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 La déchéance de la douleur (Matson #3) hot

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Matthias Nikelsen
Matthias Nikelsen
☞ ÂGE : 38 ans
☞ STATUT : Reloading.
☞ PROFESSION : Policier
☞ HABITATION : Dewsbury Moor

☞ BAFOUILLES : 3233 ☞ PSEUDO : Squirowl.
☞ AVATAR : Pedro Pascal
☞ CREDITS : squirowl
☞ MULTI-COMPTES : aucun

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MessageSujet: La déchéance de la douleur (Matson #3) hot   La déchéance de la douleur (Matson #3) hot EmptyVen 11 Nov - 21:30

La douleur de l'amour


 
feat : Matson

Dévasté était probablement le mot qui convenait le mieux à mon état en ce moment. Surtout après la catastrophe de l’autre soirée. J’avais mis du temps avant de réagir mais après je m’étais rhabillé et j’avais passé la journée à relire nos SMS. Oui je m’étais montré particulièrement nostalgique. Mais, depuis cette soirée je n’étais pas revenu au commissariat, j’avais averti mon supérieur que je prenais le reste de mes congés. J’avais une idée derrière la tête, bien sûr. Travailler avec toi, ça allait devenir compliqué. Je pense que tu seras tout à fait d’accord. Même si j’aurais aimé pouvoir continuer comme avant, il faut arrêter de se voiler la face, rien ne sera comme avant, parce qu’on avait définitivement bafoué notre amitié au profit de l’amour. Je n’ai pas regretté ce choix, et je ne le regrette toujours pas. Même si ça a été bref, même si j’aurais aimé que ça dure, je n’ai pas de remords, je ne veux pas en avoir, sinon mon cœur ne guérira jamais.

Du coup, j’étais parti à Londres, chez ma petite sœur qui y bossait en tant qu’infirmière. J’en avais profité pour aller voir une connaissance, ou plutôt un collègue pour savoir s’il pouvait appuyer ma demande de mutation dans le commissariat de Londres, dans son service. Oui, je devais m’éloigner de Dewsbury, du moins pour un temps. Rester à proximité de toi me semblait insurmontable. Déjà parce que la tension serait à son maximum. Mais si en plus on devait travailler ensemble, ça relevait pratiquement de l’impossible. Ça me minait, parce que j’avais des amis et une vie à Dewsbury. Mais Londres, ce n’est pas encore fait. Alors je n’en ai pas encore parlé avec James. De toute manière je ne suis même pas sûr de continuer avec lui. Peut-être que j’ai besoin de me retrouver seul pour recommencer une toute nouvelle vie, ce que je désire depuis quand même un certain temps. Mais là je ressentais le besoin de passer à l’acte.

Mais, tu me connais, même lorsque je suis blessé, et que je me renferme sur moi-même, je ne veux rien te cacher. On ne s’est pas revu depuis le cataclysme, l’explosion de notre relation. Comme tu ne voulais pas que je te donne des nouvelles, j’ai tenu la promesse, tu n’as pas eu un appel, ni même une visite et tu ne m’as pas vu au poste, alors tu ne peux pas me le reprocher. Mais je ne peux pas te cacher mon projet, peut-être dans un espoir silencieux que tu me retiennes. Alors je vais te rendre visites, au risque que tu me fermes la porte au nez. J’étais déjà devant chez toi. Je prends quelque temps pour souffler un peu avant de sonner. La porte s’ouvre quelques secondes plus tard mais pas sur la silhouette tant attendue. Ma bouche s’ouvre, formant presque un ‘o’ parfait, avant de la refermer tout aussi rapidement. « Heu… ? » voilà que je me retrouvais nez à nez avec notre supérieur. Vision presque apocalyptique, qui pourtant ne laissait aucun doute sur le sujet de sa visite, déclenchant un raz-de-marée de jalousie en moi, et surtout l’envol du dernier espoir.

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Dernière édition par Matthias Nikelsen le Jeu 17 Nov - 22:34, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: La déchéance de la douleur (Matson #3) hot   La déchéance de la douleur (Matson #3) hot EmptyVen 11 Nov - 23:01

La douleur de l'amour


 
feat : Matson and Caetano Sanchez

Tu avais tenu ta promesse. Tu ne m'avais pas envoyé un seul sms, alors pourquoi je n'avais pas arrêté de regarder mon téléphone comme un idiot, en espérant que tu brises ma stupide requête. A la place, tu avais pris la poudre d'escampette. Je te détestais pour cela, car ne savais tu pas lire entre les lignes ? Que tout cela c'était un coup de sang ? Un coup dans l'eau ? Je n'attendais plus que le moment où tu reviendrais à moi et où j'aurais l'occasion de m'excuser. L'occasion de mettre tout cela derrière nous, pour que nous puissions en rire un jour.

« Arrête...» demandai-je.  « Heu…Tu plaisantes...Je peux pas arrêter comme cela... » Pourquoi c'est bien ce que je te demandais, Caetano. J'allumais la lumière et m'extirpais de mon lit pour te fuir, en quelques secondes j'avais enfilé mon boxer et je m'étais planté devant ma fenêtre. Le regard dans le vague et les bras croisés. Tout cela ne semblait pas plaire à mon père de famille. Caetano fulmina et enroula le drap autour de sa taille. Je le vis grogner avec rage, mais cela ne changeait rien à ce que je ressentais. Je ne pouvais pas. Depuis, ma dispute avec toi, on ne pouvait me toucher sans que je pense à toi.  « Tu sais c'est toi qui m'a dit de passer. Toi, qui m'a dit de te faire l'amour comme une bête. »  Je fixe les voitures qui défilent sous ma fenêtre, ma réponse est froide et sans vie. « C'est vrai...Il faut pas m'en vouloir s'il-te-plaît...J'ai déjà assez à gérer avec Matthias.» J'entendis Caetano, notre supérieur, soupiré alors qu'il se dirigea vers ma cuisine. Je l'entendis ouvrir le frigo et je suppose qu'il se servit une bière. C'est en tout cas ce qu'il avait l'habitude de faire après nos ébats.

