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 Je suis désolé (Jamias #1)

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Matthias Nikelsen
Matthias Nikelsen
☞ ÂGE : 38 ans
☞ STATUT : Reloading.
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MessageSujet: Je suis désolé (Jamias #1)   Je suis désolé (Jamias #1) EmptyMar 20 Déc - 17:30


Jamias

Je suis désolé ...


Je suis en retard. Ça m’arrive assez souvent avec mon travail, il nous arrive régulièrement d’être retenu à cause d’une nouvelle affaire qui surgit au dernier moment, parfois même on enchaine carrément sans pouvoir rentré pendant 24 h. D’habitude je sais que tu ne dis rien, mais là, tu m’avais demandé d’être là à l’heure, juste pour une fois, et je t’en avais fais la promesse. Malheureusement une agression sur un mineur me retient au bureau le temps que je prenne en compte la plainte, ce qui me prend déjà une bonne demi-heure. Même avant de partir je suis en retard. Je soupire, je sens déjà la tension qu’il va y avoir à la maison. Pour une fois que je voulais passer un bon moment avec toi, c’est complètement râté. J’aimerais bien que l’on se retrouve un peu. Que l’on cesse de se prendre la tête pour des idioties, mais c’est mal barré pour ce soir. Je sens déjà la dispute arriver à grand pas.

Je me dépêche de me changer et de prendre la direction de la maison. Mais, arrivé au bon port, c’est avec une bonne heure et demie de retard que je rentre bien au chaud. Il faut dire que la circulation ne m’a pas aidé non plus. Décidément ce n’est pas mon jour de chance. Je me débarrasse de mon manteau avant d’entrer dans le salon et de te voir assis dans le canapé, les yeux fixés sur la télé. Ce n’est pas bon signe. Je m’approche de toi, par derrière, je sais très bien que tu m’as entendu entrer, je n’ai pas été très discret. Je pose mes mains sur tes épaules avant de déposer un baiser dans tes cheveux. « Je suis désolé… Vraiment, j’ai fais au plus vite… » Mais, vu la tension que je sens dans tes épaules, je sens que les excuses ne serviront strictement à rien. Mais, je t’observe, et malgré la distance qui s’instaure entre nous, je ne peux m’empêcher de te trouver magnifique. Et de me trouver sombrement idiot aussi.
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MessageSujet: Re: Je suis désolé (Jamias #1)   Je suis désolé (Jamias #1) EmptyMer 28 Déc - 16:19


Je suis désolé...
Je m'occupe de préparer le repas pour notre soirée que j'espère romantique, pleine de douceur et de simplicité. Je t'ai proposé de me rejoindre à 19 heures chez nous, pour savourer un dîner aux chandelles concocté par mes soins. Je m'applique dans ton plat favori, ainsi qu'un tiramisu pour combler ma gourmandise. Tout semble idéal et les deux heures de perdues pour les avoir effectués ne semblent pas effacer les traces d'engouement qui recouvrent mon cœur. La table est joliment décorée par deux bougies et une nappe colorée de rouge et noir, et j'ai pris le temps de me parfumer, m'habiller d'une chemise blanche et d'un pantalon noir. Nous restons ici, dans notre appartement, mais j'ai besoin de me faire beau, de tout préparer avec perfection. Indirectement, j'aimerais te reconquérir, te charmer d'une certaine manière, pour chasser toutes les traces de morosité et rancune de nos poitrines. Je veux qu'on mette le froid et la distance de côté pour se concentrer sur notre amour commun, et aussi, célébrer la fin d'un gros contrat pour illustrer un jeu vidéo, qui m'a pris beaucoup d'énergie et de temps, mais aussi apporté énormément d'argent.

