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 la beauté du diable (ciaran #4)

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Shannen Weaver
Shannen Weaver
La crevette ingénue
☞ ÂGE : 17 ans. (22/04)
☞ STATUT : amoureuse de son pedobear. heureuse. rêveuse.
☞ PROFESSION : lycéenne emplie de rêves et d'espoirs ; baby-sitter d'un petit James.
☞ HABITATION : petit appartement à Thornhill avec sa mère.

☞ BAFOUILLES : 4147 ☞ PSEUDO : demon dance (emeline).
☞ AVATAR : elle fanning.
☞ CREDITS : Lolitaes.
☞ MULTI-COMPTES : aucun.

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MessageSujet: la beauté du diable (ciaran #4)   la beauté du diable (ciaran #4) EmptyDim 30 Oct - 20:14

La beauté du diable
La curiosité naît de la jalousie + Molière.

Impatiente de retrouver son amie, Shannen se presse dans les escaliers avec un sourire particulier incrusté sur les lèvres. Elle a une nouvelle extraordinaire à lui annoncer, qui n'est autre que son départ dans quelques mois pour un voyage à Londres avec sa mère. Elle a su économiser convenablement pour lui offrir un simple week-end dans la ville qu'elle rêve de visiter. Elle a donc l'intention de lui dévoiler, s'incrustant chez elle sans envoyer un message au préalable. Plus que savourer un délicieux moment en compagnie de Summer, l'adolescente nourrit aussi l'espoir d'y croiser son paternel, Ciaran. Elle apprécie sa présence davantage chaque jour, apprenant à le connaître et accepter ce qu'il est. Leur différence d'âge n'amoindrit pas la complicité qui relie les deux êtres ; au contraire, elle s'intensifie et se renforce avec le temps. Chaque fois les taquineries s'imposent entre les deux, pour déclencher leurs rires ou sourires, et les plonger dans une ambiance chaleureuse. Pourtant, lorsque Shannen débarque dans l'appartement, sans se donner la peine de frapper, ayant pris l'habitude de s'introduire sans la permission d'un des deux habitants, elle entend des bruits peu ordinaires. Des cris de jouissance qui ne s'échappent certainement pas des lèvres de son amie. L'air perplexe et curieux collé au visage, Shannen avance à l'intérieur de l'appartement sans un bruit, sans prévenir de sa présence. Elle parcoure les lieux au rythme de ses gémissements puissants, s'approche doucement de la chambre de Ciaran. La porte est à moitié ouverte, si bien qu'elle peut entendre les soupirs de plaisir avec un volume sonore imposant ; et apercevoir les corps nus remuer contre le matelas. Shannen observe l'étreinte lascive à laquelle Ciaran se livre avec une demoiselle aux cheveux blonds, aux courbes généreuses et à la poitrine développée. Mais elle contemple surtout les coups de reins de cet homme élégant, qui lui semblent cruellement sensuels. Ses mouvements l'excitent tout en titillant son cœur par une jalousie soudaine. Elle lui explose en plein visage, alors qu'il se déhanche contre cette demoiselle sublime ; et il saccage son cœur à chaque coup de bassin qu'il lui adresse. Pourtant, elle estime cet ébat sexuel tentateur, elle aimerait immanquablement lui appartenir, être retenue sous ses doigts et sa langue, dévorer sa bouche. Alors elle observe, détaille ses actions, qui tordent son ventre et serrent son cœur en même temps. Pourquoi faut-il qu'il soit aussi sexy ?  


Dernière édition par Shannen Weaver le Lun 31 Oct - 0:01, édité 1 fois
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Ciaran O'Malley
Ciaran O'Malley
Le crevettlover
☞ ÂGE : 39
☞ STATUT : sous le charme d'une femme enfant aux formes juvéniles, mais pourtant exquises, qui se trouve être l'amie proche de sa propre fille et l'enfant de son meilleur ami. Une demoiselle qui devrait lui être interdit, mais qui l'attendri par ses airs solides et fragile à la fois. père célibataire de Summer, 13 ans.
☞ PROFESSION : musicien, interprète, compositeur. Il joue seul, parfois avec des musiciens rencontrés au hasard d'une salle de concert, mais ce n'est pas de la musique qu'il vit. Pour payer ses factures, il enchaine deux postes de serveur, un dans un restaurant assez chic et l'un dans un bar branché, six jours sur sept. Cela permet de vivre correctement sans extravagance.
☞ HABITATION : RAVENTHORPE

☞ BAFOUILLES : 1382 ☞ PSEUDO : mary
☞ AVATAR : boyd holbrook
☞ CREDITS : avengedinchains
☞ MULTI-COMPTES : Judson Sherpherdson, le lieutenant de police, coupable d'aimer son meilleur ami.

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MessageSujet: Re: la beauté du diable (ciaran #4)   la beauté du diable (ciaran #4) EmptyDim 30 Oct - 22:18

La beauté du diable

La curiosité naît de la jalousie + Molière.

