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 music is where my heart belongs (Fleurie&Callum)

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MessageSujet: music is where my heart belongs (Fleurie&Callum)   music is where my heart belongs (Fleurie&Callum) EmptyVen 11 Nov - 6:00

Music is where my heart belongs

Callum & Fleurie

Le soleil était levé depuis un bon moment déjà. J’étais encore dans mon lit, encore complètement exténué de ma semaine trop chargée. L’ouverture du cabinet approchait à grand pas et nous devions travailler sur les derniers détails. Je semblais penser qu’une fois la branche ouverte, les choses seraient beaucoup plus calmes. Toutefois, je réaliserais ultérieurement que d’être associé principal dans une firme, ce n’est pas de tout repos. J’avais néanmoins hâte que le temps avance plus rapidement, que je sois davantage familier avec mon nouveau poste, de même qu'avec ma nouvelle vie, celle que je m’étais promise de vivre dorénavant. Une vie pour moi et seulement moi. Je m’étirai de tout mon large dans ce lit qui me semblait énorme. Enfin! Avoir mes propres meubles dans un appartement qui était mien, ou du moins presque mien, c’était extra. Je ne remercierais jamais assez la vie d’avoir placé Orion dans mon chemin. Bien que je ne le connaissais que très peu, j’avais le sentiment que cette colocation nous mènerait vers quelque chose de bien pour tous les deux. Elle me permettait également d’être loin de la grande ville, ce qui était une première pour moi étant donné que je vivais à Londres il n’y avait que quelques semaines avant. C’était un changement de dynamique et j’aimais ça, d'autant plus que cela me ramenait à vivre là où j'avais grandi. C’était ce dont j’avais besoin. Lorsque j’eus enfin rassembler le courage de me sortir du lit, j’enfilai des vêtements de sport adaptés à la température automnale. Il faisait très beau dehors et il était impératif que je profite de cette délicieuse journée. Je nouai mes cheveux en une toque puis enfilai mes baskets avant de prendre mon envolée. Cette petite course matinale me permettrait de redécouvrir le quartier de Thornhill où je venais de m’installer. Je parcourus les rues qui, avec le temps, j'avais oubliées. Ces dernières étaient remplies de vie: des gens marchaient et des enfants jouaient dans les rues. Les feuilles aux couleurs nuancées offraient un paysage pittoresque qui me donnait envie de m’asseoir et admirer la vue jusqu’à ce que la dernière d’entre elles ne touche le sol. La douce brise qui heurtait mon visage me rendait fébrile. Je me sentais libre et je me dirigeais vers un nouveau départ. Une version meilleure et plus heureuse de ma personne s’apprêtait à naître et j’en étais tout à fait fébrile.

Je poursuivis encore ma route. J’avais envie d’en redécouvrir le plus possible. Le climat était trop idéal pour ne pas en profiter au maximum. Pour une des rares fois, ma tête était complètement vide. Pour une des rares fois, mes pensées n’étaient pas tournées vers elle et les regrets que j’éprouvais. Ces remords qui me rongeaient et me faisaient remettre en question mes choix de vie et ma force d’esprit. Trop longtemps ai-je accordé mon temps et mon amour à une femme et une famille qui ne voulait que redessiner la personne que j’étais pour dresser un portrait de ce qu’ils voulaient voir. J’ai renoncé à ma vie et à ma passion pour ces gens qui, aujourd’hui, semblaient m’avoir complètement abandonné. Heureusement qu’à vingt-huit printemps, il n’était pas trop tard pour me remettre sur mes pieds et reprendre possession de la chose la plus précieuse qu’on ait pu recevoir: la vie. C’est ce que je faisais ici, à Dewsbury. Je revenais dans ma ville d'enfance, occupait un nouveau poste dans une firme et j’apprenais à vivre à nouveau. Comme un gamin qui entre pour la première fois à l’université: je bossais fort le jour, mais je m’éclatais la nuit. Même si mon emploi n’était pas ce dont je rêvais, j’étais au moins talentueux dans mon domaine et c’était suffisant pour me motiver à chaque jour. Mais cela ne voulait pas dire que j’en oubliais ma réelle passion; celle qui m’avait inspiré toute ma vie et qui me faisait voir clair dans mes moments les plus noirs. La seule amie que j’aie eue, celle qui, contrairement à tous, ne m’avait jamais laissé tomber. Et pourtant, c’était moi qui l’avait abandonnée. Et maintenant, je le regrettais amèrement.

