais il est sérieux là ! Il fait vraiment de l’humour dans une situation pareille ? Il te balance une serviette que tu jettes à ton tour sur la table, serrant les dents pour ne pas l’envoyer chier. Nouvelle blague, nouveau regard froid. Sauf que ce con décide de se la jouer gamin suppliant. Oh non, pitié, pas ça…Tu pousses un profond soupire, te servant des nouilles et des nems avant de te lever. « Tu fais chier, t’as vraiment une grande gueule. » Tu vas vers le frigo et tu ouvres le congélateur, choppant la première chose glacée qui te passe sous la main. Un sachet de purée. L’enveloppant dans un drap, tu reviens vers la table et tu déposes le sac enveloppé près de Marcus. « Je sais pas ce que tu as foutu avec ta main, fou ça dessus avant que ça gonfle et que tu ailles bien plus mal que maintenant. » Tu étais venu te rasseoir mais, cette fois, tu avais posé ton cul un peu plus près de lui sans vraiment t’en rendre compte. Poussant un nouveau soupire, tu enlèves ta veste une nouvelle fois pour être plus à l’aise en mangeant. « Et si tu supportes pas quand je te boude, t’as qu’à pas faire ne sorte que ça arrive. »

Tu regardes ton assiette sans grand appétit, passant une main le long de ta nuque en fermant les yeux l’espace d’une seconde. Que faisais-tu ici bordel ? Baissant le visage vers le sol, tu poses tes avant-bras sur tes genoux, réfléchissant aux raisons de ta présence dans ce putain de loft de malheur. « J’sais pas vraiment comment réagir face à tes envies de retourner à Paris…en-même temps, il n’y a rien qui te retiens ici. » Oui, pour toi, tu n’es pas vraiment une raison suffisante pour faire rester Marcus. Apparemment, il n’éprouvait rien pour toi de plus que des remords, des regrets peut-être, mais rien de plus. Te pinçant les lèvres, tu laisses ton dos s’appuyer contre le canapé, ne souhaitant plus vraiment manger. T’as clairement l’estomac noué. « Je sais même pas pourquoi je suis encore là…ou même pourquoi je suis dans cette ville. Je devrais faire comme toi, me barrer de nouveau et cette fois-ci ne plus jamais revenir. » Oui, retourner à Paris, te barrer et ne plus poser un pied ici. Voilà une solution, lâche certes, mais c’est quand même une solution.


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MessageSujet: Re: Of simple best friends? (Marcus) (ENA)   Of simple best friends? (Marcus) (ENA) - Page 4 EmptyJeu 13 Oct - 21:40


Marcus & Jonathan

J'étais prêt à te supplier de me hurler dessus, de m'en coller une,une réaction, n'importe quoi mais je ne supportais plus la glace dans ton regard et ton absence de mots. Et le voilà qui râle, je savais -enfin j'espèrais- l'avoir à l'usure. Malgré moi je souris légèrement, parce que cette  réflexion agacée est un début de victoire. Maintenant Marcus déconnes pas tu veux! Je te suis du regard alors que tu te diriges vers la cuisine, sacrifiant un plat surgelé pour l'envelopper dans un linge. Quoi tu prends soin de moi après ça? Je taisais la blague déplacée qui me venait en tête sur tes envies de jouer au docteur, parce que là c'est certain j'allais me faire recevoir! Mon regard se pose sur la poche de glace avant de se lever vers ton visage.  -Je sais pas ce que tu as foutu avec ta main, fou ça dessus avant que ça gonfle et que tu ailles bien plus mal que maintenant. J'hausse une épaule en prenant le sac  et le déposer sur mes phalanges douloureuse, parce que je doute que jouer au gamin capricieux ne joue en ma faveur.    - Le con... comme souvent... me contentais -je de répondre en un souffle. Loin d'être fier de mon comportement je savais reconnaitre quand je dépassais les bornes et ce soir, j'avais frappé fort. Mes dents s'enfoncent dans ma lèvre inférieure dans une lente torture nerveuse «-merci.» ajoutais-je en posant les yeux sur ma main couverte, ne les relevant pas même lorsque tu me blâmais -à juste titre- pour ce que j'avais fait. Tu te défais de ta veste mais je n'ai pas le coeur à sourire, bien trop préoccupé par mes interrogations sur comment me rattrapper.
Regards furtifs, la faim semble t'avoir quitté à toi aussi, rajoutant une dose de culpabilité à mon état. Tes mots me blessent, malgré ton intention que je doute être négative à mon égard, mais la vérité, c'est que j'ai jamais su comment te prouver à quel point je tenais à toi. Avoir les mots justes, les employer dans de bonnes situations, assumer ses actes, tout un tas de conneries que je réserve aux romantiques, m'enfin ça c'est c'que je dis, en vrai c'est juste que j'ai jamais su me servir de tout ça correctement. Et si à l'époque ça ne semblait pas te déranger, c'était p'tet parce que tu étais habitué, ou que tu le cachais bien, si bien que je ne me suis rendu compte de rien. Et si j'avais su? Aurais je été plus courageux? Moins maladroit? Peut être... peut être pas... Mais le passé est derrière et quand tu parles de ton futur je sens mon coeur se glacer un peu plus.  
« -quoi?» murmurais je faiblement en posant mon regard à mi chemin entre tristesse et peur. T'essais de me faire réagir ou t'en a vraiment l'intention? Egoistement je ne tolérais pas que tu partes, que tu me laisses, alors que je l'avais pourtant fait moi même. Oui, je sais, c'était différent, mais je l'avais fait quand même. Je secoue la tête de gauche à droite me pinçant furieusement les lèvres pour m'empêcher de te supplier de pas faire ça, de pas me laisser, mais mon regard lui, chargé de désarroi semblait me trahir.  « j'suis revenu pour toi. Des que j'ai su pour...tu sais...» Et ça sort, tout seul, ça s'échappe et vient presque se déposer comme un cheveux sur la soupe. Tentais je de me justifier ou de te retenir? Tentais je de m'exprimer sur mon ressenti ou de me défendre de cette image de connard que je véhiculais? Au fond de moi, la réponse je la connaissais. « hum.» Je détourne le regard un instant alors que le tien est braqué sur moi. Merde Marcus dis quelque chose, fais quelque chose. Enfin... évites les conneries tu veux? Mon regard dérive sur la table, à la recheche d'un miracle, d'une révélation, les clefs? Non.. Les menottes? Mauvaise idée... bien que ce serait une bonne façon de te retenir... Le repas? Peut être que... « j't'ai promis un bon repas et si le premier menu a foiré, je doute que manger ça froid ne me fasse tenir mes promesses...» Je prends la boite en carton contenant les nouilles et te la tend. « tiens ça.» avant de pivoter pour chevaucher tes jambes, appuyant ma main enrobée de glace sur le dossier derrière sa nuque je m'installe confortablement sur toi, pour récupérer la paire de baguette enfoncée dans les nouilles. Un fin sourire garni d'une pointe d'amusement se dessine sur mes lèvres alors que je pioche dans les nouilles « On va essayer d'améliorer l'ambiance aussi. Tu veux?» babillais je en levant les baguettes pour les approcher de ta bouche. « fais aaaah.»  poursuivais je dans le but de te voir sourire. Mais je sais pas si tu avais définitivement perdu l'appêtit ou si je ne mettais pas assez du mien. je grognais pour la forme, mais était déterminé à te faire retrouver le sourire. Sourcils froncés j'ajoutais d'un ton faussement réprimandant « ah ouais c'est comme ça?» me penchant en arrière et me contorsionnant un peu pour aller choper un des nems abandonnés sur la table. Je le coince entre mes dents et m'approche de ton visage le regard pétillant « manches chon'» articulais je difficilement.  
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MessageSujet: Re: Of simple best friends? (Marcus) (ENA)   Of simple best friends? (Marcus) (ENA) - Page 4 EmptyJeu 13 Oct - 22:06