Son souffle est brûlant, court, troublé par la fournaise qui grignote ses entrailles avec puissance. Ses lèvres brûlantes, avides, parcourent la courbure de ces seins qu’il dévore avec ambition. Il se perd dans cette étreinte charnelle, laisse son appétit cupide s’exprimer sans gêne pour profiter de ce corps à corps qui lui procurera l’extase désirée. Il se perd dans le creux de sa poitrine, lèche, enflamme cette partie sensible de l’anatomie féminine alors que ses doigts s’immiscent au creux de ses cuisses. Il lui offre des caresses étudiées qui rendront son plaisir plus puissant, enivrant et excitant pour l’homme avide de la faire planer. Ses doigts frôlent ce bouton de fleur tandis que sa protubérance se loge au creux de son jardin secret. Il possède cette femme comme le veut leur accord commun, laisse son excitation envahir le creux de cette féminité particulièrement enchanteresse pour tout homme. Aucune drogue n’est en mesure de remplacer l’addiction qu’il ressent de prendre possession des reins d’une femme. Sa bouche retrouve la pointe de l’un de ses seins. Il la taquine, la mordille tandis que les jambes de son amante se positionnent de manière où il pourra en faire sa soumisse. Elle ne demande que ça, cette femme aux boucles d’or dont les gémissements viennent envahir la pièce tandis que ses reins se mêlent au sien. En appui sur un de ses bras, il la caresse, rend le mouvement de son bassin plus pénétrant. Il grogne son plaisir, remonte sa poitrine jusqu’à sa nuque pour mordiller son oreille. Ses doigts se font plus présents sur le creux de sa féminité. La demoiselle désire reprendre les rênes, le pousse de ses doigts félins pour qu’il s’assoie sur le lit. En amant attentif, il se laisse faire, la laisse prendre place sur ses cuisses, reprendre en main son soldat pour qu’il retrouve le sein de ses reins. Il se délecte de la vision de ses formes féminines qui lui procure ce plaisir à l’état pur. Son bras s’enroule autour de sa taille, sa bouche retrouve sa nuque, son oreille. Placés en face de la porte entrouverte de sa chambre, des cheveux couleur d’or attirent son attention. Durant une seconde, il est déconcentré de cette femme qui ondule de ses reins pour accroitre le plaisir qui se distille dans ses veines. Ses iris sombres, animés par le désir se plongent dans les prunelles innocentes de l’adolescente. À cet instant, c’est l’homme qu’il la fixe. Il sent que cette vision offerte titille la chair de l’adolescente. Il le perçoit dans la lueur de ses iris clairs. Cela lui arrache un sourire contre la nuque de cette femme. Son excitation connait une ascension plus forte, car il est émoustillé de la savoir là, présente, à les fixer en train de prendre leurs pieds. En conséquence, un gémissement s’échappe de sa bouche alors qu’il vient prendre possession des cuisses de sa partenaire pour reprendre le contrôle de leur danse. Il dévore sa nuque, mais fixe l’adolescente en donnant ses coups de reins. Il doit avouer qu’il aimerait que ça soit elle. Cette idée ne lui arrache même pas un frison d’horreur. L’homme avide est réveillé et il se perd dans cette luxure qu’il affectionne, déterminé à faire crier de plaisir sa partenaire et troubler les nuits futures de l’adolescente, qui semble savourer le spectacle qu’il lui propose. Peut-être imagine-t-elle être à la place de cette femme ? Une petite voix dans sa tête, l’espère secrètement tandis que son désir devient plus brûlant, étouffant. C’est délicieux.  
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MessageSujet: Re: la beauté du diable (ciaran #4)   la beauté du diable (ciaran #4) EmptyDim 30 Oct - 23:58

La beauté du diable
La curiosité naît de la jalousie + Molière.

L'impatience qui la gagnait à l'idée de retrouver Summer s'éteint promptement pour se transformer en curiosité malsaine. Vivement attirée par des bruits louches, incontestablement engendrés par l'acte de concupiscence, Shannen entreprend quelques pas avant d'atterrir devant la chambre de Ciaran. Summer ne semble pas être présente aux alentours, le paternel ayant trop de respect pour lui faire endurer ces gémissements profonds. La blonde le surprend alors en plein ébat sexuel, lorsqu'elle observe d'un œil discret par la porte entrouverte. Elle ignore pour quel motif, mais elle est incapable de les lâcher du regard, obnubilée par l'intensité de leurs mouvements. Les coups de rein de Ciaran sont puissants en douceur, il les exerce avec une expertise remarquable. Il respecte sa partenaire, en prend soin avec voracité et tendresse. Elle admire la sensualité qui émane de ses courbes finement musclées, la passion qui le dévore et semble embraser son bassin. Pourtant la femme prend le dessus, Ciaran la laisse accomplir ses envies ; il lui fait l'amour alors qu'elle se positionne à califourchon sur lui. Shannen détaille leurs gestes divins, cette extase qui les submerge tous les deux. Ils sont transpirants de passion, d'excitation et de cupidité ; mais Shannen les trouve sublimes. Elle est néanmoins traversée par un électrochoc lorsque le regard pénétrant de Ciaran croise le sien, la scrute avec insistance. Elle se sent toute petite lorsqu'il s'amuse de son observation ; lorsqu'il dévore la femme et lui attribue des coups de bassin plus intenses encore. Il joue avec ses émotions, la provoque, la titille comme il s'y applique régulièrement. Mais cette fois, c'est trop pour Shannen. Le jeu malsain qu'il institue ne déclenche pas son sourire. Au contraire, elle s'échappe à l'emprise qu'il a naturellement sur elle par un simple regard échangé, pour s'isoler à l'intérieur de la cuisine. Elle reprend son souffle lorsqu'elle prend conscience qu'elle avait freiné sa respiration à cause de cette vision enchanteresse mais cruellement destructrice. Le cœur de Shannen est rongé par la jalousie, l'amertume. Les entendre soupirer de plaisir et les apercevoir au cœur de leur jouissance lui serre le ventre. Pourquoi c'est si douloureux ? Seulement elle décide de ne pas se laisser abattre, de reprendre ses esprits et de lancer une stratégie pour amoindrir sa propre souffrance. « Papaaaaa, tu as rangé où mes céréales ? Je les trouve pas. » Elle hurle à travers à l'appartement pour que sa voix résonne jusqu'à la chambre de Ciaran. Elle adopte ce comportement quelque peu mesquin pour interrompre leur étreinte lascive, les empêcher d'atteindre le paroxysme de la jouissance. Elle se fait passer pour sa fille, espérant secrètement que la demoiselle n'était pas au courant - ou mieux encore, que cette découverte la coupera dans son élan, éteindra le désir qui brûle ses reins. Elle parie sur cette technique pour séparer leurs corps en ébullition et effacer toutes traces d'excitation. Elle voudrait les chasser du lit enflammé et humide, pour contempler la fuite de la demoiselle... et savourer la présence de Ciaran à ses côtés. Peut-être.
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Ciaran O'Malley
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☞ PROFESSION : musicien, interprète, compositeur. Il joue seul, parfois avec des musiciens rencontrés au hasard d'une salle de concert, mais ce n'est pas de la musique qu'il vit. Pour payer ses factures, il enchaine deux postes de serveur, un dans un restaurant assez chic et l'un dans un bar branché, six jours sur sept. Cela permet de vivre correctement sans extravagance.
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MessageSujet: Re: la beauté du diable (ciaran #4)   la beauté du diable (ciaran #4) EmptyLun 31 Oct - 11:11

La beauté du diable

La curiosité naît de la jalousie + Molière.

