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 won't you leave me now (buck ♥)

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MessageSujet: won't you leave me now (buck ♥)   won't you leave me now (buck ♥) EmptySam 18 Mar - 19:36


Feels like I've been looking everywhere. Just to find out that it's you.

(☆☆☆)

Cela doit bien faire une bonne demi-heure que tu fais les cent pas sous sa fenêtre. Tu en es à ta sixième cigarette. Tu sais que tu abuses, mais c’est plus fort que toi, tu es nerveux. Et quand tu es nerveux, tu fumes clope sur clope. Tu ne penses pas au père de Ben qui pourrait débouler à tout moment. Non, toi, tu penses à ces deux semaines de silence radio. Tu as merdé. C’est en grande partie de ta faute si vous en êtes arrivés là. Tu revoies encore sa tête quand tu as embrassé ce pauvre type. Qu’est-ce qui t’es passé par la tête ? Tu ne peux même pas te poser cette question. Tu ne peux pas mettre ce coup bas sur le compte de la folie. Tu savais très bien ce que tu faisais. Et tu n’es pas totalement sûr de le regretter. Enfin si, mais ce n’est pas les conséquences que tu regrettes, juste l’acte en lui-même. Sur le moment, tu ressentais le besoin de le blesser comme il te blessait toi. La seule chose qui faisait la différence entre vous, c’est que lui n’en avait pas conscience. Et on ne va pas se mentir, c’est ce qui t’a fait le plus de mal. C’est d’ailleurs pour ça que tu as craqué. Quand tu l’as vu arriver défoncé, une fois de plus, à cette soirée alors que tu l’attendais déjà depuis plus d’une heure, ça t’a achevé. Alors tu as répliqué. Tu as embrassé le premier inconnu qui passait. Hétéro ou pas, ça t’était totalement égal. Tu savais que ça ne lui ferait pas que du bien alors tu l’as fait… Tout ça, c’est du pipeau. Tu essayes de t’en persuader et à force de te le répéter, tu finiras peut-être par y croire. Tu te rabâches encore et encore que tu as fait tout ça pour le blesser, mais c’est faux. Complètement faux. Tu cherches juste par tous les moyens à t’épargner. Dès qu’il s’agit de Ben, les murs autour de ton cœur s’écroulent comme s’ils avaient été pétés à la dynamite, et à chaque fois, tu peines à les reconstruire. Tu refuses d’admettre qu’en le voyant arriver défoncé, tu l’as vu comme un abandon, comme s’il avait encore une fois préféré la drogue à toi, et tu as eu l’impression que ton cœur allait se faire exploser avec tes murs. Alors tu as voulu te prouver que tu pouvais te distancer de lui, que ces sentiments que tu avais l’impression d’éprouver n’étaient qu’une simple illusion. Tu as embrassé un type au hasard et tu t’es pris une claque. Pas par ta pauvre victime qui n’avait rien demandée - tu aurais largement préféré ça - mais par ton subconscient. Tu as réalisé que Ben était tout ce que tu voulais, tout ce dont tu avais besoin. Tu as réalisé que ces sentiments enfouis sous des piles et des piles de conneries ne s’en iraient jamais. Tu as découvert que c’était juste… que c’était juste Ben… ça avait toujours été Ben. Et ça, tu n’arrives pas à te l’admettre. Parce que tu sais ce que ça veut dire. Tu sais ce que ça implique. Tu vas souffrir. Et ça… ça te terrorise comme jamais. Parce que Ben, il est imprévisible. Ben, il est cassé. Et tu n’es pas sûr de pouvoir y faire quelque chose.