Marcus & Jonathan

Con ça il l’était, mais tu l’étais également. Vous ne sembliez pas fait pour ce genre de situation, comme si entre vous ça devait couler de source et non pas être pris au sérieux. Pourtant, tu ne pouvais pas accepter ça, pas maintenant, pas le nouveau John. Non, le nouveau toi à réellement changé, préférant se poser devant un bon film plutôt que de courir à gauche et à droite, te plongeant dans ton boulot également. Tu cherchais la stabilité, pourtant, Marcus éveillait bien trop de choses démentes en toi. Tu grognes légèrement face à sa phrase, parce que oui, il est con. Vous êtes cons. Tu aimerais que ça soit plus facile, moins compliqué. Tu aimerais simplement pouvoir lui demander si tu comptes assez à ses yeux pour qu’il ne t’abandonne pas une seconde fois, pour qu’il reste avec toi, à tes côtés tout simplement. Mais tu te tais, parce que les effusions sentimentales c’est pas ton truc et que t’as beau te souvenir de ce que tu ressentais pour lui, les années s’étaient écoulées…Peut-être trop qui sait. Tu entends sa voix s’élever et tu te redresses légèrement pour le regarder, restant surpris par ses mots, mais également par ce regard qu’il te lançait. Il semblait perdu, comme suppliant, effrayé par l’idée que tu puisses partir. Mais n’avait-il pas fait pareil ? Il t’avait abandonné dans cet aéroport, alors que tu pleurais comme un gamin en sentant ton cœur se briser. Une pareille douleur ne devrait jamais être ressentie et ça, tu ne la souhaitais pas même pas à ton pire ennemi.

Il est revenu dès qu’il a su pour ton accident ? Alors pourquoi envisager de partir…tu n’arrives pas à le comprendre, à suivre son raisonnement. Tu ne dis rien, l’observant simplement, attendant une explication plus claire qui ne vient pas. Il détourne les yeux et tu soupires alors que la conversation se tourne de nouveau vers la nourriture. Non, tu n’as pas faim et il n’allait pas réussir à s’en sortir aussi facilement. Pourtant, quand il te tend les nouilles tu les prends en levant les yeux au ciel, le laissant faire l’acrobate pour se positionner sur toi. Cette proximité…ça te fou toujours dans un état lamentable. Mais non, tu vas résister cette fois. D’ailleurs, quand il approche les baguettes de ta bouche, te disant d’ouvrir celle-ci d’un air enfantin, tu hausses un sourcil gardant les lèvres bien fermées. Vas-y Marcus, fais un effort, c’est pas comme ça que tu m’auras, pensas-tu d’un air arrogant. Il finit alors par se pencher en arrière et tu en profites pour déposer les nouilles sur le côté, le voyant revenir avec un Nem entre les lèvres. Ce mec ne lâche pas l’affaire facilement… « J’ai rien pigé à ce que tu disais… » Pourtant, t’attrapais déjà un petit sourire aux coins des lèvres, alors que tes mains venaient se placer sur ses hanches. Tu essayes de ne pas résister à cette foutue tentation sadique qu’il t’impose, malheureusement, t’es faible, comme toujours quand tu l’as aussi près de toi. Poussant un long soupire exaspéré, tu finis par approcher ton visage du siens pour croquer dans le Nem.

Tu le mange rapidement malgré le fait qu’il soit tiède. « Content ? » Tes mains glissent le long de ses hanches alors que tu ne le quittes pas des yeux, essayant de peser le pour et le contre. Soit tu faisais la gueule toute la soirée et autant te barrer directement, soit tu baissais les armes l’histoire de quelques minutes pour essayer de détendre l’atmosphère. Déjà, tes mains avaient élu domicile sous son tee-shirt, prenant place sur sa peau sans vraiment que tu ne le réalise. « Je parie que t’as toujours su t’y prendre avec moi… » Tu te trémousse légèrement en dessous de lui, essayant de te mettre convenablement, mais également par pur esprit de vengeance. « Généralement, quand on se prenait la tête…ça se terminait comment ? » Tes doigts s’amuses à glisser le long de ses cotes, provocation subtile.
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MessageSujet: Re: Of simple best friends? (Marcus) (ENA)   Of simple best friends? (Marcus) (ENA) - Page 4 EmptyVen 14 Oct - 19:34