Ce qu’il fait est malsain, mais l’idée n’effleure pas ses pensées. Il est possédé par l’ambition, le plaisir à l’état pur et plonge profondément dans cette fournaise addictive. Il prend son pied au creux de ce corps divin et cette ambition devient plus brûlante en sachant l’adolescente spectatrice de cette étreinte érotique. Il possède cette femme avec fougue, passion, la caresse pour la faire gémir plus fermement, lui faire perdre la tête et qu’elle se donne entièrement à lui. Seulement, ce n’est pas réellement elle qu’il aimerait manier entre ses doigts experts ou ses coups de bassins puissants. Son désir explose, mais ses pensées vont vers cette adolescente dont le regard troublé ne quitte pas le sien. Ses intentions sont mauvaises, cupides, dangereuses. Il se donne en spectacle pour envahir les pensées cochonnes de l’adolescente, rendre ses nuits moins sages à l’avenir, sans en prendre conscience, poussé par cette attirance qu’il ne maitrise pas à cet instant, à son égard. Son corps savoure cette extase qui s’empare de ses sens, il la sent fuir, s’échapper de son emprise, mais le feu qu’elle engendre par sa présence demeure intact. Ses coups de reins se font plus gourmands, tout comme la pression de ses doigts, de ses lèvres. Il dévore cette femme, qui devient l’objet de ses pensées. Il la possède, laisse cette jouissance grimper avec force dans chaque parcelle de son être. Dieu que c’est bon. Il grogne contre la pulpe de ses seins, sent l’apothéose s’approcher à grands pas, mais est troublé par la voix mesquine de cette demoiselle, qui envahit sournoisement ses pensées coquines, hurle à travers l’appartement. Sa présence déstabilise sa partenaire qui se défile de ses doigts avec rapidement. « Sérieux, y’a ta fille Ciaran ? » La voix essoufflée de la demoiselle sonne comme un reproche alors qu’il subit la froideur de la température de la pièce comparée à la fournaise précédente. « Je la croyais chez sa grand-mère. Elle a dû rentrer plus tôt. » Il ne la retient pas, malgré qu’il ait envie de finir sa joute entre ses cuisses. Il la laisse se rhabiller, le corps encore brûlant de désir. Son souffle est court, sa désinvolture est insolente. « Tu me laisses sur ma faim, ma belle. » Il déclare en voyant son corps se recouvrir de ses affaires alors qu’il retire son préservatif pour le glisser dans la poubelle nichée à côté. « Et moi donc ! » Elle déclare contre ses lèvres qu’elle embrasse avec sensualité. « On remettra ça un autre jour. » Elle ajoute en plongeant son regard brumeux par le plaisir éprouvé dans le sien. « Pas de soucis. Quand tu veux. » Et il la laisse s’enfuir, quitter l’appartement comme une souris prise sur le fait. Cela lui arrache un rire franc. Shannen et une sale môme, mais cela l’amuse particulièrement. « Ils sont dans le placard en haut à droite, sale gosse ! Comme si tu ne le savais pas. » Sa voix est moqueuse, espiègle alors qu’il se glisse dans la salle de bain pour se caresser, atteindre cette plénitude dont l’adolescente l’a privé. Il n’admettra pas que c’est le creux de cuisses qu’il désire arpenter durant cet instant où il se caresse, laisse ses fantasmes envahir ses sens. Il finit sa course luxuriante dans un râle de plaisir, la pression prenant fin au creux de son bassin pour ne laisser qu’un sentiment de plénitude incomplet. Il se cale contre la paroi, reprend son souffle et finit par se laver pour tenter d’effacer ses méfaits. De nouveau conscient, il se sent légèrement gêné de ce qui se trame dans ses pensées. Il sait que c’est impur, mais c’est difficilement difficile d’y résister, d’autant plus qu’il a bien vu dans son regard qu’il l’excitait. Il se pince la lèvre, attrape sa serviette pour s’essuyer, enfile juste un boxer et un jean en retrouvant sa chambre. Il attrape son paquet de clopes en revenant vers la cuisine, l’attitude aussi désinvolte qu’en accoutumé. « Alors ? Tu les as trouvés, crevette ? » Il use de son surnom usuel avec son sourire taquin, mais son regard est plus pénétrant qu’en accoutumé. Il allume sa cigarette et la glisse entre ses lèvres. « Summer n’est pas encore là, elle est chez sa grand-mère. » Il lui annonce au cas où elle l’ignorerait. Il ne fait pas référence à ce qu’il s’est passé tout de suite. Il sait que ça pourrait être très dangereux. « Comme ça, je suis ton père. On m’aurait encore caché une paternité ? » Il questionne avec dérision, le sourire aux lèvres. Il ne peut pas s’empêcher de la taquiner.
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MessageSujet: Re: la beauté du diable (ciaran #4)   la beauté du diable (ciaran #4) EmptyLun 31 Oct - 17:58

La beauté du diable

La curiosité naît de la jalousie + Molière.