Je t'entendis même pas sonner à ma porte. J'avais l'esprit ailleurs. Caetano le remarqua, car c'est après m'avoir appelé trois fois, qu'il descendit d'ouvrir lui même. « Et, moi qui pensait ma soirée foutue. Agent Nikelsen, vous allez faire ma soirée. Chéri, tu as de la visite ? » Voilà, comment il t’accueillit alors simplement vêtement de mes draps autour de sa taille comme vêtement. « Depuis, quand tu m'appelles Chéri, toi ? Tu es malade ? C'est qui ? » J'ai déboulé, terminant d'enfiler mon tee-shirt. Je te vois sur mon palier. Caetano trop heureux de te pousser à entrer, au point qu'il t'attrape par le bras et ferme la porte derrière toi. Moi, je reste idiot alors que notre supérieur prend un malin plaisir à nous torturer. « Je sais pas pour vous deux, mais j'ai hâte de voir la suite. Au faite, je la jette où la capote ? » L'humour pitoyable de Caetano termina de me faire reprendre mes esprits. Tu étais là et j'avais dix milles à te dire, dix milles à te faire entendre pour que tu daignes accepter mes excuses. Et, moi comme un idiot je te demande : « Tu veux que je te prenne ton manteau ? Tu veux boire quelque chose ? » Ce qui fit rire notre supérieur qui s'installa sur un fauteuil, nous fixant comme si on lui offrait un formidable film vivant  : drame, amour et rebondissements.



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MessageSujet: Re: La déchéance de la douleur (Matson #3) hot   La déchéance de la douleur (Matson #3) hot EmptySam 12 Nov - 14:44

La douleur de l'amour


 
feat : Matson

Chaque jour j’étais tenté de t’envoyer un message, de tenter de m’excuser. Mais à chaque fois je n’avais pas la force de te l’envoyer. Je ne savais pas vraiment quoi dire. En même temps, ce que tu m’avais dit m’avait réellement blessé. Et même si je te connaissais assez pour savoir que c’était une manière de te protéger, tu m’avais mis plus bas que terre. Pourtant je comprenais pourquoi tu avais fait ça, même si tu avais tort. Mais je n’avais pas la force de te confronter. Au final, les non-dits commençaient à s’installer entre nous.

L’idée de venir chez toi m’angoissait quelque peu. On ne s’était pas revu depuis que tu étais venu faire ce putain de strip-tease chez moi. Jamais on n’aurait dû le faire. On aurait dû rester de simples amis. On le savait que, si on incluait les sentiments, tout allait partir à vau-l’eau. On a gâché une amitié, mais surtout des années de complicité qui frôlaient la perfection. Et là, ça relevait de l’impossible de retravailler ensemble ans que nos problèmes ne nuisent à l’efficacité de notre travail. Pourtant c’était une véritable déchirure que d’imaginer que, dans quelques semaines nous ne travaillerons plus ensemble. Ce boulot c’était un peu la base solide de notre relation, c’était comme ça que l’on s’était connus, et on avait toujours évolué ensemble. Tu savais mieux que quiconque je que pouvais vivre dans ce métier. Mais, je ne vois pas comment maintenant on peut continuer de se voir sans nous bouffer à la tronche parce que nos problèmes sont trop présents entre nous, et nous bouffe la vie. Pourtant, cette histoire de mutation, je ne veux pas que tu l’apprennes par quelqu’un d’autre. Peut-être que, au fond, de moi, je veux que tu me retiennes, que tu dises que tu ne pensais pas tout ce que tu m’as balancé. Parce que je sais qu’au final, je serais incapable de te résister.

Il est temps d’entrer, en plus il fait un froid de canard à l’extérieur. Mais peut-être que j’aurais mieux fait de ne pas venir quand je me retrouve face à Caetano, avec, juste un drap autour de ses hanches. Je déglutis, la déception m’envahissant. La douleur de la trahison est comme une flèche en plein cœur. J’ai envie de m’en aller, maintenant. Mais, malheureusement notre supérieur n’est pas de cet avis. Il semble se donner à cœur joie de mon malheur. Je lui ai fait quoi, au juste ? le pire c’est que je te vois débouler à moitié habillé, ne laissant aucun doute sur ce qui venait de se passait dans ces murs. Finalement, comme tu le disais, tu n’as pas de difficultés pour trouver quelqu’un pour te ‘sucer’ comme tu dis si bien. Je m’extrais de la prise de Caetano puis croise les bras contre mon torse. Mon regard s’est définitivement fermé. Tu n’as pas perdu de temps pour aller voir ailleurs, oh, même bien avant cette désastreuse soirée si je comprends bien le sens des paroles que j’entends. « Non merci, ça ne sera pas long de toute manière. Et comme ça, Caetano, tu seras également au courant, ça m’évitera de faire le déplacement au commissariat. » je lui envoie un regard noir, chargé de reproches. Je me recule, me retrouvant acculé contre un mur. J’ai besoin de soutien pour ne pas tomber. « J’ai demandé ma mutation, j’attends la réponse de Londres et de Wakefield. Mais ça devrait se faire dans les prochaines semaines. » Et je sais maintenant que j’ai fais le bon choix. Si tu avais piétiné mon cœur l’autre soir, là tu viens de définitivement le briser. Je baisse les yeux, pour que tu ne remarques pas que je suis brisé. Brisé de ce qui s’est joué devant moi. Au final je me suis bien fait avoir.