Marcus & Jonathan

Regarde malicieux un sourire amusé alors que tu t'exécutes bien que tu dise n'avir rien compris à mon "ordre", me céderais-tu un peu de terrain Jojo? Visiblement oui! Tu ne fais pas que dévorer le Nem mais semble t'en amuser. Mieux encore, je n'ai pas à m'acharner plus que ça alors que tes mains viennent se poser sur mes hanches.   -Presque. soufflais je d'un ton qui se voulait énigmatique alors que tu me demandais si j'étais content. Pour tout avouer j'étais ravie que la glace commence à fondre mais était ce bien le moment d'en profiter? Je ne réclamerais donc pas mon petit baiser de réconciliation, peut être parce que le contact de tes mains sur ma peau m'électrisait, me faisait frissonner. Avais tu seulement conscience de ce que tu étais en train de faire? Il semblerait que cet automatisme ai dépassé les portes de ta mémoire brouillée. Les mots suivant m'arrachent un ricanement    - on va dire que j'avais du niveau mais que toi aussi  t'étais loin d'être mauvais... me contentais -je de répondre. L'ambiance était trop légère pour que je confirme clairement, que je t'avoue que même Aria en était consciente et qu'elle savait parfaitement que si je les laissais tout les deux c'était uniquement parce que je l'avais décidé, elle comme moi savions très bien qu remportait toujours la manche le concernant. A vrai dire à l'époque ça m'arrangeait, même si la jalousie me rongeait de l'intérieur, je préférais le voir avec celle qui n'aurait jamais la victoire qu'avec quelqu'un qui aurait été une véritable menace, qui me l'aurait volé. Egoiste j'étais mais à cette époque ça ne semblait pas le déranger plus que ça, à moins que... ça encore je l'ai mal interprété, que j'ai vu ce que je voulais voir.

Mes yeux se plissent dans un regard suspicieux et chargé d'avertissements alors que tu t'agites sur moi comme si de rien était, comme si j'allais croire à ce regard innocent. Tenterais tu de me provoquer Jo'? Ou de t'assurer que tu me faisais toujours autant d'effet? Mais je ne commentais pas, avant que les mots suivants ne me fasse hausser un sourcil précédant des éclats de rire franc. Sérieusement Jon'! T'as pas deviné? Me demandais je sur l'instant avant de sentir la chaleur de tes doigts remonter sur mes flancs et me demander si cette question innocente n'était pas chargée d'arrières pensées. Mes éclats de rire se meurent en une respiration sourde alors que ma paume prend ta joue en coupe, mon pouce essuyant les dernières traces de sauce sur tes lèvres «-à ton avis?»  soufflais je avant de venir porter mon pouce à ma bouche, s'insinuant entre mes lèvres pour le faire disparaitre et savourer le mélange de la nourriture au gout de tes lèvres. Geste provocateur, sans aucun doute, mais tellement naturel chez moi que je n'avais besoin de forcer la lenteur du mouvement ni même mon regard brulant. Un sourire espiègle et un regard malicieux animent mon visage alors que je sens ton corps se contracter légèrement Cette scène te met mal à l'aise mon ange? Ou serais tu sur la retenue? Tu attends peut être une réponse? Celle ci je peux te la donner sans éveiller non dit et douleurs. Je réduisais un peu plus la distance pour poser mon front contre le tien, caresser ton nez avec le mien, sentir la chaleur de ton souffle caresser mes lèvres. « -Plus la dispute était violente, plus les réconciliations étaient brûlantes...» pourquoi tu veux tester? Tu veux un démo du passé? Semblaient te demander mes doigts qui glissaient le long de ton torse encore dénudé garce à cette chemise déboutonnée plus tot.   « seuls les lieux variaient vraiment... canapé, lit, cuisine, salle de bain, toilettes, voiture, cave, jardin, bois... disons qu'on s'prenait pas le luxe d'attendre...» mon nez frôle le tien alors que je cherche encore plus de proximité, effleurant tes lèvres avec les miennes. « mais pour tout t'avouer j'ai toujours préféré les maisons vides et le confort...» lèvres entrouvertes caressant les tiennes je happe de l'air avant de glisser mon nez le long de ta mâchoire pour murmurer à ton oreille  « parce que c'était la parfaite bonne excuse pour te voir t'endormir dans mes bras...» Je redresse mon visage alors que ma main se promène toujours sur ta peau, que l'évocation de ces souvenirs et de cette proximité fait naitre chaleur et réconfort au creux de mes entrailles et comence à creuser son chemin brulant le long de mes veines. Mon regard scintillant et chaud s'encre dans le tien « je crois que si tu veux manger en paix tu vas devoir user de la force ou m'attacher.» soufflais je avant de tirer sur ta lèvre inférieure avec mes dents « j't'avais pourtant prévenu que j'étais pas un type bien.»  
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MessageSujet: Re: Of simple best friends? (Marcus) (ENA)   Of simple best friends? (Marcus) (ENA) - Page 4 EmptyVen 14 Oct - 21:04


Marcus & Jonathan

Au fond, ça te rassure de savoir que toi aussi tu savais t’y prendre avec lui. Certes, tu allais devoir apprendre à recomposer avec cette relation, quoi que, y avait-il seulement une relation ? Tu ne saurais le dire, tu étais complètement perturbé, à l’ouest. Si tu n’avais pas l’habitude de jouer les Casanova, pas après ton accident du moins, tu étais bien là en train d’allumer sournoisement Marcus. Entre disputes et excitations du moment, tu ne savais plus où donner de la tête. Tu passes d’une attitude à une autre, te cherchant dans mille et unes sensations. Tu ne voulais pas te prendre la tête à l’heure actuelle, préférant de loin ce genre de comportement que tes éclats de voix de tout à l’heure. Oui, tu voulais simplement profiter de sa chaleur, de cette vision qu’il t’offrait. Une bulle dont vous étiez les propriétaires, les seuls habitants. Les autres n’y étaient pas admis. Tu l’entends rire à ta question et tu souris très légèrement, laissant ton regard te lever au ciel l’espace d’un instant. Quoi, tu ne pouvais pas poser de questions ? Tu sens sa main se poser sur ta joue, t’arrachant un frisson alors qu’il essuie tes lèvres du bout du doigt, le portant à ses propres lèvres. Si ça c’est pas provocateur, tu peux directement aller te rhabiller hein. Tu te crispes néanmoins, essayant de ne pas surchauffer de nouveau face à cette vision. Non mais, il joue avec ta santé mentale là, déjà qu’elle est franchement fragile.

