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 quoi qu'il se passe, nos chemins sont liés (lulal #2)

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MessageSujet: quoi qu'il se passe, nos chemins sont liés (lulal #2)   quoi qu'il se passe, nos chemins sont liés (lulal #2) EmptySam 28 Jan - 13:27

the shape of you
solal & lucas
Il a fait quatre mille kilomètres à pied pour la retrouver et maintenant il veut traverser la Manche à la nage. Toi quand t’es partie, j’ai même pas été foutu de traverser la rue pour te rattraper.

Lucas a envie de pleurer, Lucas a envie de crier, de faire n'importe quoi pour l'erreur qu'il a commise. Bon sang. Il n'était pas censé craquer, pas devant Dan, mais c'est vraiment la personne qui le connaît par cœur et qui sait le manipuler comme il se doit. Maintenant, Lucas le regrette. Parce qu'il commençait à tourner enfin la page, parce qu'il commençait à s'ouvrir à d'autres personnes, parce que le pédiatre qui s'est occupé de son fils ne veut pas bouger de sa tête. Parce qu'à chaque fois qu'il y pense, son coeur bat à une allure définitivement trop forte, son ventre se contracte et c'est toujours des sensations agréables. Mais, maintenant que Dan est revenu, comment est-ce qu'il va faire, hein ? Son fils est chez ses parents, parce que le retour de Louise a également perturbé le jeune père, qu'il encaisse énormément de choses en ce moment et c'est difficile de mettre un pied en avant quand on n'arrête pas de le tirer en arrière. Il tourne en rond, la télévision l'agace, son téléphone est éteint, et il peste contre lui-même. Ses pensées partent dans tout les sens, alors il décide de sortir, de prendre un peu l'air, parce qu'au final, ça va lui faire du bien. Il marche, il marche peut-être trop longtemps, il marche à en avoir mal au pied alors Lucas décide qu'il doit faire une pause. Il regarde les bâtiments aux alentours, son regard se reporte sur le café de la ville. Il ne réfléchit pas plus longtemps et s'engouffre à l'intérieur. La chaleur lui picote les mains, il reste plusieurs minutes à ne pas bouger, pour se réchauffer. Mais ça lui apprendra de sortir avec une simple veste. C'est bien fait pour lui. Il finit par commander un chocolat chaud, et quand il attend sa commande, ses yeux observent les gens qui se trouvent dans le petit café. Ses yeux se fixent sur une personne, et un sourire se colle immédiatement sur son visage. Il n'a pas l'air d'avoir de boisson sur la la table, mais il remarque très vite des papiers administratifs. Comme il ne sait pas s'il aime la caféine. Il demande un second chocolat et se dépêche de sortir de la monnaie pour payer les deux consommations. Timidement, peu assuré, peu confiant, il marche jusqu'à la table du pédiatre et s'assoit en face de lui. « Vous devriez faire une pause. » Lui suggère le jeune père, en déposant la boisson en face de lui. Un sourire timide, il sent ses joues devenir rouges. Mais c'est qu'un détail, tout va bien se passer.
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MessageSujet: Re: quoi qu'il se passe, nos chemins sont liés (lulal #2)   quoi qu'il se passe, nos chemins sont liés (lulal #2) EmptyDim 29 Jan - 20:24

the shape of you
solal & lucas
Il a fait quatre mille kilomètres à pied pour la retrouver et maintenant il veut traverser la Manche à la nage. Toi quand t’es partie, j’ai même pas été foutu de traverser la rue pour te rattraper.

