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 nuits fauves (Matson #3) {hot}

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Matthias Nikelsen
Matthias Nikelsen
☞ ÂGE : 38 ans
☞ STATUT : Reloading.
☞ PROFESSION : Policier
☞ HABITATION : Dewsbury Moor

☞ BAFOUILLES : 3233 ☞ PSEUDO : Squirowl.
☞ AVATAR : Pedro Pascal
☞ CREDITS : squirowl
☞ MULTI-COMPTES : aucun

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MessageSujet: nuits fauves (Matson #3) {hot}   nuits fauves (Matson #3) {hot} EmptyLun 27 Fév - 0:58

Nuits fauves
Matson

   
J’avais foutu un sacré merdier dans ma vie depuis la dernière fois où j’ai confronté Judson vis-à-vis de ce baiser qui a provoquer un raz-de-marée intérieur. J’avais sacrément disjoncté depuis ce baiser, et même si quelques tensions apparaissaient avant cela avec James, ça n’avait fait que les accentuer. Ces dernières semaines j’avais refusé de regarder la vérité en face, mettant dans une situation délicate James et Judson. Mais depuis les dernières révélations, mon cerveau tournait à mille à l’heure pour assimiler le fait que ce baiser avait une signification pour Jud, et pas des moindres, même si ce n’était qu’à demi-mot qu’il l’avait avoué. Ça m’avait encore plus perturbé les jours suivant, me rendant un peu ailleurs. Les relations avec Judson était un peu tendues, on se cantonnait aux simples paroles concernant le boulot, j’avais peur de déraper si jamais on dépassait ce cadre. La tension avait de nouveau éclaté avec James, les décibels avaient monté et on avait fini par s’ignorer royalement. J’avais décidé de sortir pour fuir l’atmosphère tendue de notre maison. Je m’étais réfugié dans un bar pour boire quelques verres alcoolisés. Pas de quoi être saoul mais assez joyeux. Il était bien 23h quand j’ai gagné l’appartement de Judson. Je n’ai pas vraiment réfléchi, et après un court instant d’hésitation, je décide de sonner à la porte. J’avais toujours ce fichu baiser en tête et le cœur qui palpite plus fort quand j’y pense. Je ne sais pas si c’est vraiment une bonne idée, mais j’ai le besoin d’être là, ce soir. Pas pour te parler de ma situation avec James, j’ai bien compris que cela t’était difficile, et je n’imaginais même plus le faire maintenant que j’ai enfin ouvert les yeux. Mais j’avais envie d’être là, de te voir. Il fallait que j’arrête de me voiler la face, et l’alcool coulant dans mes veines y est probablement pour quelque chose. Je te vois ouvrir la porte et j’affiche un sourire tremblant. Mon assurance habituelle avait quitté mon corps depuis un petit moment.
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Dernière édition par Matthias Nikelsen le Sam 11 Mar - 12:56, édité 2 fois
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Judson Shepherdson
Judson Shepherdson
☞ ÂGE : 38 piges, proche de la quarantaine, mais toujours en forme et il compte bien casser les pieds de ses supérieurs encore un peu.
☞ STATUT : divorcé depuis deux ans de sa femme. Célibataire, amoureux de son meilleur ami, mais qui enchaine les relations d'un soir. C'est la vie.
☞ PROFESSION : lieutenant de police. son boulot est de s'assurer de la sécurité de ses concitoyens, mais également de faire en sorte que la justice soit bien rendue, quitte à mettre sa propre chair derrière les barreaux.
☞ BAFOUILLES : 207 ☞ PSEUDO : mary
☞ AVATAR : andrew cooper
☞ CREDITS : iron
☞ MULTI-COMPTES : ciaran o'malley, le crevettlover.

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MessageSujet: Re: nuits fauves (Matson #3) {hot}   nuits fauves (Matson #3) {hot} EmptyLun 27 Fév - 19:41


