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 They are just girls and they're on fire. ✤ Aria

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They are just girls and they're on fire. ✤ Aria Empty
MessageSujet: They are just girls and they're on fire. ✤ Aria   They are just girls and they're on fire. ✤ Aria EmptyJeu 2 Fév - 16:14



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Looks like a girl, but she's a flame so bright, she can burn your eyes better look the other way. You can try but you'll never forget her name, she's on top of the world. Hottest of the hottest girls say ; oh, we got our feet on the ground and we're burning it down. Oh, got our head in the clouds and we're not coming down.

La brise matinale était certainement ce que je préférais. Peu de personnes trouvaient que le matin était un moment magique, pourtant, c'est ce que je pensais. Mes cours ne devaient pas commencer avant une bonne heure, j'étais déjà prête, posée devant la maison, regardant la vie se réveiller. C'est ce qui était le plus impressionnant dans ce monde, quoiqu'il ai pu arriver le jour d'avant, la vie se réveillera à nouveau le lendemain. Enfin, ça peut d'apprendre de ce qui est arrivé, si quelqu'un a fait irradier toute vie humaine de la terre, ce ne sera pas le cas. Le vent pouvait faire assez mal lors d'une matinée d'hiver, ça m'était égal, ce n'était pas le sentiment le plus désagréable. J'avais finalement décidé de rentrer dans la voiture après une vingtaine de minutes. Bien que proche, Leeds n'était tout de même pas la porte à côté et je ne devais risquer d'arriver en retard. C'était excitant à mes yeux de me dire que c'était ma dernière année, que ce serait la dernière fois que je me poserais sur les bancs de cet endroit avant de voler de mes propres ailes. Cependant, il y avait toujours une question qui restait coincée dans mon esprit. Et après quoi ? ... Je savais parfaitement pourquoi j'avais choisi la voix de la photographie, uniquement pour pouvoir devenir photographe sous-marin, seulement, c'était totalement impossible de pratiquer ce métier à Dewsbury ou n'importe où proche. J'aurais énormément aimé retourner à Cozumel , vivre ma vie là-bas ou pouvoir me nourrir et vêtir de ma passion. Seulement, cela reviendra à laisser tout le monde derrière, famille, amie, Sirius, ... Étais-je vraiment prête à tout laisser en un battement de cils ? Je ne n'étais pas certaine. Au fond de moi, je savais que cette décision n'allait pas me prendre un trajet en voiture à résoudre. Plutôt de longues heures à peser le pour et le contre. Peut-être que ce n'était pas le meilleur moment de penser à ce genre de chose sachant qu'il y avait d'autre chose à régler, des choses qui se passaient en dessous de mon (okay, celui de ma mère, même chose) toit. La guerre de Sirius. J'avais fini par donner un nom à cette histoire, sans réelle raison, juste parce que ça résumait toute d'une façon totalement parfaite. J'arrivais à comprendre le point de vue de la Bennet, vraiment. Ignorer son point de vue et ne pas le comprendre son deux choses totalement différentes. J'avais juste du mal à comprendre pourquoi elle ne pouvait tout simplement pas être heureuse pour moi ? Elle me connaît, j'ai beau agir comme une gamine de six ans qui a fait une surdose de bonbons, elle savait que j'étais tout de même responsable et que je ne lui offrirais jamais ma confiance si ce n'était pas quelqu'un de sûr. Okay, il avait cinquante-deux ans, mais... Pour la première fois depuis des années, je me sentais enfin en sécurité auprès d'un homme. Durant la plupart de ma vie, j'avais eu cette peur de faire confiance aux sexe opposées, je m'étais simplement mis en tête que c'était juste un groupe de connard qui finissait toujours par s'envoler quand ils en ont l'opportunité. Lui, il me faisait me sentir spéciale, c'est la première fois de ma vie que je ressens ça. Ce n'était pas une mauvaise chose, mais bien la meilleure qu'il me soit arrivé. J'aurais juste aimé qu'elle puisse l'accepter, que la conversation ne se transforme pas en véritable guerre lorsque le sujet est ramené sur la table. Pourtant, c'était le cas, un véritable champ de guerre. Je devais tout prendre avec des pincettes, essayé d'éviter chaque mine pour que la bombe Willy ne s'enclenche pas. J'avais aucune idée de ce qui pouvait se passer dans sa tête et honnêtement, je préférais ne pas le savoir. Elle en arrivait certainement à la conclusion que c'était un pervers ou une connerie dans le genre, ce qui ne m'étonnerait pas venant d'elle. Je sais que l'amour ne lui avait jamais véritablement ouvert les bras, qu'elle n'a eu aucune chance, mais ce n'était pas une raison de ne pas croire en moi. Je n'étais pas stupide, elle le savait, je n'allais pas me jeter dans les bras du premier venu sans me poser un milliard de questions. Des questions... Je m'en étais posé des tas avant de me décider que Sirius n'était pas un mauvais choix. J'avais passé des jours entiers, assise sur mon lit, pensant à chaque petit détail. La réaction de ma mère ne m'avait jamais traversé l'esprit, je m'étais toujours dit qu'elle serait heureuse pour moi... Je m'étais magnifiquement bien planté. J'en arrivais à avoir l'impression de la décevoir, ce qui était très certainement le cas. Quoiqu'il en soit, je continuerais cette bataille, je n'étais pas prête à lâcher les armes. Après tout, c'était elle qui me l'avait appris, c'était la femme forte qu'elle était qui m'avait répété cent fois qu'il fallait se battre pour ce qu'on pensait juste. Cette relation, c'est ce qui a mes yeux étaient juste. Si elle pensait que j'allais abandonner, elle ne pouvait pas avoir plus tord. J'étais prête à me battre pour Sirius. C'était peut-être la seule personne dans ma vie qui valait le coup de s'embrouiller avec ma mère. Malgré tout l'amour que je pouvais avoir pour elle, malgré tout le respect que je lui devais, elle avait tort sur ce coup-là. Voilà le problème lorsqu'une guerre ce déclenche chez les Bennet. On est toutes des fortes têtes et refusons de ne pas avoir le dernier mot. Dommage pour toi, mère, tu aurais dû m'apprendre à accepter les avis de ma mère au lieu de me dire de me battre.