J'avais enchainé une garde de 72H. Alors autant dire que je suis exténué. Pourtant je n'ai absolument pas envie de rentrer chez moi alors qu'il est à peine 18 h et que mon lit m'appelle. La journée a été particulièrement difficile, j'avais enchainé deux grosses opérations où le pronostic vital était engagé. Une sacrée dose d'adrénaline. Je devais absolument relâcher la pression. Heureusement, le roulement avait été fait assez rapidement, et après une demie-heure de transmission, j'avais enfin pu quitter le rythme effréné de l'hôpital pour respirer l'air frais. Je n'avais pas pris ma voiture car la fatigue serait bien capable de me jouer des tours. Il était donc presque 18h30 quand j'arrive dans le centre-ville. L'animation de celui-ci me donnait un peu envie de trainer. Surtout que je n'avais pas très envie de me retrouver seul dans mon appartement, sinon je sais que j'allais me mettre à cogiter et ce n'était pas forcément bon en ce moment. Surtout depuis que j'avais soigné le petit Logan. Son père avait plutôt tendance à s'inviter un peu trop souvent dans mes pensées. Généralement je ne me laissais que rarement atteindre par mes patients ou leurs proches, mais là c'était comme si c'était plus fort que moi. Pourtant je ne savais rien de lui, juste qu'il est le père de Logan, et que la gêne que je ressentais était réciproque. Mais je n'arrivais pas à m'empêcher d'être troublé par son visage mutin, et pourtant déterminé. Il s'invitait parfois quand je songeais que ma vie amoureuse était un vrai désastre. Comme si tu étais le chemin vers la rédemption, vers un renouveau. Pourtant je me refusais à y croire. Je me connais assez pour savoir que je ne pourrais pas t'apporter tout ce que tu souhaites, j'en suis bien conscient que l'on courrait à la perte si jamais je baissais ma garde. Mais c'était pourtant si tentant que je commençais à songer que si jamais on se revoyait, je pourrais me laisser tenter. Mais entre l'imaginer et le faire il y a un pas à franchir, et je ne sais pas si j'y suis prêt. J'aperçois un café et l'appel de la caféine se fait plus fort qu'une balade au grand air frais. Je rentre et apprécie la chaleur qui se dégage du lieu. Heureusement il n'y a pas grand monde en ce moment et l'on prend ma commande assez rapidement. Je m'installe au fond du café, alors que mon portable sonne : mon collègue. Décidément on ne coupe jamais réellement du boulot. Je prends l'appel tout en sirotant mon café, je ressors des papiers pour les renseignements que l'on me demande. Il ne me faut que quelques minutes pour terminer mon café et jeter le gobelet. Je ne fais pas attention à ce qui se passe aux alentours. Pourtant, presque comme par magie, une tasse de chocolat chaud fumante arrive sur la table alors que je viens tout juste de raccrocher. Je relève le visage avant de te faire face. " J'ai terminé, je suis en repos..." Je souris doucement alors que ce n'est pas flagrant. Mais on ne décroche pas aussi facilement. M'enfin, je me dépêche de refermer le dossier et de le ranger. Décidément tu arrives au moment où mes pensées commençaient de nouveau à s'évader vers ta personne.
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MessageSujet: Re: quoi qu'il se passe, nos chemins sont liés (lulal #2)   quoi qu'il se passe, nos chemins sont liés (lulal #2) EmptyDim 29 Jan - 22:28

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Il a fait quatre mille kilomètres à pied pour la retrouver et maintenant il veut traverser la Manche à la nage. Toi quand t’es partie, j’ai même pas été foutu de traverser la rue pour te rattraper.

Le café est presque vide, et se retrouver face à lui. Ses pensées sont ... Il est vraiment perdu, parce que son ex mari est de retour, parce qu'il sent à quel point il risque de perdre Logan. Parce qu'il ne sait pas de quoi il est capable, mais il sait qu'il sait faire les choses comme elles se doivent. Parce que c'est Dan. Parce qu'il connaît Lucas. Parce qu'il sait frapper là où ça fait mal. Alors... Alors Lucas à l'impression qu'on lui laisse la chance de vivre dans un futur. Parce que le médecin est désormais en face de lui, parce qu'un sourire à la con se dessine sur les lèvres. La réponse du docteur le perturbe, il a l'air vraiment chaos, parce que ça se voit, parce qu'il y a des cernes sous ses yeux. Quand Lucas termine sa journée, lui, il s'empresse de rentrer chez lui. Mais peut-être que c'est parce qu'il a des priorités, parce qu'il doit récupérer son fils, qu'il doit lui préparer à manger, parce qu'il doit le border, lui lire une histoire. Parce que sa vie tourne autour de son fils, il ne peut pas se permettre de se prendre cinq minutes de sa vie pour s'occuper de lui. Mais... Mais ça le perturbe quand même qu'il se pose des questions, qu'il est curieux, parce que son coeur bat fort juste à sa présence. Et... Ils ne sont pas pressés, il a le temps de l'admirer, d'observer chaque détail de son visage. De le trouver adorable, de le trouver juste... Beau. « Mais... Pourquoi ne pas vous reposez chez vous ? » Il demande, ses lèvres goûtent au chocolat, son œsophage se réchauffe, ça lui fait du bien. « On a l'air d'avoir le même âge... Alors... Tu me permets de te tutoyer ? » C'est une question rhétorique, parce qu'il enchaîne par la suite, pour continuer sa phrase. « Je pense que tu dois avoir beaucoup de boulot à l'hôpital, alors... Après de nombreuses heures de garde, de pression, de jouer avec la vie et la mort... Vous les médecins, vous n'avez pas envie de vous reposer et dormir toute une semaine ? » Il lui fait un sourire timide. Parce qu'il est heureux d'avoir une conversation avec lui, une conversation banale, peut-être un peu maladroite, une conversation qui n'est pas autour de son fils, de son boulot. Et Lucas n'arrête pas de sourire, parce que ça lui fait plaisir de ressentir toutes ces choses qu'il n'a plus connues à cause de son ancien mariage. Il a l'impression de revivre, et putain, ouais, c'est bon. Personne ne va les déranger, il n'y a qu'eux, et putain enfin.
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MessageSujet: Re: quoi qu'il se passe, nos chemins sont liés (lulal #2)   quoi qu'il se passe, nos chemins sont liés (lulal #2) EmptyLun 30 Jan - 22:52