MATSON
nuits fauves


La soirée a été plutôt rafraichissante. Pour se changer les idées, Judson est sorti boire un verre avec des amis d’enfance. Tous mariés et fidèles à leurs épouses, ils ont passé la soirée à parler de cette belle époque où ils enchainaient les quatre cents coups avec cette insouciance qu’ils n’ont plus. Les rires ont fusé, lui apportant une certaine forme de réconfort qui a amoindri ses tourments. Cela fait plus d’une semaine que ses relations avec Matthias sont devenues invivables. La tension est si palpable qu’elle le trouble au plus haut point. Judson se sent mal d’avoir lâché le morceau sur la nature de ses sentiments à l’égard de son ami, mais Matthias à cette capacité à lui tirer les vers du nez par sa détermination et son entêtement à vouloir avoir tous les éléments en main. Une qualité dans le domaine du travail, mais qui devient un défaut dans des situations comme celles qu’ils vivent. Judson ne sait plus du tout où il en est, a du mal à entrevoir où tout cela les mène. Au fond de ses tripes, il aimerait juste revenir en arrière, effacer ce baiser et tout ce qui s’en est suivi. Il a toujours un mal fou à admettre que ses sentiments le poussent à être faible et adopter une conduite qui pourrait détruire la vie de son meilleur ami. Ce qui le révulse au plus haut point, mais il sent que ce passé est désormais révolu et qu’il doit gérer ce merdier que sa déclaration indirecte engendre dans son quotidien avec son meilleur ami. Il espère juste qu’elle n’a pas d’incidence sur sa vie de couple, mais il se sent bien incapable de le demander. En conséquence, se changer les idées semblent être la meilleure solution, s’extirper de sa routine également et cette ambiance bon enfant lui donne du baume au cœur. Ces amis parviennent même à lui soutirer des rires francs, quand ils lui rappellent les conneries qu’il a pu faire ou dire lorsqu’il était une tête brulée à ses seize ans. Il est de bonne humeur, l’alcool déliant ses nerfs et il se sent plus légers. Après une dernière pinte de bière, il retrouve son domicile dans le calme. Il met la chaine hifi en fonction pour écouter un classique de son épaule et il rit naturellement lorsqu’il prend conscience qu’il avait des gouts de merde à l’époque. Une cigarette à la main, il retire sa veste et sa chemise pour ne rester qu’en simple jean. L’alcool rend sa chaleur corporelle plus importante et il meurt de chaud, sans doute accentuer par le chauffage qui maintient la pièce dans une température ambiante correcte. C’est à ce moment précis qu’il entend quelqu’un frapper à la porte. Il suppose qu’il s’agit d’un voisin, sans toute agacé par le son de la chaine hifi. Il ne sait pas trop si c’est fort, mais il compte bien s’excuser si c’est le cas. Malheureusement, contre toute attente, son regard se pose sur la silhouette de Matthias. Son regard rencontre le sien et son cœur rate un battement au passage. Sa fébrilité éclate lorsqu’il perçoit la lueur fébrile de son regard. « Matt ? » Il murmure en se reculant faiblement par surprise. Il le laisse rentrer, mais ne sait pas s’il s’agit d’une bonne idée. Alors, il feint de nouveau la tension qui se sent entre eux. Son rire s’épand de ses lèvres lorsqu’il tente de s’accrocher à un autre élément que sa présence : la musique. « Je me faisais les vieux disques de notre époque. Tu te rappelles quand on chantait ce groupe là à tue-tête dans notre chambre à l’école de police. » Il déclare en retrouvant le cœur de l’appartement. « Le sergent Ahearn en devenait fou. On était intenable. » Son sourire est naturel. Penser à cette époque où ils n’étaient que des amis le détend et lui fait oublier le chaos émotionnel dans lequel il est actuellement à sa présence. « Le nombre d’heures de colle qu’il nous filait pour ça. Cela ne nous a jamais arrêté, pas vrai ? » Il sourit en enfilant sa chemise qu’il ne boutonne pas. Il est brûlant et gelé à la fois. Il essaye juste de garder la face et attend simplement la raison de sa présence, sans la provoquer. La provocation semble avoir un effet dévastateur. Il tente d’apprendre de ses erreurs.
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MessageSujet: Re: nuits fauves (Matson #3) {hot}   nuits fauves (Matson #3) {hot} EmptyMar 28 Fév - 13:02