La jalousie de Shannen titille son coeur, le grignote au fil des secondes pour ne lui laisser qu'un goût amer en bouche. La vision qui apparaît sous ses yeux est destructrice, même si elle ne peut en vouloir aux deux êtres qui s'assemblent avec une symbiose délicieuse mais révoltante. C'est elle qui s'est laissée dévorer par la curiosité, c'est elle qui les a contemplés avec une intensité palpable. Ce sont ses yeux qui détaillent leurs mouvements sensuels, l'étreinte lascive à laquelle ils se livrent ; ce sont eux aussi qui participent activement à la destruction de son coeur. Son souffle se coupe devant cet acte sexuel qui  semble les  submerger d'une excitation profonde. Pourtant, c'est lui qui joue avec son cœur, avec son ventre aussi, quand il l'observe avec un regard pénétrant et énigmatique. Il la repère mais la met aussi à nue, alors qu'elle tente de camoufler ses émotions. Il la désarme, lui fait perdre ses moyens et sa raison, alors elle s'échappe à son regard pour s'apaiser dans la cuisine. Elle respire un bon coup et étouffe les tourments qu'il a activés. Elle tient à se venger alors met son plan en application ; aussi vicieuse et joueuse que lui. Elle prend le rôle de sa fille et hurle à travers l'appartement. Mais sous cette technique, elle aimerait qu'il la remarque, prendre une place importante au sein de son coeur et son esprit. Et la gamine parvient à ses fins lorsqu'elle aperçoit la jolie blonde disparaître de l'appartement. Un sourire fier se dessine naturellement sur ses lèvres. La remarque de Ciaran avant qu'il se rende jusqu'à la douche l'accentue. Elle ne répond rien, se contente d'être une sale gosse jusqu'au bout. Elle l'attend en pianotant sur son téléphone et son attention se désintéresse d'instagram lorsqu'elle sent l'odeur de la cigarette. Son visage pivote pour rencontrer l'éternel regard pénétrant de Ciaran. « Non, en fait je n'ai pas très faim. » Elle répond sans d'expression particulière sur le visage, mais fière d'avoir coupé son instant gourmand pour un motif inadéquat. « Mince, elle ne me l'a pas dit. Je voulais juste lui annoncer une bonne nouvelle. Je lui dirai demain. » Elle commente en haussant les épaules. Ses yeux se perdent sur son torse musclé et elle n'essaye pas de le dissimuler cette fois. Il est beau. « Blonds aux yeux bleus tous les deux, c'est plutôt crédible. » Elle esquisse un sourire taquin sur ses lèvres. « Tu pourrais très bien être le père que maman s'obstine à me cacher. » Elle lâche en haussant un sourcil, l'air quelque peu arrogant en songeant à sa mère. Cela pourrait être n'importe qui après tout. Alors pourquoi pas lui ? Shannen ignore toutefois qu'elle a hérité du regard malicieux et bleu de son père. Un bleu identique et spécifique.  « Passes-en-moi une. » Elle se soutient contre le meuble en tendant la main pour obtenir une cigarette.
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MessageSujet: Re: la beauté du diable (ciaran #4)   la beauté du diable (ciaran #4) EmptyLun 31 Oct - 22:08

La beauté du diable

La curiosité naît de la jalousie + Molière.

L’extase s’étiole dans ses veines après avoir été si intense. Les caresses procurées par son amante occasionnelle et celles qu’il s’est offertes par la suite en imaginant le creux des cuisses de l’adolescente ont eu raison de lui. Il n’est pas forcément fier de ce qu’il vient de se produire, mais il lui est difficile de nier qu’il la désire. L’évidence frappe son esprit avec violence et si l’adolescente n’en était pas une, il n’aurait pas hésité une seconde pour obtenir l’objet de ses désirs. Seulement, il sait ce fantasme interdit, obscène, dangereux et demeure sage quand il la retrouve. Il est détendu, mais sa manière d’être demeure moins enfantine, paternaliste qu’en accoutumé. Son regard est pénétrant. Il l’observe comme un homme et non comme un ami. Il utilise sa désinvolture comme une arme pour contrebalancer les signaux que son instinct lance à Shannen. Il s’efforce d’échanger des banalités, mais il est évident que l’équilibre de leur relation est fragile, peut s’effondrer à tout instant. La remarque de la demoiselle lui arrache un sourire narquois. Il hausse un sourcil, le regard sombre et amusé dans le sien. « Tout ça pour ça ? » Il questionne tandis que son sourire s’agrandit et ses prunelles deviennent plus pénétrantes. « Attention, je vais croire que tu es jalouse que je joue dans la cour des grands, crevette ! » Il la provoque sans état d’âme, sait parfaitement que la vérité n’est pas éloignée de ses propos. Il a clairement vu dans son regard qu’il avait échauffé sa chair. Il se pince la lèvre, mais lutte contre ces pulsions pour rendre la situation plus dangereuse. « Je devrai me venger pour ça ! » Il finit de déclarer dans un rire qui se veut franc. Il se détache de ses pensées impures pour se concentrer uniquement sur l’approche saine de leur relation. Il lui annonce simplement que sa fille est absente, ce qu’elle ignorait. « Quelles nouvelles ? » Il questionne en fronçant les sourcils. Sa curiosité est piquée à vive. « Celle d’avoir vu son père coucher avec une belle blonde ? » Il la taquine de nouveau en riant. « Enfin, je t’écoute si ce n’est pas l’un de vos secrets. » Il ajoute avec cette aisance déconcertante. Il jongle avec expertise entre sérieux et malice. Cela en est presque déroutant ! Il cherche à le faire, sent parfaitement qu’elle l’observe comme une femme désireuse et admirative de ses formes. L’évidence est palpable à cet instant, après l’échange curieux qu’ils aient eu quelques dizaines de minutes auparavant. Il y fait abstraction, se contente de la taquiner et la demoiselle en fait de même. Elle a cette lueur malicieuse similaire à son géniteur. « Et tu aimerais ? » Il questionne en prenant un air très sérieux. Il se rapproche d’elle, le regard ancré au sien, plus désarmant que jamais. « Que je sois ton père ? » Il ne la lâche pas du regard, cherche à l’envahir d’un doute, mais un sourire narquois se fiche de façon perceptible sur ses lèvres. Il se met à rire, alors qu’elle réclame une cigarette qu’il n’est pas disposé à lui donner. « Désolé, mais la cigarette, ce n’est pas pour les crevettes. » Il déclare en venant inspirer une bouffée de sa cigarette, le regard pénétrant. Il la provoque, ne compte pas s’arrêter, parce que c’est un jeu à la fois dangereux et addictif. Il ne peut pas s’en empêcher.
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MessageSujet: Re: la beauté du diable (ciaran #4)   la beauté du diable (ciaran #4) EmptyMar 1 Nov - 16:31

La beauté du diable

La curiosité naît de la jalousie + Molière.