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Il a fait quatre mille kilomètres à pied pour la retrouver et maintenant il veut traverser la Manche à la nage. Toi quand t’es partie, j’ai même pas été foutu de traverser la rue pour te rattraper.

C'est assez calme, et c'est parfait. Parce qu'après l'effervescence de l'hôpital et de courir à droite et à gauche à toute allure, un peu de calme n'est pas de refus. Et surtout de laisser la caféine entrer dans mon corps. Un vrai régal qui est bien trop précieux après une garde de 72h. Mais tu es apparu devant moi. Chamboulant ainsi tout mes plans de tranquillité. Je sais que désormais je ne suis pas prêt de rentrer chez moi. Parce que je n'en ai plus du tout envie, déjà que l'envie n'était pas grande auparavant. Je soupire profondément avant d'afficher un petit sourire en coin. Décidément les grands esprits se rencontrent. À croire que tu ne désirais, inconsciemment, pas laisser mon esprit tranquille. Alors que tu me fais face, je me rends compte que mon cœur bat un peu plus rapidement et que j'ai le souffle qui se fait un peu plus court. Mais je ne peux pas me laisser tourmenté par mes sentiments, je n'en ai pas le droit. Mais tu ne me facilitais pas la tâche en apparaissant comme un miracle et surtout en faisant preuve de telles attentions. Et surtout avec ce putain de sourire qui éclaire tes yeux et ton visage comme un rayon de soleil. Bordel c'est pas possible d'être aussi magnifique. J'ai bien du mal à déglutir soudainement. Je papillonne des yeux pendant quelques secondes avant d'observer la tasse fumante qui est apparue sous mon nez. " Merci " J'affiche cette fois un sourire franc avant d'en prendre une gorgée. J'étais plus fan du café, mais l'attention était vraiment touchante. Personne n'avait fait ça pour moi. Je garde le gobelet entre mes mains pour les réchauffer. Tu me poses une question sur le fait que je sois ici plutôt qu'à mon appartement. " Si je faisais ça, je n'aurais même pas le temps de voir le monde extérieur et je passerais le temps à dormir ou à travailler." Je hausse les épaules alors que tu t'assieds face à moi. Je hoche la tête positivement alors que tu me demandes si tu peux me tutoyer. " Pas de soucis, ça ne me dérange pas." Au contraire je n'ai ainsi pas l'impression de prendre dix ans d'un coup. Je déteste que l'on me vouvoie et pourtant c'est indissociable avec mon boulot. Je secoue la tête à ta question. " Moi j'ai juste besoin de décompresser, de voir que malgré toutes les horreurs que l'on voit à l'hôpital, la vie continue malgré tout. Si je ne voyais pas ce qui se passe à l'extérieur je pense que je deviendrais totalement dépressif. " J'avale une gorgée de chocolat avant de lever un sourcil " Comment va Logan ?"
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MessageSujet: Re: quoi qu'il se passe, nos chemins sont liés (lulal #2)   quoi qu'il se passe, nos chemins sont liés (lulal #2) EmptyMar 31 Jan - 22:09

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Il a fait quatre mille kilomètres à pied pour la retrouver et maintenant il veut traverser la Manche à la nage. Toi quand t’es partie, j’ai même pas été foutu de traverser la rue pour te rattraper.