Tu le vois réduire l’espace entre vos visages et t’en as le souffle coupé, alors que son front se pose sur le tiens. Tu peux sentir vos souffles se mélanger, sa chaleur percuter ta peau comme une douce caresse dont tu n’arrivais décidément pas à te passer. « Intéressant… » Tu frisonnes sous ses doigts glissant le long de ton torse, alors que les tiens se firent plus pressant sur sa peau. Tes yeux se ferment légèrement, profitant de ce moment qui te mettait de nouveau dans tout tes états. Tu ouvres de nouveau les yeux, l’écoutant parler, énoncer tous ses endroits où vous vous étiez laissez aller. Ses lèvres effleurent les tiennes, tu t’approches dangereusement de celles-ci sans pour autant en prendre complètement possession non plus. Comme un jeu sensuel, un jeu de tentation. « Et ce soir, tu crois que je vais m’endormir ou… » Tu avais dit ça avec une pointe de provocation alors que ses doigts comme les tiens se promenaient sur le corps de l’autre. Tu plonges ton regard dans le siens, ne souriant plus, le cœur battant bien trop vite dans ta poitrine. Ta lèvre se fait prisonnière de ses dents et tu te crispes, plus par plaisir que par crainte. Tes doigts s’enfoncent légèrement dans sa peau, ta respiration se fait plus difficile sous le coup de l’excitation qui montait de plus en plus. « J’ai jamais rien eu contre les mauvaises graines…puis, j’ai plus faim. » Tu approches ton visage du sien, pourtant, au dernier moment tu bifurque et…tu prends le plat de Nems…

« Mais la santé avant tout… c’est pas bon de sauter un repas. » Pardon ? Oui, tu te la jouais salopard là, vraiment salopard. Pourquoi ? Parce que t’avais envie de lui faire les pieds, de le rendre complètement fou…ou peut-être avais-tu envie qu’il te prouve qu’il n’était vraiment pas un type bien. T’aime te faire désirer, te faire sauter dessus en quelque sorte. C’est con, mais c’est comme ça. Prenant un bout de Nem dans ta bouche, tu te reposes convenablement en plongeant ton regard dans le sien, un sourire sadique sur le visage. « Tu disais ? » Non mais, tu joues vraiment avec le feu. « Oh, tu veux un bout peut-être ? » Toi, tu vas vite le regretter, tu le sens bien, vu la gueule de Marcus là de suite. En-même temps, tu avais beau faire le malin, ton corps trahissait clairement ce que tu ressentais à l’heure actuelle. Tendant le Nem vers Marc’, tu souriais toujours d’un air complètement débile et innocent.
 
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MessageSujet: Re: Of simple best friends? (Marcus) (ENA)   Of simple best friends? (Marcus) (ENA) - Page 4 EmptyVen 14 Oct - 22:53


Marcus & Jonathan

Est ce mal de me livrer à ce genre de petits jeux après ce souvenir qui l'avait frappé de plein fouet? Après cette dispute que j'avais causé bien malgré moi à cause de ma sale habitude à fuir mes responsabilités? J'aurais du calmer le jeu à l'instant même ou il m'avait cédé un terrain favorable à la réconciliation. Mais chassez le naturel et il revient au galop et me voilà à tenter d'avoir toujours et encore plus. A mesure que ces doigts marquaient ma peau de manière appuyée, je sentais la chaleur grimper et attiser mon désir, je ne contrôlais plus la provocation, celle que de le sentir sous mon charme, sensible à mes mots, mes gestes, mes envies et l'avoir encore une fois rien qu'a moi, rien que pour moi. Sale petite peste que je suis, que de profiter d'un être perdu qui vacille à la recherche d'un passé trouble, âme à la dérive à la recherche du radeau solide ou poser son encre. Vendeur de rêves, et briseur de coeur qui sévit une fois de plus ce soir malgré mes envies de prendre soin de lui. J'aurais tout le temps du monde de me détester me disais je alors que mon corps semblait me réclamer d'apprécier ces instants tant attendus, tant manqués. Oui parce que je peux me mentir en me disant que je suis parvenu à t'oublier, ces frissons sur ma peau au contact de tes doigts, cette respiration erraillée causée par la proximité et ce coeur qui bondit à la hâte à ton contact, me rappellent alors combien je me suis leurré, mentit et que jamais je n'ai su t'oublier. Un vertige s'empare de moi à ta réponse, ces mots lancés avec légereté et provocation frappent bien plus fort sur mon coeur que je ne l'aurais souhaité. Le coeur au bord des lèvres menace de me faire sortir ce genre de mots que je n'ai jamais prononcé, tout du moins avec sérieux et que je réserve aux séries pour ado ou comédes romantiques de peur que le ridicule ne me frappe plus fort si je venais à agir ainsi. Etourdit par les propres battements de mon coeur à l'idée de te revoir t'endormir et t'éveiller dans mes bras, je sens à peine la torture de mes entrailles qui se vrillent sur elles même et semblent provoquer un éboulement tout entier de mes barricades, de ma carapace , qui me protège et m'a toujours protégé. Cette révélation qui me heurte de plein fouet, celle que la distance ni les années n'ont réussi à te remplacer, à combler le vide, le froid avec ces corps chauds et presque tous anonymes, alors que ton prénom chantait encore dans mon coeur et semblait la plus belle mélodie que mes lèvres soupiraient avec un naturel déconcertant . Mes lèvres s'animent mais ma voix semble éteinte, remplacée par un souffle haché et bruyant. Violente torture que de se contenir de ne pas combler la distance, mes dents et mes doigts semblent être les premiers à faiblir alors que je crève d'envie de gouter à nouveau à ces baisers qui n'ont jamais trouvé la même intensité avec un autre. Tu me rends fou et tu m'as toujours rendu fou, je perds la tête et je déconnes, mais c'est peut être ça finalement la véritable cause, mon esprit se brouille et se noie quand tu es là.
-Tu...euh...je...d'accord.... depuis quand je bafouille les joues rosies comme une pucelle? Moi qui ne jure que par ma grandiloquence, mon égo démesuré et ma provocation à choquer les prudes? Depuis que ton visage est si proche, que tes lèvres menacent de fondre sur les miennes, que tes doigts pianotent sur ma peau comme si ils jouaient la plus parfaite et envoutante des mélodies. Je ferme les yeux, happe une dernière bouffée d'oxygène alors que mon coeur cogne si fort que j'ai l'impression que mes côtes vont céder. Mais...rien... le froid, le vide, l'avalanche, j'ouvre les yeux sous tes paroles, le choc, la stupeur, la douche froide. - sérieusement? hoquetais je comme pour décoincer cette respiration mise en pause alors que tu m'abandonnais pour le plat de Nems. Est ce qu'on peut être jaloux de la bouffe ou pas? Parce que j'en serais presque à ce stade. C'est pas ce qu'on appelle la frustration ça? Je bat des paupières rapidement, sonné par ce revirement de situation dévisageant avec stupeur ton air innocent. T'es pas sérieux Jon'? T'es en train de me planter là? Maintenant? Comme ça? Ou serait ce ta façon de me punir, de me faire comprendre que j'ai déconné et que tu ne comptes pas me laisser agir ainsi? Ok ok j'ai compris... enfin j'crois... «-de quoi?»  soufflais je difficilement, la respiration sifflant encore.  Mon regard ahuri faisait des allers retours entre le Nem et ton sourire, j'te le ferais bien bouffer pour tenter de t'étouffer tiens... non p'tet pas mais... quand même! Un reniflement moqueur secoue ma poitrine « -ah ouais?» tu veux jouer à ça? Mes yeux se plissent et j'approche mes lèvres du morceau que tu me tends, pas que j'ai miraculeusement retrouvé l'appétit mais plutôt pour entamer la seconde manche de ce petit jeu qui dégénère. mes lèvres recouvrent tes doigts, ma langue se débarrasse du Nem pour le nicher dans un coin de ma joue alors qu'elle se délecte de ces phalanges que tu me tends. Le regard chargé d'éclairs provocateurs ne quitte pas le tien, je soupire de plaisir bien plus que ce met ne devrait le faire, un ton rauque et vibrant dont la mélodie semblait être la bande son  d'une scène non diffusée aux heures de grande audience.  Je relâche tes doigts et mâchouille -sans conviction mais assez vite pour éviter l'étouffement causé par d'éventuelles représailles- mon morceau de nem. « hum merci...» J'aurais pu -j'aurais du- m'arrêter là, mais en grand compétiteur je n'avais pas dit mon dernier mot. Friction légère du bassin, je fais glisser ma main sur ta peau en me rapprochant légèrement  « encore..» soufflais je d'une voix brûlante. Malice au coin des lèvres, elle s'étire en un sourire qui semble se refléter dans le pétillement de mes prunelles, je me fais violence pour comprimer mes doigts aussi engourdi que douloureux pour plaquer la poche de glace sur le bas de ton ventre. Tu t'agites sou la surprise et le froid et l'expression de ta voix choquée  se mêle à mes éclats de rire. « je prends soin de ta santé et t'évites de sauter un repas... ne suis je pas adorable mon amour?» mes lèvres claquent bruyamment sur ton front et je bascule pour me laisser tomber dans le canapé. Non sans laisser une partie de mon corps sous tes jambes ni poser le plat de Nem sur mon ventre. Un mélange entre amusement et tendresse danse dans l'or de mes yeux alors que je te regarde me surplomber, je récupère la poche de glace pour l'enrouler autour de mes doigts. « c'est moi l'blessé, c'est toi qui doit prendre soin d'moi.» mes talons tapent l'accoudoir dans un rythme encourageant et j'ouvre grand la bouche pour réclamer ma nourriture. Parce que faire le débile c'est encore la meilleure tactique pour éviter de lui sauter dessus alors que je serais devenu incapable de me contrôler. Toi t'as vraiment de la chance que j'te respectes et que... j't'aime...  
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MessageSujet: Re: Of simple best friends? (Marcus) (ENA)   Of simple best friends? (Marcus) (ENA) - Page 4 EmptyVen 14 Oct - 23:31