Shannen doit laisser l'amertume s'envoler, mais aussi effacer le souvenir de ses coups de reins intenses et profonds s'insinuant pleinement au creux des cuisses de cette demoiselles aux courbes délicieuses et idéales. Entendre toutefois leurs soupirs de jouissance la tourmente, ils résonnent encore dans son crâne et lacèrent son cœur à coups de couteau. C'est surtout le regard poignant et taquin de Ciaran en sa direction qui la déstabilise, comme s'il prenait un malin plaisir à rendre leur ébat plus jouissif et voluptueux. Pourtant, son isolation à l'intérieur de la cuisine ne la réconforte pas. Elle a à peine le temps de reprendre sa respiration qu'elle contemple la fuite de la demoiselle chanceuse que Ciaran a savourée. Sa beauté apparaît plus facilement sous l'éclat lumineux du soleil. Son regard soutient cette créature divine, alors qu'elle disparaît par le long couloir. Elle dispose de courbes généreuses, d'une poitrine développée, d'une chevelure blonde et souple qui glisse sur ses épaules. Elle est magnifique. De quoi en faire jalouser plus d'une femme. Néanmoins Shannen reste coincée dans la cuisine, sans se dévoiler, laissant à Ciaran un moment de liberté dans la douche. Elle lui doit bien ça, ainsi elle patiente sagement à l'intérieur de la pièce. Lorsqu'il revient auprès d'elle, une clope embrasée entre les lèvres, et le torse dénudé, Shannen se désintéresse de son portable. Elle est de plus en plus attentive à sa présence ; autrefois elle restait cantonnée à son appareil, souvent accompagnée d'une Summer aussi curieuse qu'elle derrière son épaule. Elles suivaient les dernières nouvelles des plateformes sociales et l'arrivée de Ciaran au sein de leur domicile n'avait aucun impact sur la jeune fille. Désormais, maintenant qu'elle se découvre, qu'elle évolue en tant que bout de femme, que son corps devient plus en ébullition, et son esprit plus admiratif face aux courbes taillées des beaux mâles, alors, enfin, elle le remarque. Et elle le détaille bien des yeux, se surprenant à vouloir le caresser, le lécher du bout de sa langue. Elle n'est pas certaine que ces pensées soient chastes, mais sur le moment, tandis qu'il lui adresse un regard pénétrant, elle ne songe pas au côté malsain qui s'imprègne de ses idées.

« Tu as voulu jouer, montrer que tu appartenais à la cour des grands, faire ton malin... Tu as perdu. Accepte-le. » Elle attaque à son tour, en esquissant un léger sourire arrogant et malicieux, pour lui démontrer qu'elle a été plus performante lors de leur duel malicieux. « Et comment comptes-tu t'y prendre ? » Elle l'interroge par rapport à la menace d'une vengeance, juste parce que la curiosité la gagne. Elle lui avoue finalement qu'elle était venue pour se confier à Summer, lui annoncer une bonne nouvelle. Il détourne le sujet avec taquinerie, comme à son habitude, et Shannen n'oublie pas de rétorquer. « Non, elle doit avoir l'habitude. Ce n'est pas une grande nouvelle. » Elle prétend qu'il doit coucher régulièrement avec des belles blondes, donc Summer doit déjà être au courant. « Mon voisin sexy m'a encore invité chez lui. Et sa demande ne semblait pas innocente. » Elle précise pour faire croire à une proposition de luxure ; elle ignore par ailleurs pourquoi elle affiche cette raison erronée et inventée, au lieu de lui parler de son voyage à Londres. Elle lui ment comme à tous les autres, car ce voisin, qui lui aurait, selon ses dires, pris sa virginité, a pour seules passions les jeux vidéos dans la vie. Autant dire que le corps de Shannen ne l'a jamais intéressé, il est seulement un fantasme. « Pourquoi pas, au moins j'en aurais un. » Elle hausse les épaules de manière désinvolte, comme si cette idée était banale. « Et Summer serait ma demi-sœur. Ce serait beau. » Elle esquisse un léger sourire, pourtant son coeur n'est pas en accord avec les pensées exprimées. Car, et l'inceste, on en parle ? Leurs regards recouvrent une vérité qu'aucun n'ose admettre : le désir qu'ils éprouvent à l'égard de l'autre. Et ça, ce n'est pas quelque chose que l'on ressent pour son père ou sa fille. Alors pour cette raison, elle refuse l'idée proposée. Sauf qu'elle ne la met pas en évidence, en fait elle la garde pour elle. « Arrête de vouloir te la jouer adulte responsable. Tu ne l'es pas. Donnes-en-moi une. » Elle le juge du regard, soupirante, agacée, usée qu'il la prenne encore pour une gamine.