Nuits fauves
Matson

   
La soirée avait été plus chaotique qu’en temps normal. La dispute avait été virulente avec James. Les mots avaient encore une fois dépassé ma pensée, et on avait fini par se lancer des paroles blessantes au visage, créant une félure irrémédiable dans notre cœur. Je ne supportais plus ces tensions entre nous, pourtant je sais que j’en suis le seul responsable. Ma ça devenait franchement invivable. Je fuyais James depuis que l’on avait crevé l’abcès avec Judson, je ne cessais de penser à ces dernières paroles, ce qui a même provoqué l’effet contraire de ce que j’espérais. Ces derniers jours on s’évitait royalement, même au boulot, ce qui donnait une ambiance assez dure à gérer. Je sens que j’étais au bord de l’explosion. Pourtant dès que je posais les yeux sur toi, j’avais le cœur qui battait plus rapidement et une tension qui me poussait sans cesse à me rapprocher de toi. Mais je résistais autant que je pouvais, et le meilleur moyen de résister était encore de ne pas être dans la même pièce. Heureusement il n’y avait pas eu d’affaires qui avaient nécessité notre intervention, car rien que l’idée d’être dans la même voiture, dans un espace aussi confiné commençait à me rendre complètement fou.
Ce soir, j’en avais assez de résister contre mes propres pulsions dévastatrices. J’avais pris la direction de ton appartement d’un pas fébrile. Je sais que je vais droit vers les emmerdes, mais je ne parviens ni à m’arrêter ni à me raisonner. Une fois devant ta porte, je frappe avec une fébrilité qui rend mes mains légèrement tremblante. Je n’ai plus envie de me disputer avec toi. C’est à moi de faire le premier pas, d’assumer ce que je ressens vraiment. Pourtant je sais que ce n’est pas bien, que ce n’est pas comme ça que je devrais faire les choses, mais je ne parviens pas à me stopper, à arrêter les dégâts. Tu ouvres la porte et tu sembles étonné de me voir devant ta porte, ce qui est logique puisque je m’évertuais à t’éviter ces derniers jours. « Oui, ce n’est que moi. » Je te lance un regard tremblant et j’attends que tu m’invites à entrer, ce que tu ne tardes pas à faire. J’en profite pour laisser errer mon regard sur ton torse, ce qui met mes sens un peu plus en émois encore. Mais tu évoques ces souvenirs, d’un autre temps, où tout était plus simple entre nous. Je ne peux que sourire, car on était vraiment des têtes brûlées à cette période, enfin surtout toi, mais tu parvenais toujours à m’entraîner dans tes projets foireux. « De sacrés souvenirs comme tu dis, j’ai l’impression parfois que ça fait un siècle. Pourtant c’était les meilleurs moments de cette période. » J’éclate de rire, cela faisait longtemps que l’ambiance n’avait pas été aussi détendue entre nous. Mais cette époque était ce qui avait forgé notre amitié. « C’est sûr, mais pour rien au monde je n’aurais fait autrement. J’adorais trop le mettre en rogne. » Je me rappelais de nos regards effrontés face à notre supérieur, mais il nous a beaucoup apprit aussi. « Au moins on passait nos heures ensemble. Faut croire aussi que l’on cherchait ça, c’était un peu notre seul répit, parfois. » Déjà à cette époque on était vraiment inséparable. Parfois cela désespérait nos camarades ou nos professeurs, mais c’était un peu nous contre tout le monde. Tu avais été le soutien infaillible quand je flanchais à chaque fois que l’enquête sur la mort de mon père piétinait. Et surtout celui qui m’avait fait comprendre que je devais lâcher l’affaire, même si je continuais toujours mes recherches sans le dire à personne. Je pose de nouveau des yeux sur toi, tu avais enfilé une chemise sans la boutonner, ce qui te rendait encore plus désirable. « Jud… » Ce n’est qu’un murmure, mais je me rapproche de toi, j’en ai marre de me battre contre mes envies. Ne me repousse pas. Je rentre dans ta sphère intime tout en ne quittant pas ton regard. L’alcool aidant, j’ose m’aventurer à poser une main sur ta joue. Mon pouce frotte ta barbe, alors que mon regard oscille entre tes lèvres et ton regard. « Bordel. » Mon cœur bat la chamade, et mon corps t’appelle.

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Judson Shepherdson
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MessageSujet: Re: nuits fauves (Matson #3) {hot}   nuits fauves (Matson #3) {hot} EmptyMer 1 Mar - 11:49


MATSON
nuits fauves


La présence de Matthias le trouble tout comme le questionne profondément. Depuis cette fameuse entrevue où son meilleur ami lui a tiré les vers du nez, ils semblent avoir trouvé un commun accord de se tenir éloigné l’un de l’autre. Un accord, qui semble être remis en question par la venue impromptue de ce dernier. Si en temps normal, il aurait adopté une posture plus sérieuse et distante, il n’en est pas capable. Il fait de son mieux pour chasser son trouble en évoquant une période où tout allait bien entre eux. Une époque merveilleuse, qui lui manque terriblement. Tout était si simple. Ces sentiments ne s’étaient pas révélé et leur complicité lui procurait un bonheur incommensurable. De ce fait, il se rattache à ces souvenirs qui envahissent ses pensées, rendent son cœur plus léger, moins enclin à cette tourmente d’avoir peut-être gâché leur si belle amitié tant la situation actuelle le pèse profondément. Il est soulagé d’entendre le rire. Cela rend son cœur plus agité dans sa poitrine tandis qu’il s’enivre de ce son si bienfaisant pour son être. « Oui, je me dis la même chose. J’aimerai tellement retrouver l’insouciance de cette époque. On avait peur de rien et fonçait toujours dans le tas, sans se préoccuper du rester. Enfin sur moi. » Il laisse son rire continuer de s’épandre entre les murs de son appartement, sans prendre conscience que ses paroles peuvent porter à confusion. Aujourd’hui tout lui semble tellement différent. Il a tellement peur des conséquences, qu’il s’interdit de vivre pour préserver le bonheur des autres. Sauf lorsque son cœur s’entête et le fait agir contre sa vérité, comme cet adolescent fougueux, qui n’avait que faire du regard d’autrui. Il envie tellement la tête brûlée qu’il était par le passé. De ce fait, il se raccroche aux souvenirs de ces moments si précieux pour oublier le présent. Cela lui fait du bien de juste oublier ce qu’il ressent si cruellement au fond de ses tripes. Matthias se perd volontiers dans ses souvenirs, comme si leur amitié n’avait pas connu de tourments ces dernières mois, années, comme s’ils étaient de nouveau les frères inséparables, têtus et téméraires. « C’était notre passe-temps favori. On trouvait toujours de nouveaux tours à lui jouer. Qu’est-ce qu’on a pu manigancer contre lui ! » Il lâche de son rire cristallin, le cœur envahit par cette joie conséquente de revivre ces moments si insouciants. « Oui, vu que les gars n’arrêtaient pas de squatter notre chambre. C’était la bonne technique pour mener à bien nos plans machiavéliques. » Il repense à tout ce qu’ils ont pu se dire malgré l’agacement conséquent du superviseur de leurs heures de colles. Ils n’ont jamais pu parvenir à les faire taire. Il rendait Matthias plus effronté et son ami le rendait moins téméraire, moins arrogant. Ils étaient une drôle de paires, mais la meilleure sur le terrain. Ils ont toujours su se compléter. Pourtant le plaisir de retrouver ces souvenirs merveilleux se retrouve effacer par les actions de Matthias. Dans un murmure qui lui donne des frissons tout le long de son échine, il rompt la distance entre eux. Cela lui retourne les tripes tandis que son regard se perd dans la lueur profondément intense de son meilleur ami. Il en a le souffle coupé. Son cœur s’agite promptement dans sa poitrine alors que leurs corps se rapprochent dangereusement. Il se positionne en face de lui, son souffle se mêle au sien et provoque un ras de marrée au sein de son être. Le désir s’immisce dangereusement dans ses tripes, accentué par la caresse de cette main et de ce souffle contre sa peau. Il le fixe avec une émotion profonde, amorce un léger mouvement de recul comme si sa raison désirait éviter qu’il ne s’enfonce d’autant plus dans ce chaos émotionnel que provoque la situation. Pourtant, Matthias ne lui laisse aucune échappatoire. Il s’impose à lui par ce regard qui véhicule le même désir qui l’habite. Une alarme sonne dangereusement dans sa tête, mais il ne peut s’échapper de l’emprise de cette bouche qui vient chercher la sienne et lui fait perdre toute contenance. Il ne peut pas résister, ce désir lui prend trop les tripes et lui retourne le ventre avec tant de violence. Il est un homme perdu.
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MessageSujet: Re: nuits fauves (Matson #3) {hot}   nuits fauves (Matson #3) {hot} EmptyMer 1 Mar - 18:25