Ma course s’arrêta de façon fortuite alors que j’entendis un son qui m’atteignit au plus profond de mon être. Je tentai de ralentir mon souffle haletant, voulant prêter mon oreille à cette douce mélodie qui ensorcelait mon ouïe. Mais d’où venait cette musique? Et… et cette voix? À cette belle musique vint se joindre une voix toute aussi harmonieuse, exquise. Je ne pus m’empêcher de me laisser emporter par cette symphonie. J’entrai dans la jolie petite école de musique devant laquelle je m’étais brusquement arrêté. Je vis un magnifique piano à queue et une femme tout aussi ravissante qui parcourait voluptueusement les clés de l’instrument. Mon entrée se fit entendre et la musique cessa. J’aurais voulu qu’elle ne s’arrête jamais. Cette musique était de toute beauté et j’en étais tombé sous le charme. La jeune femme se tourna vers moi et me souris. Le Callum gaffeur et timide que j’étais refit surface. J’étais complètement déstabilisé, ne sachant pas quoi répondre à cette femme qui me fixait, attendant que je m’annonce. « Bonjour… Je… hmm… Je voudrais acheter un piano », finis-je par dire, complètement pris au dépourvu. Dans une école de musique qui ne semble pas vendre d’instruments, me voilà dans une situation ô combien gênante. Callum et sa maladresse habituelle, toujours en train de se mettre les pieds dans les plats et passer pour un con. « Enfin, je suis nouveau en ville et je me suis dis que peut-être vous pourriez me conseiller », rajoutai-je pour rattraper ma bêtise. J’avais envie de prendre mes jambes à mon cou et déguerpir d’ici. Mais pourtant, je restais là, comme si une force surnaturelle me gardait sur place. En réalité, cette force n’était pas surnaturelle. Mon coeur me voulait ici, car il était là où il appartenait.

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MessageSujet: Re: music is where my heart belongs (Fleurie&Callum)   music is where my heart belongs (Fleurie&Callum) EmptyJeu 24 Nov - 16:07


Callum ∞ Fleurie

J'ai l'impression que tout part en vrille autour de moi. En fait, ce n'est pas tant la vérité, car avec ma sœur, mon beau-frère ainsi que ma nièce tout se passe plutôt bien. Il n'y a qu'un truc qui cloche, c'est avec Charlie... Chaque fois que je me dis que je fais bien les choses pour lui, il me montre que j'ai complètement tort. Parfois je regrette encore de l'avoir envoyé boulet, de le forcer à faire quelque chose qu'il déteste, même si je pense que c'est pour son bien. Qui suis-je dans le fond pour essayer de mener sa vie... Mais quand je le vois sombrer je ne peux pas m'empêcher de tout faire pour le sauver. Je suis Ariel tentant de sauver son Eric, mais il faut se le dire, elle y arrive bien mieux que moi...
Le fait est que son absence se fait sentir, chaque jour... Quand j'ai envie de lui envoyer un message, je me retiens en me disant que c'est à lui de venir à moi en premier. C'est un peu égoïste quand on y pense, surtout que je lui ai promis de disparaître tant qu'il n'aura pas pris la bonne décision. Le fait est que je l'attends un peu plus chaque jour, et je me dis que cela me meurtrit un peu plus... Ce qu'on ne ferait pas quand on tient à l'autre comme je tiens à Charlie...

Cependant, en cet instant, j'oublie absolument tout ce qui m'entoure, tous mes petits tracas, tout ce qui pourrait me rendre nerveuse, folle, triste... C'est mon moment de paix, mon instant où je me sens tout simplement vivre. Les enfants étaient partie pour de bon, et j'avais l'après-midi pour moi afin de pouvoir pleinement me concentrer sur ma musique. Ma musique... Cette utilisation du pronom possessif est certes prétentieuse, seulement c'est la seule chose que j'ai. Je n'ai plus que ma mère, j'ai un tout petit loft et un compte encore plus petit, je suis seule sans petit ami non plus. Ca peut sembler presque triste dis comme cela, mais c'est ma vie, et je fais avec. C'est donc pour ça que c'est MA musique, MON moment, MON instant rien qu'à moi tout beau tout jolie ! Elle est ma plus fidèle amie, toujours présente, toujours à me parler avec harmonie et me berçant de ses plus tendres mots... Et moi, je dialogue avec elle en me laissant porter et libérant ma voix de sa prison dorée. Sur une petite musique Disney que j'ai en tête, je me surprends un peu à chanter qu'un jour mon prince viendra. C'est certes, niais à souhait, mais je laisse la mélodie me porter et je ne cesse de sourire, fermant même les yeux pour m'imaginer à la place de Blanche Neige croyant dur comme fer qu'elle ne finirait pas sa vie seule... Mais alors que je continue de chanter, le bruit de la porte me fait tout arrêter. Je rouvre les yeux et redresse la tête, rougissante d'avoir été prise sur le fait.
Je plonge mon regard dans les yeux sombres de l'inconnu qui me fait face. Il semble presque aussi surpris que moi et je cligne des yeux, un peu trop peut-être... Arrête de le dévisager bon sang ! Je secoue la tête et me redresse avant de lui demander avec sourire :
- Je... Je peux vous aider Monsieur ?
- Bonjour... Je... hmm... Je voudrais acheter un piano.
Je fronce les sourcils. Acheter un piano... Ce n'est pas vraiment l'endroit pour... Il veut pas "voler" un piano j'espère parce que sinon, moi je suis prête à le mordre et à le griffer moi ! Oui, je suis prête à tout par amour, je suis ce genre de fille.
- Enfin, je suis nouveau en ville et je me suis dis que peut-être vous pourriez me conseiller.
Je le regarde encore un peu suspicieuse avant de m'avancer finalement vers lui.
- Vous jouez Monsieur ? je demande par curiosité. Je peux sinon vous conseiller le vendeur de la ville. Il ne vend pas des pianos de marque, mais le son est d'une telle pureté qu'il vaut facilement un Bösendöfer, je dis en riant un peu, avant de me dire qu'il ne connaîtrait peut être pas... Pardon... Je m'emporte assez facilement quand il s'agit de musique, surtout de piano.
Je baisse la tête un peu intimidée, mais gardant toujours le sourire aux lèvres.
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MessageSujet: Re: music is where my heart belongs (Fleurie&Callum)   music is where my heart belongs (Fleurie&Callum) EmptyDim 4 Déc - 5:49