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Ciaran O'Malley
Ciaran O'Malley
Le crevettlover
☞ ÂGE : 39
☞ STATUT : sous le charme d'une femme enfant aux formes juvéniles, mais pourtant exquises, qui se trouve être l'amie proche de sa propre fille et l'enfant de son meilleur ami. Une demoiselle qui devrait lui être interdit, mais qui l'attendri par ses airs solides et fragile à la fois. père célibataire de Summer, 13 ans.
☞ PROFESSION : musicien, interprète, compositeur. Il joue seul, parfois avec des musiciens rencontrés au hasard d'une salle de concert, mais ce n'est pas de la musique qu'il vit. Pour payer ses factures, il enchaine deux postes de serveur, un dans un restaurant assez chic et l'un dans un bar branché, six jours sur sept. Cela permet de vivre correctement sans extravagance.
☞ HABITATION : RAVENTHORPE

☞ BAFOUILLES : 1382 ☞ PSEUDO : mary
☞ AVATAR : boyd holbrook
☞ CREDITS : avengedinchains
☞ MULTI-COMPTES : Judson Sherpherdson, le lieutenant de police, coupable d'aimer son meilleur ami.

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MessageSujet: Re: la beauté du diable (ciaran #4)   la beauté du diable (ciaran #4) EmptyMar 1 Nov - 17:56

La beauté du diable

La curiosité naît de la jalousie + Molière.

« Faire mon malin ? » Il questionne le regard légèrement amusé. Ses iris clairs demeurent pénétrants alors qu’il se pince la lèvre. « Tu as trouvé la bonne combine, mais tu demeures une sale gosse. » Il déclare simplement en lui donnant une posture frustrante alors que ses désirs le poussent à la voir comme son égale. « Et tu ne réponds pas à ma question, crevette ! » Il se permet de maintenir cette frontière entre eux, de replacer les choses correctement. Du moins, profiter d’en être capable, car ses paroles, il se doit de les choisir avec soin. Ses pensées sont en inéquation avec ce qu’il déclare, mais il juge nécessaire de manque de franchise à cet instant. « Je vais y réfléchir soigneusement. La vengeance est un plat qui se mange froid... » Il déclare dans un ton qui se veut sérieux, mais narquois. Il ne compte pas lui révéler ses plats, trouvera bien un moyen de la frustrer comme elle l’a fait quelques dizaines de minutes auparavant. Il a conscience de son charme et de l’effet qu’il a sur la demoiselle à cet instant. Il pourrait en profiter pour la décontenancer plus fermement, adopter une posture de mâle dominant, mais il n’en fait rien. Il se contente de l’observer avec attention, joue avec le feu comme à ses habitudes. Son sourire effronté orne ses lèvres tandis qu’il l’écoute répondre avec la même dextérité à ses taquineries. Ce jeu n’a pas de faim, grimpe toujours dans l’échelle qui peut faire basculer leur relation à tout instant. « Je vois. » Il déclare simplement lorsqu’elle fait mention de son voisin. « Et tu comptes t’y rendre ? » Il questionne en s’intéressant à tout ceci. « Il t’attire ? Tu rêves qu’il te fasse l’amour comme je l’ai fait ? » Il ajoute sans tabou à son égard. Son regard demeure pénétrant. Une certaine frustration s’éveille au creux de ses reins, mais il ne le montre pas. « Fais attention. Protège-toi. » Il déclare pour conclure avec cette désinvolture qui lui est propre. Il ne sait pas quel genre de femme se cache sous les traits de l’adolescente. Il ne sait pas si elle est innocente ou a déjà vu le loup. Ce sujet ne devrait même pas l’intéresser, mais il ne peut s’empêcher d’en savoir plus. Shannen lui semble encore si innocente, loin d’être une femme qui se découvre sur le plan charnel, avec des hommes. Une voix perverse dans son esprit aimerait connaitre les détails de sa vie sexuelle pour nourrir son imaginaire. Cela lui est interdit, mais crée une légère frustration en lui. Un tabou qu’il n’apprécie guère. Il tâche de l’effacer de son esprit, de rebondir sur la suite des paroles de l’adolescente. Il la provoque de plus belle, car c’est ainsi que leur relation se construit jour après jour. Au fond de lui, il sait qu’elle lui ment, qu’elle ne désire pas qu’il devienne un père de substitution, pas avec un tel regard sur lui, mais il se laisse berner, car il juge cette approche plus raisonnable. « Tu en as un. Et ce n’est pas moi. » Il déclare, car c’est la vérité, sans détour. Son regard est pénétrant. Elle ignore son identité, mais il existe bel et bien. « Mais si t’as besoin de soutien, je suis là. » Il déclare pour lui rappeler qu’elle compte pour lui et qu’il souhaite lui apporter le soutien dont elle a besoin lorsqu’elle connait des périodes de doutes. C’est sans doute la première fois qu’il avoue, même de façon indirecte, l’affection qu’il lui porte. Il ne désire pas avoir un rôle de père pour elle et le met en évidence de façon détournée. Seulement, son comportement à son égard est déroutant, joue avec aisance avec plusieurs facettes de sa personnalité. Parfois, il se montre directif, complice, provocateur. Cela semble irrité la jeune adolescente qui ne perd rien de sa répartie, le confronte de nouveau. « Vraiment ? » Il questionne, son regard pénétrant plongé dans le sien. « Je le suis plus que tu ne le crois. » Il demeure sérieux dans son propos, mais attrape son paquet de cigarettes pour lui en filer une. « Tiens. » Il allume même son briquet pour qu’elle puisse l’allumer sans effort. « Mais tu restes une crevette quoi qu’il en soit. » Il lance dans un sourire en coin alors qu’il s’éloigne d’elle pour rejoindre le salon où il s’installe avec nonchalance pour fumer sa cigarette et allume la chaine hifi, histoire de laisser le son indie emplir la pièce de sa douce mélodie. Son regard la sonde, sans rien dire, l’expression plus virile que jamais.
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Shannen Weaver
Shannen Weaver
La crevette ingénue
☞ ÂGE : 17 ans. (22/04)
☞ STATUT : amoureuse de son pedobear. heureuse. rêveuse.
☞ PROFESSION : lycéenne emplie de rêves et d'espoirs ; baby-sitter d'un petit James.
☞ HABITATION : petit appartement à Thornhill avec sa mère.

☞ BAFOUILLES : 4147 ☞ PSEUDO : demon dance (emeline).
☞ AVATAR : elle fanning.
☞ CREDITS : Lolitaes.
☞ MULTI-COMPTES : aucun.