Nuits fauves
Matson

   
J’en avais marre de t’éviter, de faire comme si rien ne s’était passé entre nous, parce que ce n’était pas le cas, et surtout, je devais arrêter de me mentir. Parce que je nous mettais dans une situation impossible tous les deux, et j’allais droit au mur. On s’était évité, mais la tension n’en était pas redescendue, et l’obsession que j’observais à ton égard n’en était que renforcée. Je ne comprenais pas vraiment ce qui se passait, et ce soir je voulais simplement arrêter de réfléchir. J’étais apparu chez toi avec la ferme intention de me détendre, et surtout de casser cette tension. J’avais du mal à supporter cette distance entre nous. Tu étais mon meilleur ami, voire même plus que ça, quand je sens mon cœur battre la chamade en ta présence. On plonge dans le monde des souvenirs. Cette période était une période riche de souvenirs, tous heureux. L’amitié était présente, et on était vraiment inséparable à cette époque. On n’avait pas mis longtemps avant de se lier d’amitié. Pourtant on était aux antipodes de l’autre. Mais c’est probablement ce qui nous avait rapproché ton impulsivité et mon calme, on était du coup vraiment complémentaire. « Tout était plus simple à ce moment-là, et pas que personnellement, même le boulot était plus simple. Tout n’était pas régenté au moins » Je hausse les épaules, alors que je garde mon sourire. Se plonger dans des souvenirs heureux nous aidait à oublier cette tension entre nous. Pourtant la vérité était là, quand je me rappelle du passé, je remarque que tu t’es souvent plié à mes exigences depuis quelque temps, t’effaçant au passage. Tu te laissais mener, et moi, comme un con, je n’ai pas vu que j’étais égoïste envers toi. Je ne t’avais pas écouté, trop perdu dans mes problèmes. Mais, j’avais enfin ouvert les yeux, quand tu n’avais pas pu cacher la vérité. J’avais compris ce besoin de distance de ces derniers mois, et je me sentais bien con. Pourtant, il y a une vérité qui a émergé en moi et qui me trouble encore plus que ta distance. Mais je continue sur la lancée des souvenirs. « Heureusement qu’il n’était pas cardiaque, n’empêche, il aurait pu mourir avec toutes les frayeurs qu’on lui a faites. » Je rigole, me rappelant parfois le visage qui virait au rouge quand il avait encore à faire à nous. Mais parfois je me demandais s’il ne s’en donnait pas à cœur joie. En tout cas, nous on en profitais royalement. Je me plais dans la contemplation de ton rire qui illumine tes yeux et te donne un charme indéniable, emballant un peu plus mon cœur. « Tu m’en as fais faire quand même. » Quand j’y repense je n’ai jamais fait autant de connerie qu’en ta présence. Mais je ne changerais rien, même pour tout l’or du monde. Mais j’avais changé en ta compagnie, j’étais devenu plus ouvert, moins tourmenté par l’horreur qui avait frappé notre famille. Tu avais été cette épaule solide que j’avais eu besoin. Si tu ne m’avais pas tendu la main à cette période, je ne sais pas quelle genre de personne j’aurais été, en tout cas pas aussi ouverte et passionné de la vie. Cette pensée s’efface néanmoins pour laisser le présent revenir entre nous. Je prends les devants et rompt la distance entre nous. Ta proximité emballe mon cœur mais je ne veux plus reculer, alors je continuer d’avancer vers toi et souffle ton prénom dans un souffle. Nos regards s’accrochent pour ne plus se lâcher. Je laisse mon cœur s’ouvrir alors que je pose ma main sur ta joue. Tu amorces un geste de recul, mais je ne te laisse pas faire, avançant en même temps que toi. Ma main glisse dans ta nuque alors que je prends l’initiative de poser mes lèvres sur les tiennes, mêlant intimement nos souffles. Le contact de nos lèvres provoque le même feu d’artifice en moi. Le contact reste léger avant que je me recule légèrement. « Je n’arrêtais pas d’y penser depuis la dernière fois, tu me rends dingue. » Je souffle tout contre tes lèvres alors que mon second bras glisse autour de ta taille. « Trop dingue. » je reprends possession de tes lèvres, mais avec davantage de passion et un peu plus de brutalité. C’est fini de se mentir, maintenant.
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MessageSujet: Re: nuits fauves (Matson #3) {hot}   nuits fauves (Matson #3) {hot} EmptyJeu 2 Mar - 16:49


