Effectivement, peut-être que quelle que soit la finalité de notre relation, notre duo au travail devait prendre fin. C’était quand même un sacré bout de ma, notre, vie qui va se terminer. Une nouvelle page va se créer. Ça allait être complètement différent, puisqu’on ne va plus passer toute nos journées ensemble. Ça allait faire quand même un sacré changement. Mais peut-être que ce serait un mal pour un bien. Mais si ça nous permettait de profiter pleinement l’un de l’autre, alors je suis prêt à faire des sacrifices. Et puis peut-être que cela calmera certaines tensions qu’il y a eu entre nous dernièrement. Je ne sais pas trop où on va et j’évite encore d’y penser. Je ne veux pas encore voir les conséquences de mes propres actes. Pour le moment je décide de vivre au jour le jour. Peut-être que je le regretterais, ou peut-être que cela confirmera le choix que j’ai fais.

Je frissonne, tes caresses me faisaient un bien fou. On était plus que proche et on se cherchait, comme dans le jeu du chat et de la souris. « je sais, mais je ne parviens pas à me résoudre de ne plus travailler avec toi. C’est comme si on m’arrachait quelque peu une partie importante de ma vie. En même temps je ne suis pas prêt à devenir autre chose qu’un flic, tu as raison. » mais assez parler de ça, ce n’était pas vraiment le but, maintenant, de notre entrevue. Maintenant que les choses étaient, enfin mises à plat, on devait aller de l’avant. « Ah bon, parce que je ressemble à tous les prétendants ? » Je hausse un sourcil amusé. Bien sûr que je pense avoir ce qu’il faut, sinon je ne serais presque pas certain de te plaire. « je pense que déjà le truc que j’ai entre les jambes m’aide beaucoup, et le fait que j’ai la poitrine plate ? » je souris, me collant un peu plus contre toi. « et j’ai envie de vous rendre heureux monsieur Hayes. »

Il vaut mieux que l’on arrête de parler sur notre supérieur, tout simplement parce que ç finirait par déraper à un moment ou à un autre. On ne s’entend pas, on ne va pas en faire un drame. Mais je ne suis pas certain de continuer à travailler sous lui si tu n’es plus là. « hum, cette proposition me va totalement aussi. » je gémis alors que tes dents attrapent mon lobe d’oreille, zone érogène. Je frémis alors que tu continues la découverte de mon corps de ta ravissante bouche. Je grogne alors que tu proposes de m’offrir ton sexe et tes fesses. Bordel oui que je veux. D’ailleurs mes mains vont s’abandonner sur tes fesses rebondies. Je sais que je joue à un jeu dangereux mais je ferme les yeux et me laisse emporter une vague de désir me poussant à briser mes précédentes promesses.

Je te dévore du regard alors que tu te déshabilles complètement dans la chambre. Un corps parfaitement galbé, et tout à fait à dévorer. Ma langue passe sur mes lèvres asséchées par cette vision enchanteresse. Et encore plus au sud, la vue était plus que parfaite. « pas aussi éveillée. » je souris, amusé, alors que je termine de me déshabiller hâtivement pour me retrouver tout aussi nu que toi. Je me retrouve allongé avec un fauve au-dessus de toi. Mes bras trouvent rapidement tes haches pour te coller encore plus contre moi. Ma langue trouve la tienne avec avidité alors que mes mains découvrent chaque parcelle de ton corps. J’entoure tes hanches de mes jambes pour augmenter la friction. Je reprends avec gourmandise tes lèvres, mes mains s’accrochant désespérément dans ton dos. « Jud… » ça ressemble plus comme un souffle, comme un appel à briser toutes les barrières. J’assumerais plus tard. « Oh, oui… À toi. »