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MessageSujet: Re: la beauté du diable (ciaran #4)   la beauté du diable (ciaran #4) EmptyMar 1 Nov - 19:54

La beauté du diable

La curiosité naît de la jalousie + Molière.

Coincée dans la cuisine en compagnie de Ciaran, Shannen observe ses traits et ses courbes tout en s'adonnant à une querelle verbale avec lui. Les reproches sont détournés par des taquineries et des sourires, légers et souples, qui ondulent sur leurs visages au rythme des émotions qui les traversent. Ils éclaircissent l'ambiance sombre qui les entoure, par des blagues constantes. Car quelque chose plane dans l'air, vient rompre la respiration normale de Shannen, pour la rendre plus saccadée ; ce quelque chose est délicat, subtile. Une tension palpable s'immisce dans leur échange, qui peut les rendre passionnés au moindre mouvement inapproprié. Ils se tournent autour sans même bouger, devenant plus hypnotisants pour l'autre au fil des minutes. Leur discussion ne témoigne pas de leur symbiose, elle renforce seulement les faux-semblants qu'ils s'obstinent à instituer dans leurs esprits et existences. Pourtant, si l'on creuse dans leurs cœurs, si l'on ressent le feu incandescent qui embrase leurs reins, et si l'on observe leurs regards rivés dans celui de l'autre, ne serait-ce qu'un court instant, une seconde même suffirait pour émettre un constat, alors il serait d'une évidence indéniable que ces deux êtres se désirent, s'attirent. « Je n'ai jamais dit le contraire. » Elle esquisse un sourire amusé sur ses lèvres, lorsqu'il l'insulte de sale môme. Elle l'est et cette fois elle en est très fière. « Ce n'était pas une question, tu t'es juste donné la liberté d'exprimer une supposition. Moi je me suis donné la liberté de ne pas la contredire ou l'approuver. » Elle corrige ses propos pour les rendre plus véridiques, avec cet air arrogant qui ne s'éteint pas. Elle adore rétorquer, lui tenir tête, instaurer cette complicité entre eux. « Ouais, d'ici là, tu auras oublié. » Elle lance en déclenchant son rire moqueur, pour le pousser à répondre aussi.

Finalement, toujours le corps retenu par la gazinière, Shannen prétend vouloir se confier auprès de Summer à propos de son voisin et ses propositions gourmandes. Ciaran semble surpris et curieux, à son plus grand contentement. « Oui bien sûr, je l'aime beaucoup. Je le trouve très beau. » Elle souffle de manière franche, puisqu'il est vrai qu'il possède un physique avantageux - sauf qu'il n'en use jamais pour séduire les femmes aux alentours, et encore moins elle. Elle est la seule intéressée pour un moment luxureux, mais ça, évidemment, elle se garde bien de lui dire. « Il le fait déjà. Tu n'es pas le seul à être ultra sensuel, Ciaran. » Elle lâche en soutenant son regard, sans jamais défaillir face à lui. Elle ne lui donnera pas cette satisfaction et est prête à lui tenir tête. Sa carapace se force de jour en jour, la femme fatale serait-t-elle proche ? « Ne t'en fais pas, j'ai ce qu'il faut. Maman me bassine tout le temps avec ça. » Elle rit légèrement tout en prenant cet air agacé sur le visage - car oui, sa mère l'emmerde à aborder chaque fois ce sujet... Alors qu'elle n'a pas encore eu l'occasion d'utiliser ce moyen de contraception. « Oui mais si c'est pour qu'il soit mort ou Dieu ne sait où, ça ne m'intéresse pas trop d'en avoir un. » Elle hausse les épaules et s'exprime avec une franchise certainement déconcertante. Elle parle avec son cœur et vide les tourments qu'il contient depuis des lustres. « Je sais, tu m'écoutes tout le temps. » Elle s'exclame avec un sourire doux incrusté sur les lèvres, sincèrement touchée par le soutien qu'il lui apporte dès que le besoin se fait ressentir.

« Ça dépend pour quoi. » Il n'est pas toujours un adulte responsable, il est même plutôt rebelle dans son genre. « Et ne viens pas me dire que je suis trop jeune ou que c'est mauvais pour la santé. Parce que je pense que je suis capable de te frapper dans ces conditions. » Elle lève son index, d'un air très menaçant, pour le prévenir de ne pas lui balancer des raisons peu adéquates. Tout peut rendre malade de nos jours ET elle a seize ans, merde. L'âge rebelle et des découvertes ; l'âge en quête d'une liberté savoureuse. Il lui tend finalement une clope et le briquet qu'il allume, alors elle se rapproche et se penche vers lui pour mettre feu à cette drogue. « Merci. Tu vois quand tu veux... » Elle lui adresse ce sourire tendre, craquant et taquin, mettant fin à ce conflit puéril. « Toujours et encore. » Elle sourit de nouveau, ce sourire complice et quelque peu enfantin. Elle s'assoit auprès de lui sur le canapé, prend une bouffée de cette cigarette pour la recracher. Le brouillard nocif et odorant la fascine, elle l'observe avec ce regard contemplateur, admiratif. Elle crapote en vérité, ne laisse pas la brume envahir ses poumons. Pas encore une fumeuse professionnelle. Elle se tourne ensuite vers Ciaran pour l'observer d'un regard insistant, mais aussi pour attraper son paquet de cigarettes enfoui dans sa poche de jean. Elle lit l'étiquette avec curiosité. « Des Treasurer. Elles sont bonnes. » Elle commente avant de diriger de nouveau son regard sur son torse, puis dans ses yeux. Un aller-retour assez fréquent depuis plusieurs minutes.