Music is where my heart belongs

Callum & Fleurie

Être dans cette pièce si illuminée tout près de l’instrument qui faisait battre mon cœur depuis ma plus tendre enfance me rendait complètement fébrile. J’étais épris d’un sentiment indescriptible qui me créait un tremblement déstabilisant mais ô combien satisfaisant au fond de moi. Je me demandai ce que je faisais ici, pourquoi je m’étais laissé guider vers l’embarras. Mais c’était plus fort que moi : ce que cœur veut, ce que corps fait. Quoique cette dernière phrase n’était pas tout à fait représentative de mes décisions des dernières années, pour ne pas dire l’ensemble de ma vie. S’il y avait une seule chose dans ma vie que j’avais faite par choix, c’était les leçons de piano. Et si je ne jouais plus, ce n’était pas parce que j'avais décidé d'abandonner. C’était parce qu’on avait fait de son but que je m’éloigne de cette passion qui, selon les dires de mon père, pourrirait mon avenir. « Le piano c’est une distraction. Tu dois te concentrer sur tes études, tu dois réussir », me répétait sans cesse mon paternel. À chaque fois, je craignais qu’il m’empêche de jouer du piano pour de bon. Le piano me rendait si heureux. Il me donnait l’envie de me réveiller le matin et me permettait de respirer. C’était l’oxygène qui remplissait mes poumons et nourrissait mon sang. Il était mon corps et mon âme. Et maintenant, j’étais sur un respirateur artificiel en attente que l’on ravive mes poumons empoisonnés par un air acide et impure. J’avais besoin de vivre pour moi-même et de renouer avec ma passion, avec ce que j’étais réellement au fond de moi. Il fallait que je recommence à jouer. Je n’en pouvais plus; j’étouffais. Et c’était la seule chose qui pouvait me libérer de ma douleur.

La jeune femme me fixa, semblant se demander si j’étais perdu. Je me sentais très mal à l’aise et je ne cessais de me répéter que j’étais complètement idiot. Non seulement l’étais-je, mais je paraissais l’être à cent mille à l’heure. Venir dans une école de musique presque vide pour tout simplement dire que je voulais acheter un piano… mais quelle connerie! Lorsque la jeune femme me demanda si je jouais, je sentis que pour une première fois, je pouvais me libérer. Parce que pour la première fois, je pouvais assumer ma passion devant quelqu’un. Ma mère, mon père et mon ex-copine n’en pouvaient plus de m’entendre jouer. Ce n’était pas que je n’étais pas talentueux – à l’inverse, mes nombreux trophées témoignaient du contraire – mais c’était parce qu’ils considéraient le piano comme une perte de temps, une déflexion sur mon devoir en tant qu’Edwards. Je devais faire carrière dans les affaires, je devais devenir riche. C’était tout ou rien dans cette famille bourgeoise. J’étais toutefois heureux d’avoir ce bout de papier qui faisait de moi un avocat ainsi qu’un pied bien installé dans une firme reconnue. Mes parents me foutaient la paix car je faisais honneur au nom. Ce que je faisais hors de mon travail, ça ne les regardait plus. Et j’étais encore plus libre sans le petit pion de mon père connu sous le nom d’Annabelle, qui partageait les mêmes opinions que lui vis-à-vis ce que je devais faire et être. Loin de ces sources nuisibles, la flamme qu’ils avaient éteinte en moi ressucitait de ses cendres.