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MessageSujet: Re: La déchéance de la douleur (Matson #3) hot   La déchéance de la douleur (Matson #3) hot EmptySam 12 Nov - 22:15

La douleur de l'amour



feat : Matson and Caetano Sanchez

Je devrais être angoissé par ces regards noirs qui me toisent moi et notre supérieur. Je devrais m’inquiéter que tu nous vois ainsi, que tu découvres ce que j'avais pris t'en d'importance à te cacher. Je pourrais mettre cela sur le dos de l'épouse et des enfants de Caetano, mais je savais bien au fond de moi que je voulais que tu n'es pas cette image de moi. Moi, glissant entre ses bras, m'offrant à lui comme tu ne pourras jamais l'imaginer et c'est très bien ainsi. Moi et Sanchez cela n'a jamais été une histoire d'amour, une histoire de fesses tout simplement. Car, nous deux nous le voulions, car nous étions des adultes. Sanchez m'avait raconté que sa femme s'envoyer en l'air avec son professeur de yoga et que leurs enfants étaient assez grand pour aller à l'université. Qui étais-je pour juger ? Cela m'avait bien arrangé de passer mes frustrations dans ses draps. Je n'étais pas quelqu'un de bien, mais j'ai jamais dit que je l'étais.

Non, tout cela je m'en moque, comme ton regard réprobateur. Je suis simplement trop heureux de te voir devant moi, trop heureux d'avoir peut-être la chance de m'excuser. Je n'ai pensé qu'à ce moment dès que j'ai franchi le seuil de ta porte et que je me suis rendu compte à quel point j'avais tord. Mais, là, ce qui me fout un choc, c'est ton annonce. J'en recule et je m'en assoie. Je ne comprends rien à ce que tu m'annonces. Caetano, lui, est bien présent et te renvoie tes regards sombres. Lui, il a bien compris ce que tu lui annonçais. Il tourne la tête pour se pencher sur ma réaction et semble pas content de la réaction qu'il voit sur mon visage.

Notre supérieur s'approche de la table de la cuisine et s'empare d'un fruit. Il essuie une pomme sur son torse avant de croquer avec force dedans. « Oh, c'est dommage cela Nikelsen. » Il s'approche de toi et n'ose en rien de se retenir de te balancer, yeux dans les yeux. Homme entre Homme. « Non, en faite, on va pas se mentir, je vous avais jamais aimé, donc je dirais bon vent et n'attendais pas une lettre de recommandation de ma part. » Ces mots de mon supérieur me font bondir et je me glisse entre vous. « Tu devrais peut-être aller t'habiller ? Laisse moi parler avec Matthias. » Notre supérieur me jette à peine un regard, mais décide de reculer. Il se retourne juste une dernière fois avant de disparaître dans ma chambre. « Si vous vous foutez sur la gueule, je veux être là alors retenez vous jusqu'à que je revienne. » Je soupire et je t'attire un peu plus loin. Je te prends par le bras et t'emmène dans mon bureau. Je ferme derrière nous et cherche ton regard avant de te parler.

«Regarde-moi, Matt'. C'est vraiment ce que tu veux ? Mais, je dois dire que je comprends pas. Tu pars avec James. Vous déménagez ? » Je déglutis. Je ne suis pas fier de moi. « Si c'est par rapport à l'autre soir, je te dois des excuses. J'aurais pas du te parler comme ça. C'est moi qui est tord dans cette histoire. » Je pose une main sur ton épaule. Je cherche le contact avec toi, nous pour t'enflammer, mais pour retrouver mon compagnon de route, mon ami, mon meilleur ami. « On peut discuter quand même ? Personne est mort, si ? Je t'ai blessé, mais on peut travailler dessus ? » Alors, que j'essaye de t’apaiser. La voix de notre supérieur se fait entendre alors qu'il est loin et à l'autre bout de l'important. « Ah, non, je veux pas des câlins, je veux du sang. » Je hurle de colère à en perdre le contrôle. « Ta gueule ! » Mais, soudain j'ai un éclat de lumière. Tu vois mon visage rayonné d'une étrange lumière. « Non...En faite, il a raison... » Je recule et je lève mes bras vers toi comme pour t'inviter. « Frappe-moi, Matthias ! Je t'ai insulté ! J'ai été injuste ! Frappe-moi le plus fort que tu peux. » Je le mérite et je te jure je me sentirais mieux après. Et, si tu dois t'en aller, je te retiendrais pas. Tu le sais. Je t'ai attendu dix-ans, tu crois que je vais courir derrière toi. Si, c'est ta décision, je te dirais au-revoir. Mais, réglons tout cela avant que tu partes, tu veux ?