Il est bien, Lucas. Il n'inspecte pas son téléphone, à la moindre inquiétude de ce qu'il se passe chez ses parents. Parce que pour une fois, face à ce médecin dont il ne connaît pas le prénom, il a envie de prendre du temps pour lui. C'est comme si la chance le sourit, lui ouvre une porte et essaye de lui donner des repères. En même temps, face à son ex mari qui est en train de se balader dans la ville, tranquillement, c'est difficile d'avoir les idées claires. Alors ce soir... Ce soir, il a l'impression de voir son futur et ça lui fait du bien. Lucas est curieux, c'est une chose qu'il ne cache pas, qu'il n'arrive pas à cacher. Rien qu'à voir quand ils se sont vus pour l’auscultation de Logan. Lucas ne voulait pas partir, même s'il n'a pas eu le choix et qu'il s'est finalement envolé jusqu'à chez lui, mais il a quand même tenté le truc le plus con au monde. Le demander comment se déroule sa voiture. Putain. Il craint. Mais là, Lucas ne veut pas faire de gaffe, il ne veut pas foirer. Il tient à ce que le médecin est une bonne image de lui, et il espère sincèrement que dans l'histoire, il n'y a pas un, mais deux cœurs qui s'emballent définitivement un peu trop. « Ce n'est pas faux, mais vous avez... Genre... Vous faites des journées non stop, et pourtant, vous trouvez toujours le moyen de sourire, et ça en va bien à certain. » Il parle en général, mais ses derniers mots lui sont adressés à lui. Ce garçon, un peu timide, qui dégage quelque chose qui plaît beaucoup à Lucas. Il boit dans son gobelet, putain, c'est vraiment un gaga des chocolats. Et il en partage hein avec lui. Sauf que ça le frustre de ne pas connaître son prénom. La question sort de nuls parts, sans qu'il ne se contrôle, mais de toute manière, quand il se trouve face à lui, il ne contrôle plus rien. « Je peux savoir ton prénom ? » Il murmure. Un sourire au coin des lèvres, pour le faire craquer, pour qu'il soit peut-être aussi perdu que Lucas et qu'il ne se sent plus seul. Son discours le fait sourire, tendrement, parce que le médecin lui donne une jolie vision de la vie, sans qu'on ne s'y attende. La question sort de nuls parts, sans qu'il ne se contrôle, mais de toute manière, quand il se trouve face à lui, il ne contrôle plus rien. « C'est beau ce que tu dis. Tu sais, des fois, c'est bien d'être à fond sur son travail, parce que tu prends du recul sur les problèmes. Moi, j'aimerais bien oublier toute mes merdes et vivre dans un monde où on pense aux autres en priorité. » Il est sincère, et c'est une chose qu'il risque d'être souvent face à lui. Sincère. « Il va bien, même très bien, je dois dire. » Putain, mais est-ce que ce garçon pense à lui ? Même en repos, il trouve un moyen pour se renseigner sur ses patients. Bon, il est vrai que c'est une bonne occasion, parce qu'il voit un parent, oui, il peut demander. Mais Lucas sait que quand il part du garage, il ne demande que très rarement à des gens dans la rue si sa voiture est toujours en bon état. Et ça lui plaît, vraiment. Il n'est pas amoureux, loin de là, mais il se sent bien, et ça fait tellement longtemps qu'il n'a pas eu cette sensation, cet état d'esprit qu'il risque de vite s'y attacher. « Tu veux... Peut-être que je te laisse ? Après tout, t'es en repos, tu veux... Je sais pas moi, hum, être seul ? » C'est à ce moment-là qu'il s'est promis de fermer sa gueule, d'arrêter de bafouiller, parce que ça le fait rougir encore plus, parce que ce garçon ressemble à un adolescent de quatorze ans. Et ça craint, vraiment.
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MessageSujet: Re: quoi qu'il se passe, nos chemins sont liés (lulal #2)   quoi qu'il se passe, nos chemins sont liés (lulal #2) EmptyJeu 2 Fév - 19:55

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Il a fait quatre mille kilomètres à pied pour la retrouver et maintenant il veut traverser la Manche à la nage. Toi quand t’es partie, j’ai même pas été foutu de traverser la rue pour te rattraper.