Marcus & Jonathan

La tension est palpable, remontant en flèche et avec une rapidité étonnante. Tu te prêtes au jeu, tu le provoque comme tu peux, cherchant les emmerdes. Tu te trémousses alors que ton corps semble réclamer le siens avec une intensité féroce, surprenante. A vraie dire, tu ne te souviens pas avoir désiré quelqu’un avec autant de force, d’ardeur. C’était comme si tout ton être se souvenait inconsciemment de ses moments passés avec lui, de la chaleur de son corps contre le tiens, de cette peau que tu avais souvent rencontrée. Si ton esprit ne semblait pas vouloir te rendre les images, ton être, lui, réagissait en conséquence. Il bafouille quelques mots et tu souris avec un amusement certain, bien heureux de le voir dans un tel état. Tu lui fais autant d’effet qu’il t’en fait, c’est en quelque sorte une victoire certaine pour toi. C’est amusant, fascinant également de voir ce qu’une personne peut avoir comme pouvoir sur une autre. Néanmoins, c’est également très effrayant. Oui, parce que si en si peu de temps il peut te faire passer des larmes et l’envie, que pouvait-il faire d’autres avec toi ? Etais-tu destiné à ramper à ses pieds ? A le désirer pour le reste de ton éternité ? Sûrement. Tu n’osais même pas y penser, encore moins y songer sans te mettre à paniquer. Tu es indépendant, enfin, c’est ce que tu aimes penser. Mais là, tu n’es plus sûr de rien, pas devant lui, pas en le sentant si près alors que vos souffles se mélanges, que tu t’amuses de ses envies, mais également des tiennes. Sadisme, frustration commune. Tu le punis, tu te punis également.

Il semble complètement choqué face à ton geste, alors que tu l’observes avec amusement, lui proposant un bout de Nems. Sérieusement…oui… Il ne méritait rien de plus qu’une bonne frustration que tu t’infligeais également, qui n’allait pas durer éternellement non plus. Pourtant, par fierté tu te dois de tenir le plus longtemps possible. Malheureusement, Marcus est aussi joueur que toi et quand il approche ses lèvres de tes doigts pour y voler la nourriture, tout en s’attardant sur ceux-ci, tu ne peux que retenir ta respiration. L’enfoiré. Toi qui te croyais maitre de la situation, tu te retrouvais clairement en position de faiblesse évidente. Ton cœur s’emballe de nouveau alors que tu ne décroches pas ton regard de lui, des frissons parcourant de plus belle ton corps meurtri par l’envie qui ne faisait que te tirailler de l’intérieur. Il est sadique, il se joue de toi comme tu te joues de lui. Un jeu sans fin ou aucun des deux ne sembles vouloir baisser les armes, abandonner pour céder à la tentation. Ça allait finir par exploser, par imploser et la nourriture allait clairement finir en seconde position. « Avec…plaisir. » Tu as eu du mal à répondre face à son remerciement, restant quelques instants immobile la main toujours levée alors que la sensation de ses lèvres y était encore ancrée. C’est limite douloureux. Tu sens son bassin bouger sur le tiens, te faisant redescendre sur terre, ou encore décoller un peu plus vers l’envie. Il approche et tu te crispe davantage, laissant ta main redescendre pour reprendre place sur lui.