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MessageSujet: Re: La déchéance de la douleur (Matson #3) hot   La déchéance de la douleur (Matson #3) hot EmptyDim 13 Nov - 0:16

La douleur de l'amour


 
feat : Matson

Jamais je n’aurais soupçonné tout ça entre vous. J’en tombais, littéralement, des nues. La jalousie parcourt mes veines comme un venin destructeur. Maintenant, jamais plus je ne vous verrais de la même façon. Alors oui, c’est peut-être mieux que je parte, finalement. Pour le bien de tous. Et surtout de nos collègues. Je n’avais pas envie que l’ambiance se détériore parce que l’on était incapable de se tenir correctement. En même temps on avait dépassé la seule barrière qui nous en empêchait. Franchement je ne sais pas si je saurais rester de marbre si jamais une tension venait à éclater entre nous. Pourtant tu sais que je peux me montrer d’un calme olympien, mais c’est beaucoup moins facile quand tu es dans l’équation. Mais maintenant en plus que je sais que tu te tapes notre supérieur, je ne peux m’empêcher de me dire que d’aller travailler vous allait être vraiment très compliqué. Je sens mes dernière bribes d’espoirs s’envolaient petit à petit.

Pourtant même si je sais que la révélation va certainement crée de nouveau un gouffre entre nous. Plongeant mon regard dans le tien, j’en oublie presque Sanchez. C’est comme s’il n’y avait que toi et moi dans la pièce. La tension est là, plus puissante que jamais. Cette soirée où tout a dérapé éclate entre nous. Pourtant je ne peux pas reculer, je ne peux pas faire marche arrière, je dois te l’annoncer. Et j’y vais de manière directe, tu me connais quand il y a quelque chose qui me dérange je n’y vais pas par quatre chemin. Je souffle, soulagé d’un poids de te l’avoir dit, pourtant un autre vient s’ajouter quand le silence se fait dans la pièce. Je relève mon visage, pour voir le tien dévasté. Je déglutis, j’ai envie de te prendre dans mes bras.

Mais je me retrouve nez à nez avec Sanchez. Je croise de nouveau les bras avant de hausser les épaules. Que Sanchez soit heureux ou malheureux, je n’en ai rien à battre sérieusement. Ce n’est pas lui l’important dans l’histoire. « Tu sais, je m’en fous que ça te plaise ou non, à la base, c’est à Jud que je venais parler. » mais je n’ai pas le temps de m’écarter que tu es déjà devant moi, bien trop près. Je soupire, continuant de fusiller du regard Sanchez, sans l’intention de baisser le premier le regard. Quand il s’éloigne pour se rhabiller, je reporte mon attention sur toi. Et je sonde ton regard pour savoir à quel degré cette nouvelle t’assomme. Mais tant qu’il y a notre supérieur dans les parages, cela n’aidera pas. Mais je souris, quelque peu soulagé de nous éloigner dans ton bureau. Un peu d’intimité ne ferait pas de mal, surtout pour avoir les réponses que je souhaite. Une fois le bureau fermé, je regarde tout autour de moi, évitant ton regard. Me retrouver seul avec toi et étrange, surtout dans un endroit aussi confiné. La tension entre nous grandit encore un peu plus. C’est étrange mais je sens que l’excitation entre nous revient au galop. Cet aimant qui nous attire l’un à l’autre recommence son effet, mais je dois y résister.

Je redresse la tête et ancre mon regard dans le tien. « Est-ce que j’ai vraiment le choix ? Tu crois que l’on peut vraiment continuer ensemble ? Et non, je ne pars pas avec James… On est sur la voie de la séparation… Je pense. » un éclat d’espoir luit dans mes yeux. Je me détends visiblement tandis que je me rapproche de toi. « Vraiment, tu ne penses vraiment pas que tu es là en remplacement ? » je soupire doucement, comme soulagé d’un poids. « Parce que ça n’a jamais été le cas. Par contre je doute un peu plus pour moi. » L’image de toi et Sanchez vient frapper contre ma rétine comme une image indélébile. Je grogne quand j’entends notre supérieur se manifester encore. « Il ne peut pas dégager lui ? D’ailleurs j’aimerais bien des explications sur ce qu’il faisait ici… » Je fronce les sourcils alors que ton expression change d’une émotion contradictoire à l’autre. Je secoue la tête. Tu sais bien que je ne suis pas un partisan de la violence gratuite. Tu semblais pourtant n’attendre que ça. Je secoue la tête. « Non. » Je baisse la tête. « J’ai aussi ma part de responsabilité. Je n’ai pas été clair sur ce que je voulais vraiment, je m’en excuse. Mais, même si c’est une déchirure, je ne pouvais plus te regarder en face après les mots que tu m’as dit. C’était comme un poignard dans le cœur. Cette fuite en avant, cette mutation, c’était pour ne plus être le parasite que je suis pour toi, Jud. » je te regarde, excluant toutes les protestations de Sanchez. « JE te veux Jud, depuis que tu m’as embrassé, mais, si je ne veux pas te posséder, c’était par respect à tes sentiments. Je trouvais injuste de me réveiller à tes côtés en te disant que je vais retrouver James. Je voulais être entièrement libre. Désolé de ne pas avoir su te le faire comprendre. Je ne peux pas rester ton coéquipier, si on ne se parlait plus. Être à tes côtés alors que l’on s’évite personnellement ça relève de l’impossible pour moi, Jud, pourtant je n’ai pas envie de partir. » Je sais que ce n’est pas très clair, mais, en fond, je te balance que j’ai des sentiments pour toi, et que tout ça me perd complètement.