Tout compte fait, j’avais bien fait de m’arrêter dans ce café, sinon je serais passé à côté d’un moment très sympathique. Et pour une fois je rencontrais quelqu’un hors de mon boulot, quelqu’un que j’avais envie de connaître. Quelqu’un qui, peut-être, arriverait, non pas à briser, mais a surpasser cette barrière que j’ai construit tout autour de moi. Ça ne se ferait pas du jour au lendemain. Il allait probablement me falloir des mois avant que je ne daigne m’ouvrir à toi, et surtout que je te donne ma confiance. Même si je n’étais pas quelqu’un de désagréable, j’avais quelque peu tendance à me méfier. Je m’étais fait avoir une fois, j’étais donc vacciné pour un sacré moment. Mais déjà quand tu avais débarqué avec ton fils dans mon cabinet à l’hôpital, j’avais grandement apprécié ta présence et surtout j’avais eu ce regret de te voir partir. Mais j’avais refuser d’interprété ce regret, et je l’avais vite oublié pour me consacrer à mes autres petits patients. Mais il m’arrivait encore à espérer te revoir, peut-être lors d’une consultation, mais je dois bien avouer que le cadre était bien plus sympathique autour d’un bon chocolat chaud. Et je préférais te voir dans ces conditions, qu’avec un Logan souffrant. Je souris à tes mots qui m’atteignent en plein cœur. J’affiche un sourire touché. « Il faut bien continuer à sourire, les autres n’ont pas à porter le fardeau du désastre qu’est ma vie quand je sors de l’hôpital. Et puis bon, la vie est une chance et il faut en profiter. » Je montre ainsi que je suis quelqu’un de positif. Malgré tout les traumatismes que j’ai vécus, ou que j’ai eu le malheur de voir, il faut continuer à avancer, même si ce n’est pas facile tous les jours. Ta question ne me surprend pas, et je me retrouve un peu bête de ne pas avoir dit mon prénom avant. « Solal. » Je souris doucement, craquant un peu plus pour ce sourire, mais le dissimulant à la perfection. Je te laisse découvrir un peu la vision de la vie que j’ai. C’était vraiment plaisant de parler avec toi, tellement que ça en devenait presque naturel pour le timide presque maladif que je suis. J’affiche un sourire conquis à tes paroles. Je hoche positivement la tête. J’avoue que je suis sur la même longueur d’onde que toi. Si je passais autant d’heures dans mon service c’était bien pour oublier mes problèmes, et surtout ma solitude lorsque j’avais fini de travailler et que je me retrouve seul comme un couillon dans mon appartement, devant une série ou plongé dans un livre. Je n’ai pas d’animaux non plus car je n’ai pas le temps de m’en occuper. Alors c’était terriblement silencieux. Je suis heureux de savoir que Logan va bien. Ça me rassure, ce petit bout respirait la joie de vivre, et semblait surtout te rendre plus qu’heureux. « En tout cas je remarque que tu es bien moins tendu que la dernière fois. » Je souris, cette constatation me fait le plus grand plaisir. Je remarque seulement que tu ne t’es pas réellement installé et tu proposes même de partir. Je secoue négativement la tête, je préférais quand même ta compagnie à ma solitude. « non, enfin sauf si tu as d’autres choses à faire, ce serait vraiment sympa de discuter avec toi. » Je hausse les épaules avant de prendre une nouvelle gorgée d’un chocolat chaud. Je trouvais ça vraiment touchant de te voir bafouiller. Normalement c’était mon domaine. Et moi, j’avais quand même sacrément rougi en proposant ça, ce n’était pas dans ma nature de prendre les rênes d’une conversation. J’étais plutôt timide, et donc il était rare que je sois aussi ‘à l’aise’ avec un homme. Ca passait beaucoup mieux avec une femme, car je sais qu’il n’y aurait pas d’ambiguïté entre nous.
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MessageSujet: Re: quoi qu'il se passe, nos chemins sont liés (lulal #2)   quoi qu'il se passe, nos chemins sont liés (lulal #2) EmptyVen 3 Fév - 18:22

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Il a fait quatre mille kilomètres à pied pour la retrouver et maintenant il veut traverser la Manche à la nage. Toi quand t’es partie, j’ai même pas été foutu de traverser la rue pour te rattraper.