Encore ? Non mais y a pas de soucis, autant qu’il veut ! Sauf que bon, la froideur du sac glacé sur ton bas ventre te ramène clairement à la réalité. Tu pousses un juron, la voix étranglée par la surprise et surtout la désagréable sensation du froid contre la chaleur irradiante qu’il t’avait procuré jusqu’à maintenant. « Bordel de merde ! » Il rit, toi beaucoup moins. C’est franchement loin d’être agréable. Ses lèvres viennent se poser sur ton front alors, qu’au final, ses dernières paroles te laissent sceptiques. Il vient vraiment de te prénom mon amour ? Il avait sûrement dû faire ça par provocation, il n’avait pas dit ça sérieusement…Oui, c’est sûrement ça. Vous n’étiez pas ensemble, les mots doux comme ça n’avaient aucunes significations. « Tu viens surtout de me refroidir d’un coup ouai ! » Il se laisse tomber pour reprendre le sac et le plat qu’il pose sur son ventre, laissant un bout de son corps contre le tiens alors qu’il se retrouvait la bouche grande ouverte. Tu vas lui foutre la nourriture au fond de la gorge, rien que pour te venger. Quoi que, ça serait con qu’il s’étouffe avant d’avoir fait quoi que ce soit. « Tu t’es blessé tout seul, j’ai pas à jouer les infirmiers. Je suis flic, pas médecin. » T’avais dit ça avec amusement, prenant le plat sur son ventre pour le balancer sur la table basse. Te dégageant, te viens te mettre au-dessus de lui, encadrant son vidage avec tes avant-bras pour t’appuyer sur l’accoudoir près de sa tête. Ton visage proche du siens, tu colles sournoisement ton corps contre le siens.

« Tu sais que c’est franchement désagréable une poche de glace à ce niveau-là ? » Tu déposes un baiser sur le coin de ses lèvres, descendant doucement vers son cou avant de remonter le long de sa mâchoire pour murmurer à son oreille. « A vraie dire, ça m’a même fatigué. » Tout en parlant, tu avais pris soin d’accentuer la pression de ton bassin contre le sien, venant mordre la peau de son cou avant de bondir hors du canapé. « Donc, bonne nuit. » Ben quoi…tu restes sadique jusqu’au bout. Sauf que, ouai, au lieu de te diriger vers la porte d’entrée tu fonce vers sa chambre d’un air complètement naturel, comme si t’étais chez toi. En chemin, tu balances ta chemise et tu fais tomber ton pantalon pour tomber sur son lit en boxer. Tu ne prends pas la peine de dégager ce qu’il y a dessus, te couchant dessus, le ventre sur les couvertures.
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MessageSujet: Re: Of simple best friends? (Marcus) (ENA)   Of simple best friends? (Marcus) (ENA) - Page 4 EmptySam 15 Oct - 9:59


Marcus & Jonathan

Tu joues avec moi, je joues avec toi, il semblerait que nos jeux d'enfants reviennent par automatisme, si tu l'ignores surement, je sais très bien que ni l'un ni l'autre ne cédera facilement, peut être parce que ça fait partie du jeu, que ça le rend encore plus attrayant, ou peut être parce qu'on est aussi têtu l'un que l'autre. Mais dans l'passé, y'en a toujours un qui finissait par céder. Mais ce soir? Etait il judicieux de recommencer, de repartir sur ce genre de bases? Pourtant ça semblait si naturel, tu avais retrouvé le sourire malgré mes petits "vengeances" et redoublais d'efforts pour me rendre la monnaie de ma pièce. Bonne volonté, sagesse et maturités semblent -comme autrefois en ta présence- avoir quitté mon cerveau, tu me tournes la tête, tu m'obsèdes et en réalité n'étais je pas exactement en train de faire tout ce que tu voulais? Mes éclats de rire raisonnent alors que tu râles, ok j'ai frappé fort, mais tu ne vas pas te laisser abattre n'est ce pas? Je craque totalement sur ton air renfrogné, embrasse avec taquinerie et provocation ton front pour éviter de partir à l'assaut de tes lèvres. Comment peux tu être si adorable mon jojo? Sous le charme, je te céderais bien trop facilement la victoire si je n'étais pas si joueur, si têtu, mais quelque chose me dit que ce n'est que repousser l'instant, me donner l'illusion d'avoir le dessus. Tu n'as pas dit ton dernier mot, si je m'amuse de tes commentaires et la façon dont tu balances le plat sur la table, je vais bien vite ravaler mon sourire. Ton corps recouvre le mien, prisonnier qui ne tentera aucune évasion, je laisse un filet d'air chaud s'échapper de mes lèvres alors que l'incendie ravage mon corps. Mes doigts s'enfoncent dans tes hanches, alors que ce corps se presse contre le mien, alors que ces lèvres déposent leurs marques sur mon cou. Faible , je suis trop faible, basculant la tête en arrière sous la pression de ton bassin, ravagé par les flammes de tes baisers, j'enfonce mes dents furieusement dans ma lèvre inférieure pour étouffer un miaulement de plaisir. Tes mots? J'ai bien du mal à les entendre alors que mon coeur résonne dans mes tempes, de sa vive mélodie trop bruyante, alors que ma respiration ronronne comme un moteur encrassé, alors que mon bassin part à la recherche d'une friction plus chaude encore. Bordel Jon', c'est bon t'as gagné, fais ce que tu veux de moi! Semblait te hurler mon corps tout entier avant que je ne prenne brutalement conscience que tout ça n'était qu'un jeu et que tu avais l'intention de té déclarer grand gagnant.