Après quelques minutes, j'avais fini par arriver devant l'université de Leeds après cette bagarre dans mon esprit. Je coupai le moteur de la voiture, me penchant vers le siège passager pour attraper mon sac à dos. Une fois fait, je sortis ma trousse de maquillage et retouchai ma figure un minimum avant de tout fourrer dans mon sac, m'assurant que je n'avais pas oublié mon appareil photo comme la dernière fois. Aller a des cours de photographie sans appareil, certainement la chose la plus stupide que j'aurais pu faire. Après ça, j'avais eu droit au magnifique ; c'est parce qu'elle est blonde. Blague qui au passage, ne fait plus rire personne depuis 2002. Je remettais rapidement mes cheveux en place avant de retirer mes clefs et sortir de la boite noire à roulettes. On m'en aurait laissé la chance, ma voiture serait certainement rose flash, mais bon, c'est un autre débat. J'avais fini par rentrer à l'intérieur, trop gelé pour avoir l'idée d'attendre qu'une tête connue décide de se pointer. Un de mes jeux favoris lorsque je marchais dans les couloirs, c'était d'essayer de devenir quelle personne était dans quel cursus. Ce qui était assez compliqué étant donné que je l'avoue, j'avais des choses plus intéressantes à faire que de retenir tout ce qui était enseigné ici, beaucoup trop d'information pour mon cerveau. Par contre, si c'était des faits sur les océans, ce serait retenu en quelque secondes. Je regardais ma montre, j'avais cours en deuxième période et ça ne commençait que dans une dizaine de minutes. Je m'étais mise à chercher les classes de biologie marine, m'appuyant contre le mur, pratiquement collée à la porte pour écouter ce qui se passait a l'intérieur. C'était quelque chose que je faisais régulièrement, depuis le début pour être honnête. Il n'y avait rien à mes yeux de plus passionnant que ce qui se passait dans l'eau, c'était un moment de patienter tout en enrichissant mon cerveau et mes rêves. Bien que je ne comprenais pas les trois quarts de ce qui pouvait être raconté (je ne suis pas une scientifique, que voulez-vous.) je prenais tout de même des notes de quelques trucs qui me paraissait intéressant, je demanderais à Sirius de m'expliquer tout ça lorsque j'en aurais la possibilité. Surement une des choses qui nous avait rapidement rapprochés, le fait qu'on avait tout les deux une passion énorme pour les océans. Parlant du père Flanigen, savez-vous qui était dans la classe que j'espionnais ? Son fils, évidemment ! C'était certainement ce qui me perturbait le plus dans ma relation, savoir qu'il avait trois fils, deux plus âgés que moi et un du même âge. Mon cerveau avait parfois du mal à assimiler cette information et préférais oublier le fait qu'il était père et pas de bambins. J'avais tout de même fini par me décoller du mur, me dirigeant tranquillement vers ma classe de photographie. « Tu aurais dû m'attendre ! » Je m'étais furtivement retourné en entendant une voix familière. Abigaëlle, toujours entrain de râler pour un oui ou pour un non, c'était un peu mon double en fait. Je n'avais pas énormément d'amis entre ces quatre murs, ce qui ne me dérangeait pas plus que ça. On était qu'un petit groupe de quatre. Tout le monde le savait, c'était la blonde, la brune, la rousse et la noire. On avait des personnalités assez différentes, mais ça nous permettait de nous compléter. « Tu aurais dû marcher plus vite. » Avais-je fini par déclarer dans un rire tout en continuant mon chemin pour lui faire les pieds. Mon activité favorite, l'énerver sans véritable raison. J'avais cependant fini par attraper son bras, connaissant la lenteur de la personne, je devrais surement la trainer en classe si on veux y arriver à l'heure. C'est une fois arrivé dans le local que je m'étais rendu compte que les deux autres étaient déjà présentes. « Voilà mes deux autres bébés ! » Je m'étais installé à leurs côtés, embrassant la joue des deux. Le cours avait duré assez longtemps, juste des rappelles par rapport au concert de cette année. J'étais certainement la seule qui n'avait pas encore réussi à rendre sa photographie. Malgré mon œil artistique, j'avais du mal à me décider sur ce que je devais faire, tellement d'idée et seulement une photo. Je savais que ce concert pouvait me rapporter gros, elle aurait pu m'aider à avoir un bouée de secours avant que je parte vers Cozumel. J'essayerais surement d'en discuter avec Jill, nos cerveaux mélangé arriveront peut-être a trouver une idée géniale. Même avec toutes les piques qu'on pouvait s'envoyer au quotidien, je savais parfaitement que ma sœur était la meilleure personne que je pouvais avoir dans ma vie et qu'elle sera a mes côtés jusqu'à la fin, elle me l'avait déjà prouvé de nombreuse fois. Au beau milieu de la leçon, je m'étais enfin décidé à m'attacher les cheveux, ce n'était certes pas le meilleur style à mes yeux, mais c'était plus pratique que d'avoir ses cheveux qui cachaient toutes les questions qui étaient présentes sur la feuille. Sauvée par la sonnerie. J'aimais énormément mes cours, cependant, j'avais des choses plus intéressantes à faire aujourd'hui. J'étais restée assise là pendant quelques minutes, attendant que les trois singes aient fini de ranger leur affaire. « Désolé, mes amours, j'ai des choses prévues pour aujourd'hui !» Je m'étais contenté de leur faire un signe de la main avant de me diriger vers ma voiture. Cette fois, pas pour retourner à Dewsbury mais bien pour aller faire un tour à Londres. Rare était les moments où je m’arrêtai là-bas, aujourd'hui, j'avais juste besoin d'aller chercher ma copine d'aventure Aria. Je savais que quoiqu'il arrive, elle serait toujours partante pour rentrer dans mes idées farfelues.