MATSON
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Parler de cette époque révolue lui donne du baume au cœur. Cela lui rappelle que leur relation lui apporte un bonheur incommensurable, que ces dernières années elle semble s’être complexifiée. Il en oublierait presque cette tension qui est palpable entre eux et cela lui fait du bien. C’est comme un bol d’air frais dans tout ce brouillard de fébrilité qu’il affronte depuis tant de mois. Pourtant, ce moment presque paradisiaque pour son être s’efface pour laisser place de nouveau à la tourmente. L’action inopinée de Matthias, le chamboule profondément. Il amorce un mouvement de recul, mais ses émotions sont si vives et bouleversantes qu’il lui semble impossible de s’échapper de son emprise. Au contraire, son désir est palpable, enivre chacun de ses sens, bien que son regard se fait suppliant. Il lutte désespérément, mais cela devient de plus en plus difficile, voire impossible. Alors, lorsque son souffle se mêle à celui de Matthias et que leurs lèvres se frôlent, l’émotion qui prend vie au creux de son être détruit tout sur son passage. Son cœur s’endiable dans sa poitrine, frappe violemment sa cage thoracique tandis qu’il savoure la caresse de ses lèvres contre les siennes. L’envie de les faire prisonnières plus intimement se fait brûlant, d’autant plus sous la pression de ses doigts chauds contre sa nuque. Matthias joue avec le feu et il est bien trop troublé pour pouvoir garder les idées claires, résister aux émotions si passionnées qu’il engendre au sein de sa poitrine. Il titille au contraire son ambition de l’avoir pour lui en prononçant des paroles qui l’achève. Il jure, lâche un « putain » empli de désespoir, tant l’émotion qui lui lacère le ventre est violente. Alors lorsqu’il sent le corps de Matthias se coller à sa chair brûlante, lorsque cette bouche s’empare plus fermement de la sienne avec appétit, il est un homme perdu. Il lui est impossible de rester insensible. Ses émotions implosent dans sa poitrine et tout son être exprime le chaos qui l’habite. Il lui rend naturellement son baiser, laisse sa bouche savourer ses comparses avec la même passion et brutalité. Une de ses mains se loge dans sa nuque alors que sa comparse se glisse autour de sa taille. Il le serre contre lui, laisse son corps savourer la chaleur de son corps tandis qu’il le dévore avec appétit. Il est bouillant, tout son être tremble sous cette fournaise qui l’inonde depuis tant d’années. Cette passion contenue explose et le rend plus chamboulé que jamais. « Toi aussi. » Il murmure entre deux baisers. Personne n’est parvenu à le rendre si dingue, si désireux qu’il ne l’est de lui. Pas même cet homme qui lui a fait perdre ses moyens pour la première fois dans les toilettes d’un bar. Ce n’est pas que du désir primaire qui le consomme à cet instant. Au contraire, il est encore plus puissant, car il se mêle à un amour sincère et profond, qui prend sa source dans l’amitié qu’il a pour lui. A cet instant, il est prêt à sombrer en enfer avec lui, si c’est ce qu’il désire tout autant que lui.
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MessageSujet: Re: nuits fauves (Matson #3) {hot}   nuits fauves (Matson #3) {hot} EmptyVen 3 Mar - 9:15



"Love me, even if it kills us both"

L'amour est resté, comme une grande image survit seule au réveil dans un son effacé - Lamartine