Le froid s'empare de moi, me laissant haletant et stupéfait alors que tu avais bondit sur tes pieds. Sérieusement Jon'? Un hoquet de surprise s'échappe alors de mes lèvres qui brulent encore de désir d'être assaillies par les tiennes. -Quoi? Soufflais je péniblement en me redressant sur mes coudes pour te dévisager alors que tu me disais bonne nuit. T'es pas sérieux? Semblait te dire mon regard papillonnant rapidement quand tu t'éloignais dans le couloir. A moins que ce soit un piège? Que ce soit le plan? Que tu aies frappé avec ton atout maitre. Je balance rageusement la poche de glace pour me précipiter à ta poursuite. Bon ok il m'aura fallau quelques secondes pour me remettre du choc, mais vous comprenez hein? Un sourire en coin se desine sur mes lèvres alors que je trouve ta chemise sur mon passage. Un gloussement amusé secoue ma poitrine bien que je redoute un vilain sale coup de ta part. Je me stoppe dans l'encadrement de la porte, complètement charmé par l'image que tu m'offres, bouche entrouverte, si le désir crépite sur mon épiderme et tend chacun de mes muscles, je me délectes quelques instants de la vue si délicieuse de ton corps inerte sur ce lit, sur MON lit. Gisant au milieu de l'amas de vêtements cette scène me ramène au passé, à ces fois ou je sautais brutalement sur le lit, faisait claquer l'élastique de ton boxer, t'assaillais de baisers juste pour voir ton air grognon causé par un réveil brutal. Quelques instants dans le passé avant que mes pieds ne touchent terre à nouveau, peut être à cause de la douleur de cette vilaine tension dans mon pantalon devenu bien trop étroit.  Je grimace en tirant sur ma ceinture pour replacer mon pantalon, je me défais de ce tee shirt devenu trop collant et trop chaud pour l'occasion - c'est déjà l'heure de dormir? soufflais-je amusé en balançant mon tee shirt dans la pièce. et déboutonnant mon jean. «-ok.» je fais glisser mon jean en arrivant devant le lit sur lequel tu trônes en travers faisant semblant de dormir. ah ouais tu veux jouer à ça? Ou t'es justement en train de me faire faire excatement ce que tu veux? Lentement, je recouvre mon corps avec le tien, mes lèvres tracent le sillon de ta colonne vertébrale pour venir s'attaquer à ta nuque à leur porté, ouvrant le chemin à mon corps qui glisse la couverture brûlante de sa peau contre la tienne. Un avant bras niché à coté de ton visage pour prendre un appuie, alors que mes dents et ma langue dansent sur ta nuque, s'évade aux alentours dans une promenade sur ta clavicule, ton épaule, ton cou, pour venir soupirer à ton oreille « -c'est toi en fait le cadavre que je cache dans mon pieux?» ricannais je amusé avant de laisser mon bassin prendre appuie sur la courbe de tes fesses. Cette chute de rein me faisant tourner la tête, tout comme l'ensemble de ce corps à ma merci, je faisais glisser ma main sur ton flanc alors que mon bassin semblait se presser un peu plus. Le maigre tissu me couvrant ne suffisait pas à camoufler ce désir ardent glissant tout contre toi. « tu m'rends complètement dingue Jo'» soufflais je d'une voix rauque et chaude alors que je continuais à dévorer la peau à ma portée. « t'es sur que tu veux que j'te laisse dormir?» poursuivais je alors que je forçais ma main entre l'espace étroit et quasi inexistant entre la couverture et ton ventre, pour descendre lentement jusqu'à l'élastique de ton boxer. Grognement de frustration alors que je n'avais guère a place d'y infiltrer ma main, je pressais ta hanche pour te convaincre de pivoter, de me faire face.
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MessageSujet: Re: Of simple best friends? (Marcus) (ENA)   Of simple best friends? (Marcus) (ENA) - Page 4 EmptySam 15 Oct - 10:59


Marcus & Jonathan

Tu l’entends te suivre et ça t’amuse, parce que au final, tu savais qu’il allait le faire. Après tout, t’es quand même chez lui, dans son lit et qui plus est, point bonus, t’es en boxer. Bon, heureusement pour toi t’avais pas opté pour un boxer à motif imprimé ce matin. Non, t’avais pris la bonne décision de mettre un noir à élastique vert flash, sinon, ça aurait été la gêne jusqu’au bout. Couché, tu fermes les yeux et étrangement, les odeurs qui t’entourent sembles particulièrement familière. Cette pièce renfermait son odeur en tout point, faisant naître un sentiment de confiance presque absolue. Vous n’arrêtiez pas de jouer, de vous provoquer et toi, c’était la troisième fois que tu fuyais, le laissant sur sa faim. Il serait peut-être temps d’arrêter non. C’était pourtant si amusant de le voir surpris, ailleurs lorsque tu le laissais seul, te détachant de lui pour fuir son corps alors que tu ne souhaitais que celui-ci. Ses pas résonnes dans le couloir puis un froissement se fait entendre. Tu ne réagis qu’avec un simple grognement faussement endormi lorsqu’il te demande si c’est l’heure de dormir. Non, tu n’es pas fatigué, mais laissons-lui le loisir de le croire. Quoi que, tu n’es pas vraiment convainquant sur ce coup-là. Le bruit de son pantalon qui tombe te fait sourire en coin, ta joue appuyée contre le matelas, tes bras légèrement pliés au-dessus de ta tête. Tu frisonnes au contact de son corps qui glisse sur les tiens, alors que tu ne peux retenir un soupire lorsque ses lèvres se mirent à parcourir ton corps.

Ce mec, c’est le diable en personne. Tes doigts agrippent tu ne sais pas trop quoi, essayant de se raccrocher à un bout de tissus pour éviter de montrer l’effet qu’il éveille en toi. Ta respiration s’accélère, tu te mords l’intérieur de sa joue alors que tes paupières s’ouvrent et que ta gorge se dessèche bien trop rapidement. « C’est sûr que si tu continues comme ça, tu vas me tuer… » Tes muscles se crispes lorsque son bassin appuie sur ton corps, tes doigts raffermissent leur prise sur ce bout de tissus que tu ne daignes pas contempler pour savoir de quoi il s’agit. Sûrement un vêtement quelconque. Tu le rends fou ? Non mais, il ta un peu regardé là ? Tes carrément sur le point d’imploser. Si son bassin se presse davantage contre toi, le tiens fait exactement pareil pour s’y coller le plus possible. Ta respiration n’a plus rien de régulière, alors que ses doigts glissent sur ta peau pour te demander de te retourner. « Là, de suite, je ne suis plus sûr de rien. » Oui, ton cerveau est en mode pause, ou encore erreur…Dysfonctionnement total ! Pourtant, tu ne peux pas t’empêcher d’accepter sa requête et de te retourner sur le dos, glissant sous lui pour te retrouver sur le dos. Ton regard se plante directement dans le siens, alors que tes mains se posent sur ses hanches. « De toute façon, tu sais pertinemment qu’on n’a pas encore joué la scène de la réconciliation. » Tu avais murmuré ses paroles avec un air provocateur sur le visage, une voix sifflante par le désir qui s’engouffre par chaque pore de ta peau frissonnante.