Depuis mon réveil, c'était la seule chose qui restait bloquée dans mes pensées, j'avais juste envie que ma journée se termine pour pouvoir, aller m'amuser. Il y a une semaine en arrière, j'avais réservé un cours particulier pour la danseuse et moi-même. Je ne lui avais toujours pas dit de quoi il s'agissait, lui disant juste la date et l'heure à laquelle elle devait m'attendre. Depuis quelque temps maintenant, je passais une partie de mes journées à regarder des gens danser avec du feu et j'avais trouvé cette activité passionnante. C'était donc naturellement que je m'étais tournée vers Aria pour tester cette nouvelle activité. Je savais qu'elle faisait partie des rares personnes qui seraient heureuses de m'accompagner, en plus de ça, ça pourrait lui permettre de continuer à danser sans être dans son studio. Avant de prendre véritablement la route, j'étais rentré, histoire de me changer. Ce n'était peut-être pas la meilleure idée d'aller faire cette activité avec une robe. J'avais rapidement enfilé un débardeur noir ainsi qu'un pantalon blanc qui était beaucoup plus large vers le bas. Je n'oubliais pas d'attraper ma veste, étant donné que le trajet n'allait pas se passer dans la plus grande chaleur. J'en profitai pour passer rapidement chez ma maternelle pour lui voler de la nourriture, parce que oui, j'avais oublié d'aller faire des courses.Et encore une fois, je sautais dans la voiture. (C'est une façon de parler, tu réfléchis ou quoi ? Je passe pas mon temps à faire des salto au-dessus de ma voiture !) J'en avais a présent pour trois heures et trente minutes de routes pour rejoindre la brune. Ce n'était pas vraiment le truc le plus passionnant, j'avais rapidement attrapé mon portable pour lancer une playlist spotify. C'était peut-être le seul truc qui allait me distraire, je pourrais m'amuser à chanter à tue-tête pendant trois heures, si ça c'est pas le rêve. Le trafic pour se rendre dans la capitale n'était pas toujours le meilleur, ce qui m'était assez égale sachant qu'Aria n'avait certainement pas terminé ses répétitions avant un moment. « Guess I should say thank you for the hate yous and the tattoos. Oh baby, I'm cool by the way. Ain't sure I loved you anyway, go 'head, babe, I'mma live my life, my life, yeah. » Raison principale pour laquelle rare était les personnes qui avaient envie de monter en voiture lorsque j'étais au volant, j'étais plus concentré sur ma chorégraphie et sur les paroles de la musique que sur la route à proprement parlé. J'étais dans les bouchons de toute manière, alors, j'avais le droit de m'amuser un peu.