Pas forcément très bien dans tes baskets, tu entreprends d’escalader la façade. Plus les années passent, plus la tâche devient ardue, mais tu t’accroches, tu fais de ton mieux. Un pied sur l’espèce de rebord qui fait le tour de la maison, une main accrochée à une branche de l’arbre adjacent, tu entreprends d’ouvrir la fenêtre de la chambre de Ben. Tu te glisses maladroitement à l’intérieur et t’écrases sur le sol assez discrètement il faut dire. Tu te relèves et refermes la fenêtre derrière toi. Ben n’est pas dans sa chambre. Ce qui n’est pas plus mal, vu l’entrée que tu viens de te payer. Pour ta défense, tu es vraiment très nerveux et dans cet état, l’escalade de la maison n’a vraiment pas été aisée. Tu t’avances vers le couloir, prêt à te faufiler discrètement dans les diverses pièces de la maison, quand tu entends l’eau couler dans la salle de bain privative de Ben. Tu tournes la tête vers la source du bruit. La porte est légèrement entrouverte et tu ne peux t’empêcher de t’approcher pour jeter un œil à l’intérieur. Si le spectacle qui s’offre à toi te fait drôlement envie, tu ne restes pas l’observer plus longtemps. Cette envie, ce désir… tu ne les as jamais combattus avec autant de force. Autrefois, ils t’intriguaient, mais tu les cachais par principe. Aujourd’hui, ils t’effraient. Tu as peur de leur signification. Parce que tu sais qu’ils en ont une. En attendant que Ben termine sa douche, tu fais le tour de sa chambre. Tu détailles chaque recoin. Tout dans la pièce te semble familier. Tu es surement dans l’endroit à Dewsbury où tu as passé le plus de temps en grandissant. Vous en avez vécu des choses dans cette pièce. Pourtant, les souvenirs qui te reviennent sont les plus frais. Ceux de cette soirée. Celle où tu as dû le ramener chez lui tant il était défoncé. Celle où tu as réalisé que tout avait changé. Ton regard s’arrête sur une photo de vous deux. Vous deviez avoir quinze/seize ans, quelque chose comme ça. Vous souriiez, vous étiez heureux. Tu aimerais tellement revenir à ce temps-là. La photo entre les mains, tu t’assoies sur son lit. Bientôt, il sort de la salle de bain. Tu l’entends ouvrir la porte, tu relèves la tête. Tu peux voir son mouvement de recul en t’apercevant. Il est là, devant toi, en serviette, mais tu es incapable de lui sourire. Tu te sens bien trop con pour ça. Parce que tout ce que tu te disais au début, toute cette connerie à propos de vouloir le blesser, tu la sens te glisser entre les doigts. La réalité te rattrape et tu as l’impression que tu vas crever. Tu appréhendes. Tu n’as aucune idée de ce qu’il va faire, de ce qu’il va dire. Il pourrait très bien te demander de partir ou gueuler que t’es là. Bien qu’il n’y ait aucun bruit dans la maison, tu ne serais pas surpris de voir Cerbère ou son père débarquer dans la seconde pour te foutre dehors à coups de pied au cul. Mais encore faudrait-il qu’il admette ce qu’il te reproche et ça, vous le savez très bien tous les deux, ce n’est pas si simple. « Hey », lâches-tu alors. Tu arrêtes enfin de te comporter comme un gosse et l’affrontes timidement du regard. Tu as beaucoup de mal à rester fixé sur son visage, tes yeux meurent d’envie de vagabonder sur ce corps qui te tente tellement depuis si longtemps. Tu poses la photo sur sa table de chevet puis tu te lèves et t’avances vers lui. « Jolie serviette », lâches-tu visiblement mal à l’aise. Tu joues nerveusement avec tes doigts, incapable de t’arrêter et de ne plus bouger. Tu n’as rien trouvé de mieux à lui dire et tu te sens terriblement débile… Il va t’exploser à la gueule, tu le sens.
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MessageSujet: Re: won't you leave me now (buck ♥)   won't you leave me now (buck ♥) EmptyMar 4 Avr - 21:14


Feels like I've been looking everywhere. Just to find out that it's you.

(☆☆☆)