Les souvenirs remontent, me rendant nostalgique de ces temps perdus. Mais on ne peut pas revenir en arrière, malheureusement. On devait continuer d’avancer, tout en gardant ces souvenirs bien ancrés au fond de nous, pour nous les rappeler quand la nostalgie se fait sentir. Et on en avait bien besoin en ce moment, alors que l’on s’éloigne de plus en plus, au détriment de nos sentiments les plus profonds. J’avais décidé de casser tout ça, de détruire peut-être des années d’amitiés soudées pour quelque chose de plus fort mais qui risque peut-être de ne pas marcher. Mais je ne peux plus reculer, plus maintenant. Je ne te laisse pas reculer, je ne veux pas que tu t’échappes. Je sais ce que tu ressens, et je suis certain que si j’ose faire le premier pas tu seras incapable de me repousser. En tout cas moi je suis bien incapable de te résister ce soir. Je laisse tomber mes peurs pour simplement profiter de ce moment, de faire tomber les barrières pour t’ouvrir mon cœur et laisser paraître l’émoi que tu provoques en moi. Nos lèvres scellaient ensemble provoquent une myriade de sensation au creux de mon ventre. Je ne peux pas m’empêcher de continuer à profiter de tes lèvres. Le contact se prolonge, je peux enfin sentir le goût qu’ont tes lèvres, la douceur de celles-ci. Je glisse ma main dans ta nuque, raffermissant le contact entre nous. Pour le moment ça reste sobre, mais je savoure pleinement le plaisir que je ressens. Mes doigts caressent ta nuque naturellement. Je me repais de tes frissons. Je soupire doucement tout contre tes lèvres. Tu jures et ça me fait sourire. Parce que je me retiens de faire la même chose alors que je n’en pense pas moins. Mais j’efface ce ton de désespoir en venant t’embrasser de nouveau. Plus fermement cette fois-ci. Je colle mon corps contre le tien. Je raffermis ma prise contre ton corps en glissant mon bras autour de ta taille. Mes lèvres ne décollent pas des tiennes. Le baiser devient plus enflammé au fur et à mesure que les secondes passent, et surtout quand je te sens de plus en plus fébrile. « Hum » Je ne peux que gémir en sentant une de tes mains dans ma nuque, me chatouillant le cuir chevelu, et l’autre dans la chute de mes reins, enflammant mon bas ventre. Je sens tes caresses dans mes cheveux, ce qui me fait ronronner de plaisir. « continue. » je souffle alors que j’enfouis ma tête dans ton cou pour grignoter cette peau tentatrice. Ma main descend dans ton dos avant de venir glisser sous ta chemise ouverte, touchant la chaleur de ta peau, et devenant un peu plus accro. Ma main glisse dans ton dos musclé, je me demande comment j’ai pu résister si longtemps à cette luxure.

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☞ ÂGE : 38 piges, proche de la quarantaine, mais toujours en forme et il compte bien casser les pieds de ses supérieurs encore un peu.
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☞ PROFESSION : lieutenant de police. son boulot est de s'assurer de la sécurité de ses concitoyens, mais également de faire en sorte que la justice soit bien rendue, quitte à mettre sa propre chair derrière les barreaux.
☞ BAFOUILLES : 207 ☞ PSEUDO : mary
☞ AVATAR : andrew cooper
☞ CREDITS : iron
☞ MULTI-COMPTES : ciaran o'malley, le crevettlover.

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MessageSujet: Re: nuits fauves (Matson #3) {hot}   nuits fauves (Matson #3) {hot} EmptyVen 3 Mar - 11:53