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MessageSujet: Re: La déchéance de la douleur (Matson #3) hot   La déchéance de la douleur (Matson #3) hot EmptyLun 14 Nov - 22:12

La douleur de l'amour


 
feat : Matson and Caetano Sanchez

Nous sommes si proche que cela en ai douloureux. Ressens-tu cette chaleur entre nous ? J'ai envie de fondre sur tes lèvres, pour te faire accepter mes excuses, mais à la place je préfère t'écouter. C'est un problème de communication qui nous a mené ici. Je veux qu'on se dise tout. Je secoue la tête quand tu me demandes bien si je suis sérieux. Bien sûr, que j'ai jamais pensé que j'étais un remplacement. C'est vrai que je pourrais me poser des questions : pourquoi tu t'intéresses enfin à moi ? Comment est-ce que tu as ouvert tes yeux sur moi ? Mais, soyons honnêtes et vulgaires : Je m'en bas les couilles. Je ne sais pas où cela va nous mener Matthias tout cela et cela sera peut-être pas joli. Mais, si on essaye pas on ne saura jamais, non ?

Nous nous sommes isolés, car je voulais plus que tu sois en contact avec notre supérieur. Je le voulais hors de chez-moi, car je commençais à réaliser que tu allais forcément poser des questions. Je n'avais pas honte de moi, attention. J'étais un homme. J'avais une sexualité. Cependant, tu pouvais te demander si c'était plus sérieux entre moi et Sanchez ? Alors, que j'essayais de vous séparer, je ne pouvais pas m'empêcher de l'entendre. Je grommelais de colère dans ma barbe à chaque fois et ta question sur lui et moi n'allait pas arranger les choses. J'ai voulu te couper en posant mon doigt sur tes lèvres, mais trop tard.

Les portes coulissantes du bureau s'ouvrèrent en grand. « C'est une bonne question cela ? Je fais quoi ici, Jud ? » balança t-il en tout me regardant avec un œil puéril. Tu es vraiment un gamin Sanchez, mais au moins tu es habillé et cela me fais au moins plaisir. Je soupire et je me tourne vers toi Matthias. « Tu veux la vérité ? Moi et Sanchez, on s'envoie en l'air de temps en temps...  » Je veux me justifier, mais Sanchez, encore lui, me coupe ! Il se dresse entre nous et pose ses mains sur tes épaules Matt. « C'est pas tout à fait exact, c'est plutôt à chaque fois qu'il se sentait la dernière merde en vous voyant toi et James. Et, qu'il se disait qu'il t'aurait jamais, qu'il venait gratter à ma porte pour me supplier de lui faire oublier tout cela. » Je repousse en arrière notre supérieur et je montre ma colère face à cette révélation déplaisante. « Stop ! Tu cherches quoi ? Rentre chez toi... »

En tout cas, Sanchez cherchait exactement ce qu'il voulait et je le vois dans son regard. Il en sourit. Il quitte le bureau et va s’emparer de sa veste dans le salon, mais malheureusement, il est pas encore partit. Tu te livres à moi comme jamais et je viens poser mes mains sur tes joues. Je veux chasser toute cette peine que je t'ai causé. « Ne pars pas alors. Pourquoi on s'éviterait ? J'ai été injuste avec toi et tu sais que j'ai des éclats de sang. Tout cela pour moi est déjà oublié, je pensais pas tout ce que t'ai dit, j'espère que tu le sais. Je tiens à toi, Matthias, la dernière chose que je veux c'est te faire du mal. » Je pose un baiser léger sur tes lèvres. « C'est sirupeux tout ça. Pitoyable ! Bref, je vais y aller moi. Et, Jud, quand tu auras retrouvé la raison et que tu voudras qu'un vrai mec s'occupe de tes jolies fesses, tu as mon numéro, hein ?  » Je vais pas te retenir Sanchez. Va -t'en !

La porte claque et il nous reste plus que nous deux. « C'est pas un total enfoiré en règle général. Je pense qu'il est juste malheureux que cela se termine nos petits ébats, mais il va s'y faire. » Je tiens à te le dire. Je sais que notre supérieur est très professionnel et tout cela ne sera jamais mis sur la table au travail. Je te prends la main et je la pose sur mon cœur. « Ne pars pas, Matt. Surtout, pas à cause de nous. Je veux que tu partes car tu en as envie. C'est ridicule, tu ne penses pas ? » Je veux pas te blesser ou créer une guerre. Je veux juste la paix.



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MessageSujet: Re: La déchéance de la douleur (Matson #3) hot   La déchéance de la douleur (Matson #3) hot EmptyMar 15 Nov - 20:30

La douleur de l'amour


 
feat : Matson

Depuis que tu m’ais embrassé la première fois, j’avais l’impression qu’un aimant m’attirait sans cesse vers toi. Mais je ne voulais pas céder, pas maintenant du moins. On devait parler, se dire les choses pour éviter qu’il y ait une incompréhension comme la dernière fois n’arrive. On devait se parler pour désamorcer les non-dits. Je ne veux plus qu’on s’éloigne. Plus maintenant. Fini de se tourner autour. Bien sûr ce n’est que la moitié des réponses qui seront dites, et que c’est surtout moi qui pèche de ce côté-là. Il y a bien des questions dont je n’ai pas encore de réponse. Surtout sur la question que tu pourrais légitimement me poser : sur comment j’ai enfin ouvert les yeux sur mes sentiments. Mais, je sais qu’ils sont bel et bien présents et on ne peut plus véridiques.

Je souffle enfin quand je me retrouve seul avec toi dans ton bureau. Je dois d’ailleurs résister à l’envie de te prendre dans mes bras et de t’embrasser. Mais ce n’était pas vraiment le moment, du moins tant que Sanchez était dans les murs. Après je ne dis pas que je ne te sauterais pas dessus rapidement. Mais avant j’avais des questions auxquelles je voulais des réponses, même si celles-ci ne me plaisaient pas. Et je m’en foutais qu’il entende ou qu’elles ne te plaisent pas. Tu m’avais bousculé alors maintenant j’ai bien le droit d’en faire autant. En fait, je suis plutôt illogique, parce qu’au fond c’est plutôt moi qui n’ai aucun droit sur toi. Mais je n’ai jamais été très logique quand ça me concerne d’un peu trop près.