Solal a une vision de la vie qui plaît beaucoup à Lucas. Parce qu'il est sincère, ça se voit. Tout ça donne envie à Lucas d'en apprendre plus sur lui, et déjà que c'est le bordel dans sa tête, ça ne va pas l'aider s'il reste là. Et il va rester, parce qu'il n'a aucune raison de partir. Est-ce que c'est mal ? Ce qu'il fait ? Il se le demande. Parce qu'il n'y a même pas une semaine, son ancien mari a fait son grand retour pour foutre la merde un peu plus. Parce qu'il est de retour et Lucas se permet d'avoir peur pour la suite. C'est si mal que ça, d'être attiré par le pédiatre de son fils alors que Dan est dans la ville et qu'il est prêt à tout si on touche à sa propriété ? Putain, c'est pathétique, il doit s'enlever son prénom de la bouche, il doit avancer en baissent la tête, pour être certain de ne pas croiser d'obstacle sur sa route. Pour ne pas avoir peur et s'arrêter en plein chemin, s'arrêter pour s'anéantir un peu plus. Lucas ne s'en rend pas compte, mais quand on est médecin, on est proche du couloir de la mort. Parce que chaque jour, un patient que le médecin a en charge a des chances de mourir et c'est difficile de ne pas baisser les bras. Ils se battent, eux, pour nous sauver la vie. Et ils gardent toujours une énergie qui intrigue, qui passionne Lucas. « C'est sûr que des enfants malades très gravement, tu dois en avoir. Moi, j'aurai trop peur de faire ton métier. Parce que je risque de m'accrocher à eux, et je risque de ne pas remonter la surface s'ils s'avèrent qu'ils perdent la vie. » Lucas ne voit plus sa vie sans son fils. Si Logan meurt, il ne va pas s'en remettre. Et il ne veut pas penser à ça. Il lui sourit, un sourire qui veut dire des tas de choses, mais Lucas est juste fier de parler à un garçon comme lui. Quand il lui dit son prénom, son coeur rate plusieurs battements. Il a envie de hurler au monde entier ce prénom, parce qu'il est beau, il est magnifique, ça lui va tellement bien et ça sonne tellement bien dans sa tête. Il se retient de ne pas le complimenter, parce qu'il va paraître fou, dingue, et c'est ce qu'il est à cet instant précis. Il est dingue de Solal. Il rigole. Bon sang, il a honte d'avoir agi comme ça la dernière fois, mais ça prouve bien que c'est un père qui est fou de son enfant. Lucas donnerait sa vie pour Logan. Pour le voir sourire tous les jours. « Oui, il est en pleine forme alors... Je n'ai plus besoin de m'inquiéter. Puis, ma soeur est de retour en ville, elle passe beaucoup de temps avec lui. » Un sourire de circonstance, la vérité, c'est que ça bout en lui. Louise est de retour, mais elle a tellement de responsabilités à prendre d'un coup. Elle a vécu l'enfer, et elle en subit les conséquences. Elle ne mérite pas ce qui lui arrive, mais malheureusement, il ne peut pas faire grand chose. Mis à part l'aider, l'épauler, et ne surtout pas lâcher sa petite soeur. Il secoue la tête, pour répondre à sa question. « C'est une bonne chose, je n'avais pas vraiment envie de partir. » Il lui avoue. Il n'a pas envie d'être trop franc, mais il y a des choses qu'il ne veut pas cacher non plus. Il se doit d'être sincère face à un gars qui a une si belle opinion de la vie. « Hormis ton boulot, tu as quelqu'un qui t'attend à la maison ? Des enfants ? » Sa voix est normale, mais il stresse, il a peur de sa réponse, il a peur de se prendre une claque dans la gueule et de s'enfoncer encore un peu plus, de se perdre encore un peu plus, d'avoir de l'espoir pour rien du tout au final.
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MessageSujet: Re: quoi qu'il se passe, nos chemins sont liés (lulal #2)   quoi qu'il se passe, nos chemins sont liés (lulal #2) EmptyMar 7 Fév - 22:52

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J’avais toujours eu une vision positive de la vie même lorsque des difficultés s’étaient présentées, c’est surtout ça qui m’avait permis de tenir le choc. Mais là, tu foutais un sacré bordel dans ma vie et surtout dans ma tête. Mais c’était encore trop récent pour que je sache quoi faire et surtout je ne sais pas vraiment quoi en penser. Est-ce que l’on était ami ou alors il y avait quelque chose de plus entre nous que je ne saurais encore définir ? En tout cas la seule chose que je sais actuellement, c’est qu’à chaque fois que l’on se revoir, je ressens un peu plus de plaisir. J’apprécie nos conversations, nos moments de détente. J’en avais bien besoin, et tu es, pour le moment, le seul qui me procure ce bien-être. Mais surtout qui me faisait oublier ce quotidien parfois un peu morose qui habitait les couloirs de l’hôpital. Ce n’était jamais évident de laisser derrière nous le travail. Ce n’est pas comme quand on travaille dans une entreprise où dès que l’on ferme la porte on peut y laisser les soucis. Non là les soucis nous poursuivent parfois jusque dans notre sommeil. C’était quelque chose avec lequel on devait apprendre à vivre. Il faut également apprendre à ne pas se laisser trop atteindre par nos patients, parfois en fin de vie alors qu’ils n’ont même pas une dizaine d’années. On serait capable de crier à l’injustice tous les jours. Mais, malheureusement la vie continue, et c’est ainsi. « ce n’est pas facile de ne pas s’attacher à eux, on le fait tous plus ou moins, mais il ne faut pas se laisser atteindre par cette injustice. Et c’est probablement ce qu’il y a de plus difficile dans mon métier. Mais heureusement il y a aussi des victoires » Je souris, heureux de partager avec toi ce morceau, important, de ma vie. Et si je m’écoutais je sais que je pourrais en parler pendant des heures, quitte à t’étourdir la tête, mais je me retiens parce que je n’ai pas envie de te voir fuir. Ce serait dommage que tu ne vois qu’un accro au travail, ce que je suis cependant. Mais je ne voulais pas te faire mauvaise impression alors que c’est la première fois que l’on se voyait hors du cadre de l’hôpital, même si c’était par le plus simple des hasards. On finit par aborder un sujet que l’on a en commun : ton fils. Je souris, rassuré de savoir qu’il va désormais beaucoup mieux et que ce traumatisme est définitivement oublié. « J’en suis heureux alors, en tout cas il déborde d’énergie, s’il tient de son père ça ne m’étonne même pas. » Je souris, amusé alors que je m’adosse sur le dossier de mon fauteuil tout en ne lâchant pas ton regard. Je t’invite ensuite à prolonger cette rencontre impromptue. Finalement un peu de compagnie ne me ferait pas de mal. « Alors tu peux t’installer tranquillement, je ne vais pas te manger. » Je rougis sous mon insinuation, bordel ça ne me ressemblait pas. Mais c’était sorti sans même que je ne puisse contrôler ma pensée. Mais je souris doucement avant de secouer négativement la tête. « Non à part ma console de jeux personne ne m’attends. Il faut dire qu’il faut vouloir vivre avec mon rythme effréné de travail. » Je souris tout en haussant les épaules. Après tout je n’avais pas grand chose à cacher. Et surtout je ne voulais pas te décevoir.