Cette fois-ci tu n’y tiens plus. Le jeu de la provocation, du suis moi je te fuis, fuis-moi je te suis est terminé. Tu es bien trop animé par l’envie pour pouvoir faire marche arrière, reculer, t’en aller et le laisser en plan. Une de tes mains vient se glisser dans sa nuque, alors que sans hésitations, tes lèvres viennent prendre possessions des siennes. Ta jambe gauche s’enroule autour de la sienne, lui indiquant de se coller à toi plus expressément. Tes lèvres dansent sur les siennes, ton souffle se mélange au sien alors que tes doigts s’enfoncent davantage dans sa nuque, glissant dans ses cheveux bruns. Décidément, tu n’avais pas prévu ça, loin de là. Au départ t’étais là pour manger de la bouffe, pas Marcus quoi…en-même temps, ce n’était pas pour te déplaire non plus. Ta main de libre glisse dans son dos, appuyant fermement au creux de ses reins. Son corps, tu voulais le sentir contre toi, tu ne voulais plus t’en décoller. Drogue subtile, addiction douloureuse.
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MessageSujet: Re: Of simple best friends? (Marcus) (ENA)   Of simple best friends? (Marcus) (ENA) - Page 4 EmptySam 15 Oct - 12:55


Marcus & Jonathan

Prudence et raison semblent avoir perdu leur place dans cette pièce alors que ton corps s'agite sous le mien, alors que tes dois se crispent sur ma peau. Mon souffle chaud heurte tes lèvres prononçant ces derniers mots et c'est en suffoquant sous l'assaut du désir que je prononce bien difficilement les mots que tes lèvres feront taire: -Tu veux la jouer honey? les vibrations de plaisir roulent le log de ma gorge pour venir mourir contre ton palais. A mi chemin entre le grognement et le gémissement, parfait alliage de plaisir et de douleur alors que mon coeur semble exploser sous la violence de ce baiser. Comme tu m'as manqué, comment est ce possible de ressentir ça si fort? Comment pouvais tu rendre ces instants si puissants, si uniques, que le temps ne semblait avoir effacé que mes souvenirs semblaient avoir amoindris. Ce soir je devais être honnête avec moi même alors que je prenais conscience que jamais je n'avais vécu, ressenti un désir, un plaisir si intense avec autre que toi. Et si je ne pensais ça possible c'était pourtant d'une vérité et clarté déconcertante. Mon coeur me frappe au point de m'étourdir, mes doigts brulent sous l'envie de recouvrir chaque parcelel de ton corps, ce corps dont la simple friction m'irradie de toute parts. Le désir gronde contre tes lèvres alors que le plaisir de l'attente le rend tout aussi intense. Je perd pied, je perd l'esprit, laissant les flammes de l'envie lécher chaque parcelle de am peau qui transpire sous le nectar aux mille délices, que seules tes mains, tes lèvres semblent être capable de faire naitre véritablement. Je goute, j'effleure, je dévore tes lèvres tantôt du bout des miennes, tantôt de la gourmandise féroce de mes dents qui les font gonfler sous l'acharnement. Tes doigts se font plus pressants, ton corps se fait plus tentateur, ma respiration gronde dans un alliage de plaisir et appréhension. Encore, plus , semblent hurler mes muscles endoloris par la tension alors que ma peau savoure cette proximité aussi brûlante que délicieuse. Haletant contre tes lèvres dont je me sépare à regrets - peut être...devrais je... te... présenter... mes... excuses... murmurais je contre celles ci entre deux souffles bruyants. Tout en langue et en respiration je fais glisser la chaleur le long de ton corps dans une descente lente, prenant soin de savourer chaque parcelle découverte de ta peau, mon corps quitte le tien, mes genoux touchent sol avec une infinie douceur alors que les ailes du papillon de l'enfer couvrent ta peau de brûlures ardentes. Possessivité, envie, je marque même celle ci volontairement sur le bas de ton ventre, l'intérieur de tes cuisses, avant de te débarrasser de ton dernier vêtement en noyant mon regard obscurcit par le désir dans le tien. L'or n'a rien à envier aux paillettes qui luisent dans mes prunelles. Lente ascension de mon nez, de mes lèvres, effleurant ton désir pour moi avec une lenteur calculée faisant se mouvoir ton bassin soumis aux tiraillements de l'impatience. Un sourire contre ta peau, souffle amusé et ponctué d'envie avant que mes lèvres ne noient la tension largement visible dans une couverture de chaleur. Douce mélodie de ta voix faisant vibrer ton mon être, subtile alliage de plaisir et de supplice alors que ma langue se mêle à la danse sensuelle. Je prend même le temps de regarder ce visage qui exprime le plaisir que je t'offre avec gourmandise. Je maintiens ferment ce bassin assaillit par les secousses de plaisir, savourant la moindre seconde avec gourmandise jusqu'à ce que je sente ton corps trembler à l'approche des limites. Marquant une pause de mes lèvres je me redresse en souriant, non sans laisser mes doigts courir lentement sur la peau si douce et délicieuse que je venais de gouter, mon autre main luttant contre al douleur semble tout renverser maladroitement sur la table de chevet, fouiller bruyamment dans le tiroir et jeter sur le lit le nécessaire sans jamais quitter ton regard. Mon corps tout entier se consume sous l'attente alors que le tien semble trembler sous les assauts de plaisir dont mes doigts fraichement couvert d'une substance au parfum sucré de la fraise, avant que je ne décide de prendre la route chaude intime que m'attire tant. Le carré de papier métallique entre les dents je m'avance au dessus de toi avant de le laâcher sur ton visage «-tu vas m'aider n'est ce pas?» soufflais je amusé en jouant à faire s'arquer ton corps à l'aide de mes doigts, à faire trembler ces mains qui luttaient pour déchirer l'emballage. Je grognais de plaisir en les sentant me couvrir de cette si fine barrière après avoir ôté le tissu bien trop gênant. Quelques instants d'attente, quelques instants de jeu du bout des doigts avant de me fondre en toi, comme je l'avais rêvé depuis tant d'années. Lentement, c'est avec une infinie douceur et tendresse que je mes doigts cédaient leur place à mon désir ardent. Brûlure intense, sous la lenteur de l'intrusion, sous la force de tes doigts marquant ma peau, sur le délice du moment bercé par la tendresse de mon regard, de mes doigts se noyant dans tes cheveux. « -Jon' tu m'as tant manqué.» soufflais je d'une voix rauque en rampant sous ta peau.
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