Je soupire et me retiens de lever les yeux au ciel à l’entrée mélodramatique de notre cher supérieur. Pour se faire remarquer, ça il sait parfaitement le faire. Ce n’est pas flic qu’il aurait dû être mais acteur. Je préfère me plonger dans ton regard envoûtant en attendant ta réponse. Je déglutis en l’entendant, j’aurais dû m’en douter, et je ne pouvais pas t’en vouloir, mais il n’empêche que j’avais l’impression que l’on me broyait, volontairement, le cœur. Je raidis et recule lorsque Sanchez ose poser ses pattes sur mon corps. Au contraire de toi je n’ai jamais apprécié son contact. Mais sa révélation me scie sur place, et elle me fait reculer sous le choc. Mon regard oscille entre Sanchez et toi. Avant de finalement me poser sur toi. Mais tu réagis de manière plutôt surprenante, enfin non puisque j’ai l’habitude de tes coups de sang, mais plutôt que tu prennes aussi vivement ma défense. Je pose une main sur ton épaule. « Jud, ce n’est pas grave… Je le mérite. »

Je le laisse partir sans peine, au contraire, je me rapproche de toi dès qu’il a quitté la pièce. C’est l’heure des révélations. Étrangement j’en ai le cœur plus léger. Je regrette de ne pas l’avoir fait plus tôt. Mes mains se posent sur tes poignets et je caresse tendrement ta peau découverte. Je souris doucement avant de pencher mon visage sur le côté pour avoir plus de contact. « Jud… Faut qu’on regarde les choses en face, d’un sens comme dans l’autre, je ne sais pas si on pourra continuer à travailler ensemble. Mais, je ne veux plus m’éloigner de toi, cruel dilemme. On peut essayer de continuer… de toute manière…je n’ai pas encore signer ma demande officielle… » Comme si j’attendais cette réponse. Je soupire contre tes lèvres. Je frôle tes lèvres avec un sourire « Je crois qu’il n’aura plus besoin de ton numéro, désormais… » je hausse mon sourcil droit avec un regard pétillant. Signe que j’allais probablement faire quelque chose qui allait déplaire à quelqu’un. Je n’hésite que quelques secondes avant de t’embrasser avec passion, une vraie provocation à notre supérieur.

Je glisse mes bras autour de tes hanches. « T’en fais pas, il n’a jamais pu me blairer, et je n’ai probablement pas arrangé les choses. » Je hausse les épaules avec un bête sourire. En fait je m’en fous ce qu’il pense, ce qui importe c’est nous deux. Je glisse une main sur ton visage, caressant avec déférence ton visage. Mais elle atterrit sur ton cœur, que je sens battre sous ma main. « Je ne pouvais juste pas m’imaginer nous bouffer la tronche, je ne l’aurais pas supporté… Tu es celui qui me connaît le mieux. » Je hausse les épaules en affichant une moue contrite. Par contre mes yeux, eux, te dévorent.

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MessageSujet: Re: La déchéance de la douleur (Matson #3) hot   La déchéance de la douleur (Matson #3) hot EmptyJeu 17 Nov - 17:10

La douleur de l'amour


 
feat : Matson

Malgré tout ce que tu pouvais penser, tu ne méritais rien de ce que t'accusais notre supérieur. J'étais le seul fautif dans cette histoire. On ne peut forcer le sentiments des gens. On ne peut forcer personne à t'aimer en ce bas monde. J'aurais du passer à autre chose plutôt que de me morfondre dans mon coin. J'aurais pu coucher avec un homme que tu ne connaissais pas, un inconnu, cela aurait été plus facile, mais je dois être honnête. Même si ce qui va suivre tu ne le sauras jamais (bah si maintenant, mais bref lol). Inconsciemment je savais pertinemment ce que je faisais. Si j'ai couché avec lui, c'est uniquement car tu aurais pu nous surprendre, comme aujourd'hui en faite. J'aurais voulu que cela te fasse un choc, que cela t’écrase le cœur et que tu réalises enfin ce que tu ressens pour moi. Je voulais te faire mal et cela je dois te l'avouer.

Je pose une main sur ton épaule et je te rassure tout suite. « Non, ne dis pas cela, car il n'a pas à te parler comme ça. » Car, même si ce qu'il dit est vrai, il n'a pas à être si virulent. Je lui ai rien demandé. Je demande pas qu'il vienne à ma rescousse. Mais, je vois dans ses yeux, même si son égo de macho veut le dissimuler, qu'il ne veut pas me laisser partir.Est-ce qu'il était tombé amoureux de moi ? Cela devrait me peiner, mais ce n'est pas le cas, je n'ai que d'yeux pour toi. Je suis plongé dans les tiens et j'attends qu'une chose c'est que notre trouble fête décide de prendre la porte.

Je vois que nous sommes tous les deux heureux de ce départ. J'ai ma main sur ta joue. Je suis si proche que j'en ai la poitrine qui brûle du désir de te voler un baiser, mais à la place je t'écoute, car nous devons parler, nous devons communiquer. Je baisse la tête un instant, car je sais que tu as raison, travailler ensemble ce n'est pas une bonne chose.  « Oui, d'accord, mais tu n'as pas à partir si loin. Je peux demander mon transfert au Stup', c'est juste un étage en dessous. Ils ont toujours voulus me recruter, mais j'étais resté pour toi. Mais, je suis d'accord, si on  travaille ensemble et qu'on essaye quelque chose nous deux, on risque de se bouffer le nez à la longue. » J'aime comment tu frôles mes lèvres. Je fais de même sans t'embrasser. C'est bon aussi de faire monter le désir. « Ah bon ? Alors, tu te proposes de le remplacer ? » Je cède à ton baiser passionné. J'en fais de même. Je perds mes mains dans tes cheveux. Je te décoiffe tout en collant mon torse contre le tien. Mon excitation fait déjà des siennes dans la partie sud de mon corps en feu à ton contact.