MATSON
nuits fauves


Tout cet afflux d’émotions profondes et puissantes lui retourne les tripes. Les dernières brides de sa raison semblent s’être évanoui pour laisser son amour s’exprimer dans sa forme la plus franche. Il lui impossible de résister à ce flux d’affection qui lui prend la gorge. Contre la douceur et chaleur de ses lèvres, de son corps contre le sien, il se laisse apprivoisé et abdique face à l’amour qui le consomme. Sa fébrilité est conséquente, elle parsème sa chair de frisons qu’il ne peut pas contenir et cela le rend hésitant. Il a peur de ce qu’il va advenir, craint ce qu’il va se passer par la suite s’ils consomment cette luxure, mais il ne parvient pas à se raisonner. Cette bouche l’ensorcèle et le désarme complètement. Pas même les effluves alcoolisés qui se dégagent de leurs souffles ne parvient pas à enclencher un mouvement de recul. Il a trop envie de l’embrasser, le toucher, mêler ses formes aux siennes. Ce désir lui retourne violemment les tripes et la proximité entre leurs deux chairs, cette intimité qui se créé entre eux rend cette ambition plus vorace. Surtout lorsqu’il l’entend gémir sous la pression de ses doigts, lorsqu’il lui réclame de continuer. Il ne peut plus reculer. C’est la réalisation d’un fantasme interdit qui le tourmente trop. Alors, il se laisse consumer par cette fournaise, savoure les baisers déposés contre sa nuque. Putain. C’est exquis, il ne peut pas le nier. Son cœur bat la chamade alors qu’il vient à son tour embrasser sa mâchoire, sa joue, son oreille de baisers gourmands. Il savoure la texture de sa barbe légèrement piquante sous la pression de ses lèvres tandis que ses doigts glissent sur son corps. Ils ne se font plus timides. Ils frôlent ces muscles qui lui font tant envie, s’immisce sous le tissu de son pull pour frôler sa chair ardente. Leurs bassins collés l’un à l’autre, s’offrent une danse sensuelle qui ne pourra qu’accroitre la chaleur qui anime leurs tripes. Il soupire contre son oreille et finit par lui retirer son T-shirt pour observer ce torse qui lui donne envie. Il le contemple, le frôle avec sensualité avant de venir dévorer sa nuque à son tour, sa clavicule et glisse le long de son torse. Il dévore avec érotisme cette peau salée qui l’attire si cruellement. Il se glisse à ses genoux sans aucune hésitation, ses doigts viennent retirer sa ceinture et ouvrir son pantalon pour frôler ses aines avec légèreté. Il le trouve beau. Ses formes fines, mais masculines l’envoutent tellement. Il le caresses avec douceur et sensualité frôle sa hanche, ses fesses tandis que sa bouche s’amourache de son ventre, la naissance de ses aines et retrouve le tissu de son boxer. Il s’enfonce dans son désir, lui procure tous ses frôlements et caresses qu’il a tant désiré l’honorer. Sa bouche retrouve la bosse de sa virilité à travers le tissu et c’est à ce moment là qu’il ose retrouver la lueur des prunelles de son meilleur ami. Il le regarde de son regard perçant et pénétrant alors qu’il l’embrasse cette partie tendue avec dévotion. Il désire lui retourner la tête, lui donner envie de sombrer dans cet océan de délice. Alors il s’applique à parcourir cette partie damnée de sa bouche tandis que ses doigts frôlent ses cuisses, ses fesses. Il le trouve incroyablement érotique, debout au milieu de son salon. La perfection à l’état pure : simple, mais merveilleuse.
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Matthias Nikelsen
Matthias Nikelsen
☞ ÂGE : 38 ans
☞ STATUT : Reloading.
☞ PROFESSION : Policier
☞ HABITATION : Dewsbury Moor

☞ BAFOUILLES : 3233 ☞ PSEUDO : Squirowl.
☞ AVATAR : Pedro Pascal
☞ CREDITS : squirowl
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MessageSujet: Re: nuits fauves (Matson #3) {hot}   nuits fauves (Matson #3) {hot} EmptyVen 3 Mar - 21:50


 

 
"Love me, even if it kills us both"

 
L'amour est resté, comme une grande image survit seule au réveil dans un son effacé - Lamartine

 
 

J’avais enfin osé franchir la barrière qui nous séparait tous les deux. Je succomber aux affres du plaisir en ta compagnie. Je découvrais ce désir que j’avais que trop longtemps tût. Maintenant que j’y avais goûté je sais que je ne pourrais plus le taire et l’ignorer. Nos lèvres se découvrent passionnément, et nos corps s’apprivoisent et s’imbriquent ensemble, lié par l’attraction commune. Mes mains gardent ton corps tout contre le mien. Je ne pense plus qu’à ce moment, et à tes yeux envoûtant. C’est encore assez retenu entre nous. Pourtant je n’ai aucune envie de revenir en arrière ni même de m’arrêter. Je veux continuer à t’embrasser, à découvrir la douceur de ta peau, cette complicité physique qui s’établit entre nous. L’alcool n’a été que le déclencheur de ce qui dormait depuis un bon bout de temps en nous. Ce que l’on taisait de peur que l’autre ne ressente pas la même chose. À tort. Mais je n’aurais pas été capable de le faire avant. Maintenant je me laissais transporter par toutes ces émotions qui explosaient en moi comme un feu d’artifice. Je n’avais pas imaginé que ce serais si fort, si… explosif. Je me laisse envoûter par tes doigts dans ma nuque, je te supplie de continuer, ce que tu t’appliques à faire pour mon plus grand sourire. Mes lèvres dévorent la peau de ton cou avec gourmandise. Je laisse quelques marques sur ta peau de mon passage. Mais tu fais de même et je ne peux que gémir sous tes assauts. Je me laisse faire, penchant même la tête pour te faciliter la tâche. Mes doigts courent dans ta nuque et dans ton dos, rapprochant nos deux corps déjà liés. On passe à la vitesse supérieure, à plus de sensualités entre nous. Je frissonne alors que tes doigts s’immiscent sous mon pull. Nos corps se complètent à la perfection et font monter la température alors que l’on cherche constamment plus de contact. Je te lâche pour retirer ce tissu qui devient gênant, j’ai bien trop chaud de toute manière. Je suis hypnotisé par le chemin de tes lèvres sur ton torse. Je glisse une main dans tes cheveux en soupirant de plaisir. Je me sens vaciller alors que tu te diriges un peu plus vers le bas. Tu ouvres mon pantalon. Je déglutis bruyamment sous cette vision idyllique. « Bordel. » mon cerveau a fait un black-out. Je mordille ma lèvre inférieure alors que mon pantalon se retrouve à mes chevilles. Je me raccroche à toi, au risque sinon de tomber sous la puissance du plaisir que je ressens. Tu es tellement beau. Un frisson parcourt mon corps alors que tes doigts glissent sur ma peau nue de mes hanches puis de mes fesses encore recouverte d’un morceau de tissu. Ta bouche est brûlante sur ma peau. Mes doigts s’accrochent dans tes cheveux, mon ventre se crispe sous l’assaut de tes lèvres sur mon aine, puis sur ma virilité. L’air me manque alors que tes lèvres se renferment. Mon regard se voile sous le désir que tu me procures. Je rencontre ton regard et je ne le lâche pas. « Trop.. bon… » Je me laisse dominer avec luxure et envie. Tu étais exquis. « Judson…. » C’est une supplique tu es en train de me rendre fou. Je glisse mes mains sur tes épaules faisant glisser ta chemise. Le long de tes bras, dévoilant un torse aux formes parfaites. Je te laisse retirer le dernier morceau de tissu qui gênait ta progression. Je soupire sous cette scène exquise. L’envie est à son summum, ne me fait pas languir.