L'eau se déverse sur ta peau. Tes muscles se détendent. Tu souffles légèrement, créant de la buée sur le carrelage. Fermant les yeux, passant la poire sur ton visage. Ce picotement qui t'arrache une grimace. Cette douleur qui devrait rien te faire, mais qui reste là. Le bleu disparaît, mais pas les images. Ça, tu as beau tout faire pour oublier, ça persiste à rester dans un coin de ton subconscient. Te le rappelant à chaque fois que tu n'y songes pas. Le pourquoi tu en es venu à avoir ce coquard, ces douleurs dans les cotes. Ce visage. Cette douleur qui t'a brûlé l'estomac, qui te ronge encore. Ce truc que tu n'arrives pas à expliquer. Tu t'es laissé aller parce que tu ne voyais aucune autre solution.  Que tu avais besoin à ce moment là de ressentir quelque chose. Autre que ce qui t'animait de l'intérieur. Parce que t'avais besoin de mériter ça. Besoin de sortir son visage de ta tête. Ses lèvres contre cet inconnu. Lui et son putain de sourire. La satisfaction qu'il a eu.. le truc qui a bondi à l'intérieur de toi. Rien que d'y repenser, t'as mal. Et tu ne comprends pas pourquoi. Ce n'est pas la première fois que tu vois cette scène. Qu'elle se produit sous tes yeux. Sauf que c'est la première fois que tu ressens une rage pareil. Voir seconde fois, la première fois, se fut plus petit, moins important… C'était le soir de vos retrouvailles. Tu t'es juste dit que c'était le temps. Rien de plus. Mais là … Là c'était différent, tu l'as senti. Au point d'aller te faire exploser la tête quelques heures plus tard. Parce que dans le fond, c'est tout ce que tu méritais. Tu ne comptais pas pleurer sur ton sort. Ce n'est pas toi. Tu t'es juste contenté de prendre un autre raille et d'aller à leur rencontre. Un mot. Puis deux. Le coup est parti. Tu n'as pas cherché à riposter. Tu t'es laissé faire. Tel un punching-ball. T'as encaissé. Rentrant en claudiquant chez toi. Ton père t'a ramassé au petit matin sur le paillasson. Parce que tu n'étais clairement pas en état. Tu t'es même demandé comment tu as fait pour ne pas rester sur ce trottoir. Comment tu as fait pour retrouver le chemin jusqu'à chez toi. Comment tu as échoué sur le paillasson. Peut-être ton instinct de survie, même si ce soir-là tu l'as mis en veille. Tu l'oublies bien souvent, peut-être parce que dans le fond, tu sais. Tu sais que ça ne sert à rien. T'as pas besoin d'être sauvé. Pas besoin d'être là. Et ce spectacle t'a donné encore plus de raison de finir la gueule sur le bitume. L'ironie dans cette histoire, c'est que cerbère a quitté le domicile. Ton père a jugé bon de la renvoyer en voyant ton état. Défoncé, balafré, esquinté, tes lèvres qui baignaient dans un mixte de ta salive et ton sang. Il n'a même pas cherché à te raisonner, t'engueuler. Il a juste « soupiré » , il devrait savoir depuis le temps que tu ne cherches plus rien. Que tu es une cause perdue. Alors son speech pour être élu père de l'année, il peut se le mettre derrière l'oreille. Tu ne comptes pas changer. Tu soupires à nouveau. Ton torse se bombe, la douleur ne semble plus rien te faire… tu essaies de l'enlever de ton esprit. Bien plus facile à dire qu'à faire. Deux semaines. Deux semaines que tu fixes ton téléphone, mais non. T'as pas le cran, les couilles de l'appeler. Tu ne veux pas. Ce qui n'est pas toi. Vos dernières discutions jouent dans ta tête, puis cette putain d'image. Lui et ses lèvres … t'as rêvé d'être à la place de cet inconnu. Te maudissant au réveil d'avoir fait un rêve comme celui-là. Tu ne voulais pas de cette gaule, parce que tu savais qu'il en était responsable. Tu ne veux pas qu'il s'immisce en toi. Pourtant plus tu le rejettes, plus il s'infiltre. Parce qu'il te manque tout simplement… sauf que t'es bien trop fier pour l'avouer.

Coupant l'eau et respirant à nouveau. T'en peux plus de penser ainsi. Passant ta main sous tes narines. Deux semaines que t'as rien pris. Tu ne sais pas pourquoi. Tu es juste resté cloîtrer chez toi. Oubliant le temps qui filait autour de toi. Les gens qui vivaient leurs vies. Et toi. Perdant la tête. Deux semaines que tu t'oublies. Que tu ne fais que penser. Que tu ressasses. Que ça te ronges, mais tu ne diras rien. Tu ne feras rien. Il ne fait rien de son côté, la preuve en est : elle avait raison. Cette pensée t'effraie. Passant ton bras sur le miroir. Chassant cette pensée de ta tête. Pourtant plus tu regardes et plus tu te dis que c'est ça. Qu'elle a raison. Qu'elle sait. Qu'elle s'était immiscée dans ta tête ce premier soir. Lors de son aveu, lorsque tu as compris qu'il avait « changé », qu'il avait continué sa vie … Tu as perdu pieds. Tu t'es senti couler. Elle s'est alors immiscée en toi. Tu pensais qu'elle était partie, faut croire que non. Elle avait raison. Il n'a pas besoin de toi. Tes mains se sont crispés sur le rebord du lavabo. Tu t'expulses de cette pièce. Ces traits qui ne te plaisent guère. Puis elle qui persiste à rester dans ta tête. Te ramenant à la réalité. Le croire lorsqu'il te dit qu'il a besoin de toi ? Ou juste admettre la réalité? T'en sais rien. Tu passes ta serviette autour de la taille et sors de cette pièce. T'étais rentré là pour évacuer, c'est pire qu'au début. Relevant les yeux, ton cœur rate un battement. Il est là. Tu en as le souffle coupé. Tu ne sais que dire. Quoi penser. T'as envie de te pincer pour vérifier que tu ne rêves pas. Mais tu sais. Tu sais qu'il est bel et bien là. Que tu n'es pas en train de rêvé. La sensation qui t'a parcouru en croisant son regard. Elle n'est pas fictive. Elle est bien réel. La douleur aussi. Mais ça tu t'avises de ne pas y songer. Hors de question de montrer que tu meurs de l'intérieur. Que ça te fait quelque chose qu'il soit là. Il a déjà eu le droit de voir la surprise sur ton visage. Rien de plus. Tu lui feras pas ce plaisir. Inconsciemment ça te fait du bien de le voir. De savoir qu'il est là, mais non. Ça non plus tu le diras pas. Le montrera encore moins. Parce que t'es con et fier par dessus tout.