Je soupire et j'ajoute tout en glissant ma tête dans le creux de ta nuque. « Je sais...Et, je ne sais même pas pourquoi. Tu lui as fait quelque chose ? Tu l'as peut-être surpris avec un mec un jour ? » Je me pose la question. Je sais que c'était plutôt compliqué leurs relations, mais je n'avais jamais décidé de mettre mon grain de sel. Je glisse une main sous ton haut. J'ai besoin du contact de ta beau. Mes yeux te désirent et te le font savoir. « Je suis responsable, mais je te promets de faire des efforts et de me contrôler. Je veux pas que le prennes mal, mais je dois t'avouer quelque chose. J'avais fait venir qui tu sais pour voilà...S'amuser entre adultes consentant...Mais, j'ai rien reçu à faire. Dés qu'il me touchait cela me semblait si bizarre. Je le voulais pas lui. Je te voulais toi.  » Je ne savais pas si j'étais compréhensible. Je remontais ma main pour masser tes puissants pectoraux. J'aimais sentir cette toison masculine. En tout cas, si un jour tu voulais raser tout cela, je te l'interdirais. Je te repousse lentement jusqu'à mon bureau. Je te force à t'y poser et je m'impose entre tes cuisses. Je vais chercher tes lèvres et t'embrasse avec envie. Mon souffle est chaud et tu peux sentir ce que je veux à présent.  « J'ai envie de toi, Matt... » Car, j'ai besoin de le dire, que tu entendes mes mots, que tu réalises à quel point nous avons trop attendu pour ce moment.



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Matthias Nikelsen
Matthias Nikelsen
☞ ÂGE : 38 ans
☞ STATUT : Reloading.
☞ PROFESSION : Policier
☞ HABITATION : Dewsbury Moor

☞ BAFOUILLES : 3233 ☞ PSEUDO : Squirowl.
☞ AVATAR : Pedro Pascal
☞ CREDITS : squirowl
☞ MULTI-COMPTES : aucun

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MessageSujet: Re: La déchéance de la douleur (Matson #3) hot   La déchéance de la douleur (Matson #3) hot EmptyJeu 17 Nov - 22:09

La douleur de l'amour


 
feat : Matson

Bien sûr que je e mérite, même si tu ne le penses pas. Mais n’allons pas épiloguer sur cela. On avait chacun nos torts. Et maintenant c’était l’heure de les assumer et surtout ensuite de les laisser tomber pour continuer à avancer. Surtout que maintenant on était sur la bonne voie tous les deux. Maintenant je n’allais plus rien laisser ni personne ne se mettre en travers de notre chemin. Et surtout pas notre supérieur. D’ailleurs si tu voulais me rendre jaloux, je peux dire que tu as bien réussi ton coup. Je me révèle être assez jaloux envers toi, alors que je ne l’ai jamais été avec James. Ce sont ces petites choses qui me font regretter mes choix désastreux. Peut-être que si je t’aurais surpris en situation inconvenante, ça m’aurait fait un électrochoc et que j’aurais compris plus rapidement mes sentiments pour toi étaient bien plus que de l’amitié.

Je souris avant de poser ma main sur la tienne. « T’en fais pas, c’est pas très grave. Le seul jugement qui compte c’est le tien. » je glisse une main sur ton visage, ripant sur ta barbe naissante qui te donnait un air des plus sexys. J’avais déjà occulté Sanchez, il était déjà parti loin pour mon esprit. Je voulais reprendre là où on avait laissé les choses, que l’on rattrape le temps perdu. Et surtout retrouvé cette proximité qui nous faisait défaut. Tu avais raison, maintenant que j’avais goûté au fruit défendu je ne pourrais plus résister, même si j’ai tenté de le faire avant. Maintenant mes résistances fondaient comme de la neige.

Je te ramène tout contre moi quand j’entend la porte claquer. Nos yeux se croisent et ne se lâchent plus. La main qui te retiens contre moi remonte dans ton dos sans pour autant relâcher la pression. Maintenant que je venais de verbaliser ce que je m’apprêtais à faire, je n’étais plus aussi certain. C’était une idée que j’avais prise sur un coup de tête. « Hum oui.. Pourquoi pas, mais je ne veux pas que tu te sacrifies pour moi, si tu as envie de rester où on est, je peux le comprendre. Même si j’ai dû mal à voir comment je vais pouvoir travailler avec quelqu’un d’autre. » Je souris doucement alors qu’une idée effleure mon cerveau. « mais si on se dispute, on pourrait avoir de sacré retrouvailles. » mon corps se colle contre le tien en signe de promesse. Une main se glisse sur tes fesses. « je propose carrément de prendre sa place, oui. » je finis par gémir alors que je sens tes doigts dans mes cheveux, ça me rend fou. Je grogne alors que je sens ton excitation se coller contre la mienne, en une promesse silencieuse. La mienne est tout aussi éveillée. Ça promettait des sacré choses.