 
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Judson Shepherdson
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MessageSujet: Re: nuits fauves (Matson #3) {hot}   nuits fauves (Matson #3) {hot} EmptyDim 5 Mar - 18:16


MATSON
nuits fauves


Son esprit s’évapore sous la puissance de ses émotions. Il est incapable de résister à ce corps qui s’ouvre sous ses yeux. Ses rêves ont été trop habités par les formes érotiques de son ami pour en être autrement. Il a atteint sa limite, ne peut plus lutter contre ce feu qui embrase tout son être. Matthias le pousse dans ce vice par ses actions et soupirs. Il l’enfonce un peu plus dans cet enfer au gout du paradis terrestre. Il le veut, le désire ardemment et s’empare de ses formes pour les soumettre à ses cupides desseins. Il veut lui retourner les tripes comme son amour le fait avec lui depuis tant d’années. Il veut le soumettre à cette fournaise, le maintenir prisonnier de cette exquise chaleur pour qu’il sombre à ses côtés dans cet océan de merveilles, qui s’offrent à eux. Les gémissements de Matthias sont exquis, accentue l’appétit qu’il éprouve à l’égard de ce corps presque entièrement dévêtu. Il parcourt ces points qu’il juge sensible, savoure les frisons que tout ceci provoque en Matthias. Il se laisse tenter, le pousse à continuer ses gourmandises qu’il ne désire pas arrêter. Ses doigts filent avec sensualité sur sa peau brûlante, envoutent chaque parcelle à sa portée et finissent par faire glisser ce boxer pour accéder à cette imposante virilité, qu’il goûte du bout des lèvres. Il se soumet pour mieux embraser les reins de cet homme, qui provoque tant de passion en lui, et savourer une étreinte lente et brûlante. Il embrasse cette partie tendue, savoure sa chaleur, sa fermeté et son gout tandis que ses doigts glissent contre ses aines, retrouve cette virilité qu’il finit par gouter entièrement. Sans perdre le contact visuel avec cet homme, il lui offre une sucrerie qui saura enflammer ses reins et lui faire perdre la tête. Il le sent, faible, prisonnier de cette fournaise qu’il provoque par ses actions. Il se montre plus gourmand, taquine avec douceur et expertise son excitation dans des mouvements de va-et-vient qui le rendront dingue, comme son désir retourne son cœur. Ses doigts glissent contre ses fesses, les frôlent, les caresses tandis qu’il se perd dans cette luxure addictive. Il est bon de le sentir brûlant de cette manière et il s’applique à se montrer plus gourmand dans ses actions. Il joue avec ses points sensibles, ses aines, sa virilité, la peau de son ventre. Il ne le lâche pas du regard, mais savoure cette vision exquise de le savoir brûlant d’ambition. Alors, il se pince la lèvre, remonte tout son corps pour retrouver ses lèvres d’où s’échappent tant de sons mélodieux. Son bassin retrouve le sien. Matthias ne peut ignorer l’effet qu’il lui fait. Sa virilité est toute aussi gonflée contre la sienne, confinée dans son jean qui devient encombrant. Emporté par le désir provoqué par ce baiser, il le pousse en arrière dans des pas lents pour le bloquer contre le mur situé près de la porte de sa chambre. Il se perd dans ce baiser, se presse plus fermement contre lui tandis que ses doigts frôlent l’arrière de ses cuisses, ses aines, son ventre. Il jure de plaisir, a le cœur fou dans sa poitrine tant ce feu le consomme avec rage. « Je te veux. » Il admet dans une voix faible, saccadée, comme un aveu de défaite. Il devient fou de le désirer aussi ardemment. Il meurt d’envie de le dévorer, le posséder, le faire sien, même si c’est pour une nuit. Le fantasme devient trop réel pour qu’il résiste et tout son être réclame cet homme. Il veut se perdre dans cette étreinte et dans cette passion qui le rend si vivant..  
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