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MessageSujet: Re: quoi qu'il se passe, nos chemins sont liés (lulal #2)   quoi qu'il se passe, nos chemins sont liés (lulal #2) EmptyLun 13 Fév - 2:59

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Il a fait quatre mille kilomètres à pied pour la retrouver et maintenant il veut traverser la Manche à la nage. Toi quand t’es partie, j’ai même pas été foutu de traverser la rue pour te rattraper.

Lucas se met un peu plus à son aise. Il s'installe confortablement sur cette chaise, peu confortable parce qu'il sait qu'il risque d'avoir une douleur au fessier, mais il s'en moque un peu. Être face à Solal, ça le fait sourire, un sourire un peu niais. Un truc que les adolescents vivent quand ils ont quelqu'un en face d'eux qui fait battre leur coeur. Alors que c'est ridicule, Lucas n'est pas au point d'avoir des sentiments pour Solal. Mais... Au point d'avouer qu'être à ses côtés, c'est plus qu'agréable. Puis ça lui plaît, de découvrir des choses qu'il n'a pas avec son métier, d'avoir un point de vue de quelqu'un qui connaît ce milieu. Ce n'est pas avec ses voitures qu'il va créer un sentiment d'attachement. Ce n'est que des tas de ferraille, qu'il remet juste en main. Quelques vidanges également. Il ne fait pas grand chose-lui. Alors que Solal, il a un métier particulier, un métier pas facile du tout. Lucas l'admire, vraiment, et parlé de ça avec lui, ça lui donne des étoiles dans les yeux. « Leurs morts, ce n'est pas vraiment des échecs. Parce que vous, les médecins, vous faites tout pour que ses gosses puissent avoir un avenir. Mais des fois, le système humanitaire n'en a rien à foutre et il joue avec vos nerfs. Ils finissent même par gagner. Mais ce n'est pas ça qui vous rend mauvais. Et heureusement, ouais, qu'il y a des victoires. Puis, c'est grâce à vous, surtout. » Il termine sa boisson, il en recommandera un plus tard. « Ma petite soeur a eu une grosse leucémie, quand elle était gosse. C'est grâce aux médecins comme toi, qui fait qu'aujourd'hui, elle est toujours en vie. » Prendre l'exemple de sa soeur, c'est comme une évidence à ses yeux. Parce que cette période de sa vie, il ne l'oublie pas. Il était jeune, même très jeune, et ses parents étaient tellement peu confiants. Les résultats étaient toujours mauvais, toujours. Jusqu'au jour où ils ont commencé à voir une amélioration. Jusqu'au jour où ils apprennent aux parents de Lucas qu'elle était rétablie. Le pédiatre lui parle de son fils, et ça le fait sourire. Tellement sourire. C'est niais, il le sait. Mais il suffit qu'on lui parle de son fils pour qu'il oublie le reste. « Ouais, c'est clair. Mais quand il est malade, ou qu'il est fatigué, il est calme. Puis il fait beaucoup de câlins. » Deux yeux qui pétillent. « J'ai dû mal à couper le cordon. » Il lui avoue. Mais ce n'est pas sa faute, il est seul pour s'occuper de lui, il n'avait que lui pour s'attacher quand son mariage a coulé. Il n'y avait que lui pour s'occuper de son bébé. Alors, ouais, il est réellement proche de ce gamin. C'est le sien, il est fier de lui. « C'est aussi difficile que ça ? » Il ose demander. Il ne se rend pas vraiment compte des heures de boulot d'un médecin. Bien qu'il regarde à la télévision des séries médicales, il s'est toujours demandé si ce qu'il se dit à la télé est une réalité. S'ils n'exagèrent pas trop. « Et donc... Les jeux vidéos ? C'est intéressant. J'suis certain que je peux t'écraser à tous tes jeux. » Il a un esprit de compétiteur, il ne se voit pas beaucoup, mais ça reste un garçon. Les garçons et les jeux vidéos, c'est une terrible histoire d'amour. Même en prennent de l'âge.
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MessageSujet: Re: quoi qu'il se passe, nos chemins sont liés (lulal #2)   quoi qu'il se passe, nos chemins sont liés (lulal #2) EmptyMar 14 Fév - 18:54