Je frissonne en sentant ta tête dans mon cou. Premier véritable geste de tendresse. Je glisse mes bras autour de toi. Je soupire doucement. « Je ne sais rien, je crois que depuis que je suis dans son unité, il n’a jamais pu me blairer. Je te resserre contre moi, je suis sûr d’une chose, c’est que ça n’allait pas arranger les choses si je suis avec toi. Je frissonne en sentant la fraîcheur de ta peau sur la mienne. Je remonte les mains sur ton visage que j’encadre. « Chut. Maintenant que tout est mis à plat, je suis sûr que tout ira mieux. Et que tu préféreras te défouler sur mon corps à l’avenir… et maintenant tu pourras tout à fait profiter et abuser à volonté de mon cœur et de mon corps. » j’appuie mon torse contre ta main qui faisait parfaitement son effet. Je reprends possession de tes lèvres avec voracité. Jamais je n’aurais imaginé ressentir des choses aussi fortes avec quelqu’un. En fait je me rends compte que je ne connaissais que peu de choses de l’amour. Maintenant c’est moi qui agrippais tes cheveux ras. Je me retrouve assis sur ton bureau avec toi entre mes jambes. Je sais ce que tu veux, et je n’ai plus peur de te le donner, plus après la frayeur que j’ai eu. Je gémis, mais de plaisir et ma main trouve parfaitement le chemin de ton jean avant de s’y glisser. J’halète de plaisir, posant mon front contre le tien. « Chambre tout de suite. » je te repousse, pas pur arrêter mais pour qu’on se dirige vers la chambre. Je veux notre première fois emplisse tes draps, qu’ils s’imprègnent de notre odeur mélangée. Je ne lâche pas tes lèvres avant de tomber sur le lit, t’entraînant au-dessus de moi.

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MessageSujet: Re: La déchéance de la douleur (Matson #3) hot   La déchéance de la douleur (Matson #3) hot EmptyVen 18 Nov - 16:46

La douleur de l'amour


 
feat : Matson

Je pense qu'il serait plus sain que nous ne travaillions plus ensemble. Tu l'as peut-être pris sur un coup de tête ? Mais, je pense que tu as raison. Je pense que cela ne peut être que salutaire que nous nous séparions le temps de nos journées respectives. Nous pourrions nous faire des nouveaux collègues et avoir des nouvelles choses à se raconter le soir ? Tu sais que le monde dans lequel nous vivons est intraitable. Si, on sort ensemble, on risque forcément que cela nous retombe dessus. Avant quand nous avons un problème, nous pouvions chacun aller respirer d'un côté du ring. Je sais. Je vais trop vite. On va pas se marier, ni vivre ensemble demain. Peut-être que notre histoire ne dépassera pas cette nuit ? Mais je veux croire qu'il y ai un espoir pour nous deux et je veux mettre toutes nos changes de notre côté.

Je continue mes caresses et je rebondis sur ce que tu me dis aussitôt que tu fermes tes si délicieuses et aguichantes lèvres. « Tu sais que dés que le bureau apprendra qu'on a une aventure, ils vont nous faire la misère. Ils pourraient mettre en cause nos enquêtes et no interpellations. J'ai déjà vu cela trop souvent. On aime chacun trop notre boulot pour risquer tout cela. » J'abandonne un sourire et je suis content d'entendre que tu veux prendre sa place. « Mais, pour cela, je vais devoir te faire passer un entretien, je n'accepte pas tous les prétendants. Tu penses vraiment avoir ce qu'il faut ?  » Je m'amuse de mes dernières paroles tout en continuant de plonger mes doigts dans tes cheveux. « Tiens, dis moi, quels sont tes qualités pour ce poste ?  » plaisantai-je avec humour. J'en ai besoin, désolé. Nous avons presque faillit tout faire capoter entre nous par ma faute. J'ai besoin de rire.

Je ne prononce aucun réponse sur Gaetono. Je pourrais, mais je ne le fais pas. Il m'a dit des choses sur toi. Il a mal parlé sur ton compte, mais je n'ai pas envie de déballer cela ici, cela n'a plus d'importance, de plus c'était une confidence sur l'oreiller. « Abuser de ton corps serait un crime, je préfère lui rendre hommage et m'offrir à lui complètement.  » Je vais te mordre le lobe de l'oreille avec malice. « T'offrir mes mains. » Je dépose un premier baiser sur le haut de ta nuque. « Ma bouche. » Je continue mes baisers en descendant le long de ton cou et dans un murmure je t'abandonne. « Mon sexe et mes fesses.  » J'abandonne un rire contre ta peau et continue mon jeu. Ton ordre me fait chavirer et j'attire jusqu'à ma chambre. « J'aime quand tu me parles comme ça... »

Je me mets entièrement nu. Je ne te cache plus rien. Mon torse est luisant et galbé de cette excitation qui continue de poindre dans le sud de mon anatomie. « Tu ne l'avais jamais vu elle ? » plaisantai-je en baissant mon regard vers mon sexe. Je te laisse te dévêtir et je te pousse ensuite sur mon lit. Je m'invite à nouveau contre toi et je me fonds contre ton torse comme si je voulais que nous ne formions plus qu'un seul être. Ma main parcourt ton corps et ma bouche va rejoindre la tienne. Je t'embrasse et te caresse pendant des minutes délicieuses. Je ne veux pas aller trop vite. Je veux profiter de chaque seconde. Je frotte mon érection contre la tienne. Ma main libre va vite s’emparer de ton membre et commence un mouvement de va et vient qui se veut salvateur. Je plonge mes yeux dans les tiens et je te susurre aux bords des lèvres. « Je vais te faire l'amour toute la nuit... »



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