Je patiente plusieurs minutes que tu arrives, mais tu ne daignes pas pointer le bout de ton nez. Le plat est au four tandis que je tourne en rond dans le salon, observant mon portable chaque minute pour y apercevoir un de tes messages. Mais aucune de tes nouvelles ne me parvient, c'est un silence pesant que tu m'accordes. Je retire les lasagnes saumon pesto du four pour ne pas qu'il brûle, car au fond j'espère que t'introduiras à l'intérieur de cette grande maison dans quelques minutes. Mais 20 minutes passent, puis 40, 60... Au bout d'une heure, je bouillonne. Je t'avais prévenu que c'était important. Alors je laisse les plats se refroidir sur la table, ne pensant même plus à les garder chauds pour ta venue. Tu peux aller voir ailleurs si j'y suis ! Je m'assois sur le canapé devant une émission débile, de toute façon peu intéressé par les programmes que la télévision propose. J'avais juste le goût d'échanger avec toi, de te retrouver, de profiter d'un moment doux. Tu as tout gâché. Tu débarques au bout d'une heure et demie, je ne te regarde même pas. Tu peux toutefois remarquer que mon regard est empli de rage et mélancolie, et que je suis prêt à te les éclater en pleine figure. Tu t'approches derrière le dossier du canapé, tu es sans doute trop effrayé de me faire face. Tu es lâche, Matthias. Je te laisse embrasser mon crâne et ne me retire pas de ton emprise, je ne pense pas à te repousser. Tu me fais comprendre que tu as fait aussi vite que tu as pu, et ça me fait rire doucement, par simple réaction nerveuse. « Aussi vite que tu as pu ? 1H30, tu bats tous les records. » Je te rétorque ironiquement, c'est plus fort que moi. La rancune me tord le ventre et forme une boule au creux de ma gorge. Tu me donnes envie de pleurer de rage. « Pas grave, tant pis. » Je dis seulement sans détacher les yeux de l'écran de télévision, préférant t'ignorer qu'entamer une dispute supplémentaire. Pas la peine de te faire comprendre davantage que tu as abusé ce soir.
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Matthias Nikelsen
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MessageSujet: Re: Je suis désolé (Jamias #1)   Je suis désolé (Jamias #1) EmptyJeu 29 Déc - 22:29


Jamias

Je suis désolé ...


Je détestais être en retard alors que je sais pertinemment que tu as prévu quelque chose. Mais, malheureusement je ne peux pas aller contre mon supérieur qui m’a demandé de prendre cette plainte. J’avais beau tenté de négocier de pouvoir rentré tôt, il n’y avait pas matière à discuter. J’avais soupiré et avait voulu t’envoyer un message avant de me rendre compte que mon portable était à plat. Heureusement que cette après-midi, pendant ma courte pause, j’ai eu le temps de te trouver un petit cadeau pour fêter cette fin de contrat. J’avais déjà, depuis un petit moment, l’idée de t’offrir une gourmette à ton nom et gravé à l’intérieur de la date de notre premier baiser. Il ne manquait que l’occasion. Mais, j’avais une nouvelle fois tout gâché. Tout cela parce que j’étais incapable de respecter une promesse. Tu avais donc toutes les raisons de m’en vouloir. Surtout que te connaissant, tu avais surtout tout fait pour que ça soit parfait, ce que je ne doute pas un seul instant. Et ça me minait que tu te sois pris la tête pour qu’au final je gâche tout cela en beauté. Et ce cadeau, n’allait certainement pas aider, mais maintenant que je l’avais, je n’avais qu’une envie : te l’offrir.