Restant un moment là. Entre ta salle de bain et ta chambre. Loin de lui. T'as l'impression que le temps a déficelé à la vitesse de la lumière lorsque tu reviens pleinement à toi. Lâchant la clenche, tu fais quelques pas. Ignorant le son de sa voix. Ça te brise de l'intérieur de feindre qu'il te parle. De ne pas lui sourire ou simplement lui répondre. Tu t'avances dans une autre direction qu'est la sienne. Mettant le plus de distance possible entre lui et toi. Cherchant tes habits. Oubliant qu'il est là, du moins tu lui fait croire. Tu ne pourrais oublier sa présence, même si tu le voulais vraiment. C'est Chuck. Tout ici te ramène à lui. Passant ta main sur ce bois. Ramenant des souvenirs, vieux et profonds. C'est ici que tu avais caché ta première bouteille, piqué dans la réserve de ton père. Tu l'avais planqué là lorsqu'il a surgi dans ta chambre, hors de lui, comme à son habitude. Ce fut ton premier réflexe. Parce que ce soir-là, tu ne voulais pas qu'il brise votre soirée. Vos moments de joies. Alors qu'il se tenait derrière toi, refermant le tiroir sur ta main dans la précipitation de se faire prendre. Vous étiez que des gamins, pris sur le fait. T'as rien dit sur la douleur qui avait envahi ton système. Tu ne pouvais rien dire parce qu'il était dans la pièce. Vous fusillant du regard. Te demandant de faire partir Chuck. Ce que tu n'as pas fait, au contraire, il a dormi ici. Il s'est même excuse de t'avoir écrasé la main. Tu soupires. Penser à ça tout ça, ça te fait plus de mal qu'autre chose. Refermant le tiroir d'un coup sec. Lui tournant toujours le dos. Ne lui ayant adresser aucun mot, aucun regard depuis que tu as croisé son regard en sortant de la salle de bain. Depuis que tu as perdu pieds l'espace de quelques minutes. Tu ne veux pas. Il te parle, mais sa voix te semble lointaine. Laissant tomber ta serviette. Ton fessier a l'air libre, sous ses yeux. Un sourire se créer su ton visage. Tu ne sais pas pourquoi tu réagis ainsi. Au fond de toi ça te plaît de lui faire subir ce spectacle. Parce que t'as envie qu'il réagisse… passant ton boxer. Tu finis par te retourner. Attrapant le premier tee-shirt qui se présente à toi. Tu comptais ne rien faire de ta soirée. Et tes plans ne vont pas changer. Tes doigts tremblant légèrement lorsque tu amènes ce petit tube près de tes lèvres. Tu ne comprends pas pourquoi tu es ainsi. Pourquoi tu réagis comme ça. Sûrement le manque. Pas de lui. Tu ne veux pas que ça soit lui.  Tu reposes ton briquet et prends place dans ton lit. En ayant toujours pris soin de l'ignorer. La fumée s'extirpe de tes lèvres et tu reposes enfin ton regard sur lui.

Ton torse se gonfle. Il est là devant toi. T'as envie de tellement de chose, mais tu ne feras rien. Strictement rien. Vous vous regardez. Tu hésites à ouvrir la bouche. Puis tu finis par céder. « J'vois pas c'que tu fais là. On s'est tout dit la dernière fois. » tes mots sont durs, froids et blessant. Tu ne veux pas de lui ici. Si c'est pour te faire mal à nouveau. Tu ne veux pas. Tu ne veux pas qu'il ouvre la bouche pour t'expliquer le pourquoi. T'as pas envie de savoir. Tout ça c'est ce que tu laisses paraître. Parce que c'est toi. Qu'on t'a fait ainsi. Serrant les poings pour éviter de trembler à nouveau. Son visage face à toi. Flash de cette soirée, son visage contre celui de ce pauvre type. Et voilà que ça survient au fond de toi. Parce que ça te fait mal. Que t'as pas envie que ça soit ainsi. T'as pas envie d'avoir mal… et tu sens que tu vas douiller s'il ouvre la bouche. Tu le connais. Tu as vu la façon qu'il a eu de jouer avec ses doigts. Sa nervosité. Tu ne veux pas savoir pourquoi il est comme ça. Tu veux rester distant avec tout ça. Parce que tu ne comprends pas ce qui se passe. Parce que tout ça c'est trop étrange pour toi. Parce que s'il le faut tu retourneras te faire démonter. Si ça te permet de ressentir un truc. Autre que ce que tu peux ressentir là… parce que ce soir là, t'avais juste envie de crever.. et c'est la première fois qu'il t'a fait ressentir ça. T'as jamais ressenti ça face à lui.. jamais. Au contraire il te donnait l'effet inverse …
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