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☞ PROFESSION : musicien, interprète, compositeur. Il joue seul, parfois avec des musiciens rencontrés au hasard d'une salle de concert, mais ce n'est pas de la musique qu'il vit. Pour payer ses factures, il enchaine deux postes de serveur, un dans un restaurant assez chic et l'un dans un bar branché, six jours sur sept. Cela permet de vivre correctement sans extravagance.
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MessageSujet: Re: la beauté du diable (ciaran #4)   la beauté du diable (ciaran #4) EmptyMar 1 Nov - 22:13

La beauté du diable

La curiosité naît de la jalousie + Molière.

Son impertinence l’amuse comme pourrait l’irriter. Sa franchise lui plait. Quand elle agit de cette manière, avec cette confiance en elle, il lui semble entrevoir la femme qu’elle pourra devenir et elle lui plait, indéniablement. Son regard se fait plus pénétrant face à la fierté affichée par cette adolescente, qui représente un véritable danger pour lui. Cette attraction qui se révèle et titille ses pensées secrètes. Elles doivent être prohibées, mais il en demeure prisonnier. D’autant plus qu’il ne peut se passer de ce jeu malsain qui les amène à se provoquer l’un et l’autre avec d’autant plus d’ambigüité. Elle marque un point, mais il est déterminé à entrevoir la vérité, la voir s’exprimer de ses lèvres qu’il ne se gênerait pas à parcourir si la décence l’autorisait. « Et si tu jouais carte sur table, crevette ? Donne-moi la raison réelle de tout ça ? » Il réclame la vérité de son ton particulièrement sérieux et autoritaire. Ses prunelles demeurent ancrées dans les prunelles de l’adolescente. Elle le nargue en riant, persuadée qu’il aura bien vite de lui faire subir des représailles. « N’en sois pas si sûre, crevette ! Je pourrais te surprendre. » Elle titille sa fierté, le provoque, sans prendre conscience qu’elle éveille indirectement l’homme qu’il cache sous son apparence de gentil père. Il la laisse néanmoins s’échapper en changeant de sujet, s’arrêtant sur la raison de sa présence.

Seulement, elle active d’autant plus sa curiosité malsaine. Une sensation désagréable s’empare de façon discrète de sa poitrine. Les propos de l’adolescente éveillent sa frustration, qu’il renie avec force. À cet instant, son regard devient plus sombre face à l’adolescente, qui agit comme une femme, maitresse de son corps et ses charmes. Il ne dit mot, ne fait aucun geste à son égard, mais se contente de fumer sa cigarette sans la quitter du regard. Elle joue sournoisement avec sa fierté et y parvient résolument. « Je n’en doute pas. » Il fait référence aux compétences de cet homme. « Tant mieux s’il est à ton gout. » Il lance avec cette désinvolture insolente. Il donne la sensation de n’en avoir rien à foutre de ce qu’elle vient d’évoquer comme idée. De toute manière, se lancer dans un échange provocant à ce sujet serait une mauvaise idée. Il n’a pas envie de faire de mauvais pas. « Elle a raison. On n’est jamais trop prudent à ce sujet. Il manquerait plus qu’un mec t’engrosse. Ce serait dommage, tu as toute ta vie devant toi pour enfanter. » Il déclare sans perdre de son détachement. Il aurait la sensation de manquer à sa promesse de veiller sur la demoiselle. Et une fois de plus, il change d’attitude, se montre plus ouvert et malicieux, mais le sérieux revient rapidement, par pur jeu, mais également parce que la situation l’exige. Il lui semble important de lui faire comprendre qu’il n’a aucune intention de devenir son père de substitution, mais seulement son ami. Elle peut compter sur lui et semble l’entrevoir. Elle le sait. Il n’a aucun doute à ce sujet, car il le lit clairement dans son regard, son sourire. Cela lui en soutire un par la même occasion. Il s’efforce d’agir en adulte, bien qu’il ne puisse nier qu’il aime redevenir un adolescent à ses côtés. C’est un curieux paradoxe et il s’applique à jouer sur les deux plans avec dextérité. « Comme je l’ai dit, je ne suis pas ton père. Tu fais ce que tu veux. » Il déclare avec une voix plutôt franche en lui tendant la cigarette qu’elle réclame. Il cherchait juste à la taquine, n’a jamais songé à l’empêcher d’en fumer une si elle le désire réellement. « Ne me le fais pas regretter, crevette ! C’est que tu deviens arrogante sale môme ! » Il déclare dans un sourire amusé alors qu’il la quitte pour rejoindre le salon.

Il laisse son corps ingurgiter cette nicotine indispensable à son bien-être. Cette marque est celle qu’il fume depuis ses vingt ans. Malgré le prix élevé, c’est la substance licite dont il ne peut pas se passer. Shannen vient à lui, s’installe à ses côtés et il la fixe en silence. Il sourit, voit bien qu’elle crapote, mais ne fait aucun commentaire à ce sujet. Il savoure juste sa cigarette, quand il sent la menotte de l’adolescente frôler son jean pour attraper son paquet placé dans l’une de ses poches. Elle s’en saisit le regard plongé dans le sien. « Elles le sont, vu le prix. 15 £ le paquet. Autant te dire que je les déguste. » Il sourit du coin des lèvres tant il est ironique. Il en est accro. Cela fait bien longtemps qu’il ne fait plus que les savourer. Elles lui sont indispensables au quotidien. « Par contre, je te déconseille de fumer très tôt. Cela risque de te déformer ta voix, mais également te faire vieillir plus vite. Cela serait dommage avec ton minois. Tu as tout pour devenir une femme fatale, si tu gardes une hygiène de vie irréprochable. » Il déclare avec franchise en venant tirer une bouffée de sa cigarette qui se termine et qu’il écrase dans le cendrier positionné non loin de lui. C’est une manière indirecte de la complimenter, de lui assurer sa capacité à devenir une femme, qui représentera d’autant plus un danger pour lui, mais d’ici là, il espère qu’elle aura trouvé quelqu’un, histoire de l’empêcher de se noyer dans cette relation malaise et franchir cette délicate frontière. Ce qui serait très problématique. Il en a conscience.
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