« Oui, depuis aussi longtemps que je me souvienne », lui répondis-je alors, des étincelles dans les yeux. Je m’approchai doucement vers le piano sur lequel elle jouait à peine quelques instants plus tôt. Je posai ma main sur la surface de l’imposant instrument et découvris ses formes du bout des doigts. Cela faisait un bail que je n’avais pas posé les mains sur un piano. « J’avais un Steinway and sons qui m’avait été offert par ma grand-mère. Il était d’une beauté exemplaire et le son était… » Je pris une pause. Les mots ne parvenaient même pas à expliquer la beauté, la pureté du son que produisait l’instrument que je possédais. Chaque note que je jouais sur mon précieux piano caressait mon ouïe. « Il était tout simplement parfait. », finis-je par dire. « Je peux? », lui demandai-je en pointant le siège. L’envie… Non. Le besoin de jouer était écrasant et je ne pouvais l’ignorer. Mes mains tremblaient et mon cœur était pris de palpitations. C’était comme un junkie en sevrage devant lequel on plaçait son addiction sur un plateau d’argent, prête à être consommée.

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MessageSujet: Re: music is where my heart belongs (Fleurie&Callum)   music is where my heart belongs (Fleurie&Callum) EmptyJeu 15 Déc - 19:38

[quote="Fleurie Malefoy"]

Callum ∞ Fleurie

Même si cet homme n'a rien de dangereux, il est vrai que ce n'est jamais rassurant quand quelqu'un nous surprend ainsi. Je ne suis pas spécialement une fille douillette mais au moins frapper à la porte n'aurais pas été de refus je pense. Seulement, dès qu'il me parle de son intérêt pour le piano, je cesse tout de suite de le détester pour m'avoir fait peur. A la place, je décide de lui sourire, parce que c'est ce que je fais toujours quand on me parle de piano ou encore de musique. Bon, je peux aussi avoir les larmes aux yeux quand on me fait remarquer que je n'en ai pas pour moi toute seule et que, par manque de moyen, je suis obligé de jouer à l'école.
Quand je lui demande s'il joue, je vois tout de suite cette lueur d'un homme qui, oui, a eu une relation particulière avec l'instrument. Il y a autre chose aussi, une forme de douleur mais après tout, je ne connais rien de sa vie (et puis je n'ai pas de diplôme en décriptage de regard.)
- Oui, depuis aussi longtemps que je me souvienne.
Oh, je sais ce qu'est ce sentiment. Je lui souris alors que je le vois se rapprocher. Je me décale un peu pour le laisser approcher du piano. Je le regarde laisser ses doigts vagabonder sur les touches avec délicatesses. Peu d'hommes se montrent aussi doux envers l'instrument, du moins ceux qui ne jouent pas. A sa façon de le faire, j'ai l'impression de me voir quand je n'ai pas vu le piano depuis des semaines (je hais les vacances pour cette raison). Je lui parle finalement piano à sa demande et même si je ne sais pas s'il est vraiment bien informé au final, sa réponse me laisse une réponse claire. Il s'y connaît, et très très bien.
- J’avais un Steinway and sons qui m’avait été offert par ma grand-mère. Il était d’une beauté exemplaire et le son était…
Je frisonne en entendant ce qu'il dit. Je n'ai eu l'occasion de toucher ce genre de piano qu'une seule fois dans ma vie. C'est lorsque je regarde si les prix des pianos n'ont pas un rabais pendant les soldes (Je sais, ça n'arrive jamais mais je crois encore au père Noël!) J'ai trouvé ce petit bijou dans un coin, reculé, mais seuls les connaisseurs pouvaient voir rien qu'en un regard à quel point le son devait être magnifique. Un bois sombre, appelant clairement à ce qu'on le joue. Je n'ai pas résisté à la tentation (et puis pourquoi ce privé) C'était parfait, le son était...
- … Divin, je murmure alors qu'il répond en même temps.
- Il était tout simplement parfait.
Je lui souris en le fixant. Cet homme sait de quoi il parle et je sais maintenant qu'il est aussi sensible au son que je peux l'être.
- Je peux ?
Il montre le siège et je souris. Je suis maintenant curieuse de voir ce que cela donne et de voir ce aussi longtemps qu'il s'en souvienne de jouer du piano donne. Ce n'est pas pour être méchante, mais certaines personnes ont beau s'acharner, le piano ne leur rends pas vraiment leur amour. Ne vous méprenez pas, je ne veux pas le voir échouer, j'ai juste hâte de savoir de quel répertoire il joue en plus de savoir s'il le joue bien.
- Allez-y.
Je m'éloigne un peu et m’assois sur la table alors que je le regarde s'installer. Je fronce un peu les sourcils en voyant sa façon presque fiévreuse de prendre place. Cet homme est en manque, je le sens, et cela me serre le cœur. Je me demande si je serais dans un tel état si on me privait de mon instrument. Certainement. Peut-être bien plus encore.
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