the shape of you
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Il a fait quatre mille kilomètres à pied pour la retrouver et maintenant il veut traverser la Manche à la nage. Toi quand t’es partie, j’ai même pas été foutu de traverser la rue pour te rattraper.

Je n’ai pas envie de sortir du cocon confortable de ce bar, surtout depuis que tu es installé en face de moi. Je me sentais bien. Tellement plus serein depuis que tu es là. Je ne peux pas vraiment expliquer ce que je ressens vraiment, c’est comme s’il n’existait pas de mot adéquat pour qualifier ce que je ressens à ce moment précis. J’ai le cœur qui bat toujours un peu plus fort en ta présence, et ce depuis que j’ai posé les yeux sur toi, alors que je ne connaissais même pas ton nom ni ton prénom. C’est comme si un coup de cœur m’avait fauché. Mais ma timidité m’empêchait de faire le premier pas. Et surtout de dévoiler ce que je ressentais. Mais la conversation tournait un peu trop autour de moi, comme si toi aussi tu ne voulais pas te laisser découvrir. Nos conversations tournaient quand même un peu autour de généralités, on ne rentrait pas encore trop dans la sphère personnelle. Même si on aborde un sujet délicat avec parfois la mort au bout du compte. Je sais que je ne peux pas sauver les enfants du monde entier, mais c’était toujours très difficile quand on devait faire face à le mort, surtout quand c’était des enfants en bas âge. « Que ce soit le destin ou non, c’est toujours très compliqué à gérer et à expliquer à des parents qui subissent le poids d’une injustice sur leurs épaules. Personne ne s’en remet jamais vraiment. » Je soupire doucement, généralement je n’ai jamais l’occasion d’en parler avec d’autres personnes que mes collègues. Je t’écoute, touché en plein cœur par ton histoire. Je sais combien la maladie peut parfois briser l’harmonie d’une famille. Mais vous semblez, d’après ton discours être encore très soudés. « Je suis heureux qu’elle s’en soit sortie. Elle a aussi eu la force de vouloir guérir, et ça, ça fait beaucoup. » Je souris, décidément je commençais à penser que la force était une affaire de famille. En tout cas je sais de qui tiens le petit Logan. Il n’était pas ton fils pour rien. Et ton fils était ce lien qui nous liait tous les deux. Alors c’était tout naturel que la discussion dévie de ce côté-là. Je souris à tes paroles, attendris face à ce rôle de père qui te va à merveille. En tout cas c’était le tableau le plus attendrissant que je voyais, et ce n’est pas pour rien que j’adorais travailler avec les enfants, parce que leur innocence nous rappelle l’enfant que l’on est toujours. « Comme tout les parents, tu sais. Il y en a beaucoup qui ont du mal à couper le cordon. » Je souris doucement. Mais je comprends totalement, même si je ne vis pas ce que tu peux vivre, car je suis seul chez moi. Je suis surpris par ta question, qui est somme toute logique. « Non, mais mon travail ne me laisse pas beaucoup de temps libre, et un rythme spécial auquel pas beaucoup ne veulent vraiment s’adapter. » Mais surtout c’était moi qui ne souhaitait pas m’investir dans une relation. Je ne sais pas pourquoi je n’ose pas te l’avouer. « Hum.. ça je n’en suis pas sûr, vu que je passe pratiquement tout mon temps dessus quand je le peux. » Je souris, néanmoins l’idée de partager ça était une idée tentante. « On pourrait s’organiser une soirée. » Je rougis quand je prend en compte la portée de mes propos.


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