Après un moment qui parut être une éternité, j'arrivais enfin devant le studio. Je garai ma voiture, tout en sortant pour profiter de l'air super pollué de Londres. Je m'appuyai contre le mur, attendant de voir une tête connue sortir de cet endroit. Je me posais souvent la question sur le métier qu'elle pratiquait, j'aimais énormément la danse, pourtant, je n'aurais jamais eu le courage d'en faire mon métier. Ayant déjà pris des cours de danse classique, je savais ce qui arrivait à mes pieds ne serait-ce qu'une heure après, j'avais du mal à imaginer ce que ça pourrait faire après une journée complète. Très mal, je suppose. Je cherchai dans mon sac quelque instant, en sortant un paquet de chewing-gum pour m'occuper en attendant son arrivée. Ce n'était peut-être pas une bonne idée de rajouter du sucre dans mon organisme sachant que j'avais du mal à tenir en place. Qu'importe, qu'elle est la chose la plus grave qui pourrait arriver ? Je pourrais me brûler, ouais, vue comme ça, je n'ai pas vraiment envie de me transformer en cochon cramé. C'est seulement après quelques minutes que la tête de la jeune Dmitrieva apparue. « Finalement ! Je pensais que tu sortirais jamais ! » L'art d'Esther ; râler alors que la personne vient à peine d'arriver. Ce n'est pas comme si elle n'était pas habituée de toute façon. « Comment tu vas ? » Parce que oui, j'avais beau être une râleuse née, j'étais loin d'être centrée sur moi et la réponse d'Aria m'intéressait réellement. Elle faisait partie des rares personnes que j'appréciais réellement et pas avec qui je traînais juste parce que je n'avais pas le choix. « Prête pour cette activité mystère ? » D'accord Est, mais le but d'une question, c'est d'avoir une réponse, alors ce serait peut-être bien de lui laissé le temps de répondre. Je vous avais dit que j'étais pire qu'un enfant, ce n'est pas ma faute si j'ai terriblement envie d'aller m'amuser et de m'offrir la peur de ma vie. Je finis tout de même par chercher dans mon sac la carte que la femme m'avait donnée, qui expliquait parfaitement où le lieu était et ce qu'on allait faire. Une fois attrapé, je tendis la carte à la brune tout en souriant bêtement. « C'est ça qu'on va faire ! »

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