Je fais au plus vite, même si je sais qu’il est malheureusement trop tard. Trop tard pour que l’on passe une soirée ensemble. Et en plus les bouchons m’empêchent de rouler aussi vite que je ne le voudrais. Je peste contre moi-même, contre la circulation dense, contre mon boulot, contre tout ce qui m’a empêché d’être à cette soirée. Cette soirée qui était pleine de promesses pour nous deux, une promesse de passer une soirée sans essayer de s’entretuer pour une fois. Peut-être que l’on pourrait recoller certain morceau, même si je devrais vivre avec cette culpabilité, et que, une trêve n’est pas la solution de nos problèmes. Mais, j’aspirais quand même à nous retrouver un peu, nous et cet amour qui nous liait si fortement il y a encore quelques semaines. Étions-nous si éloignés que nous ne pouvions pas plus nous retrouver ? cette vérité m’effraie au plus haut point. C’est avec une boule dans la gorge qui me bloque la respiration que je rentre à l’appartement. Le silence qui règne dans l’appartement n‘augure vraiment de bon. Mais je ne peux que me blâmer pour ça et pour le regard furieux que tu tiens obstinément fixer aux débilités de la TV. Je suis étonné que tu ne me repousses pas alors que je me poste derrière toi. Le reflet de l’écran TV me renvoi ton air courroucé. Je soupire doucement, ce ne sera pas une dispute, mais l’ignorance. Je caresse tes épaules, je n’arrive pas à me reculer, à m’écarter de toi. Je soupire et ferme les yeux alors que tu ris nerveusement et que tu balances cette vérité. Mais tu savais aussi que mon boulot était une part importante de moi-même. « Je n’ai pas eu le choix. Tu sais très bien que j’aurais été là. » Et tu sais très bien que si je vais à l’encontre de mon supérieur, je risque de me retrouver sur la paille. Et ce métier, c’est toute ma vie. Après toi. Mais, j’avoue que, dernièrement j’ai tendance à me plonger dans le travail corps et âmes pour oublier mes propres soucis. J’ai probablement une grande part de responsabilité dans la chute de notre couple. Je sors un écrin emballé d’un papier cadeau. « Tiens, c’était pour fêter ce contrat… ». Je te le tends, fébrile.

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MessageSujet: Re: Je suis désolé (Jamias #1)   Je suis désolé (Jamias #1) EmptyJeu 5 Jan - 0:17

Je t'attends patiemment mais je ne peux pas m'empêcher de bouillonner à l'intérieur de moi. J'ignore ce que tu fous, tu n'as même pas pris la peine de me prévenir par un simple message téléphonique. Tu me laisses seulement un goût de distance en bouche, en m'ayant adressé ton indifférence brutale. Ton silence m'a coupé le cœur en deux, prêt à être écrasé, écrabouillé contre l'asphalte. Je ne tarde pas à être envahi par la rage lorsque les minutes s'écoulent péniblement, tandis que mon regard ne peut que se concentrer sur les programmes dépourvus d'intérêt, dénudés de sens. Tu me rabaisses à un niveau qui m'exaspère, tu m'obliges presque à donner mon attention à ces débiles profonds. Je ne suis pas capable de t'attendre autrement qu'en regardant de la merde en boîte. J'ai essayé de lire un bouquin, mais la page ne se tournait jamais. Je ne sais pas si c'est l'inquiétude de ne pas savoir où tu te trouvais ou la colère de te savoir en retard (parce que oui il était certain que tu n'avais pas été kidnappé - juste possiblement retenu) qui me bloquait dans toute action envisagée. Alors tu me retrouves avachi sur le canapé, mais je ne détourne même pas le regard de la télévision. Tu deviens encore moins intéressant que cette chaîne, c'est pour dire la rage que je te consacre à cet instant. Tu te glisses derrière le canapé, tu m'accordes un peu de douceurs dans ce monde plein de brutalité et de peine que tu formes autour de nous - ou entre nous, plus précisément. Tu caresses mes épaules mais j'ai juste envie de chasser ce contact oppressant. Tu ne m'apaises pas du tout, tu abîmes mon espace de confort. « C'est quoi ton excuse cette fois ? » Je te confronte pour que tu m'expliques ce qui t'a bloqué dans ton arrivée ici. Je suis curieux d'apprendre les circonstances, de connaître l'origine de tes crimes. Toujours debout derrière le canapé, tu me tends un écrin emballé d'un papier cadeau. Je m'interroge, me demande ce qu'il se passe. Mon côté enfant niais ose croire à une fausse demande en mariage pour confirmer les vœux sincères qu'on s'est échangés lorsque je t'ai demandé de m'épouser. Mais non, il s'agit plutôt d'une gourmette. « C'est pour quoi ? » Je suis quand même comblé de bonheur malgré la légère déception qui habite mon cœur. Elle est magnifique, tu connais bien mes goûts. Tu arrives presque à me faire oublier l'élan de colère qui m'avait gagné, tu es vraiment doué. Je lis les inscriptions : mon prénom sur la partie visible, et la date de notre premier baiser, de la concrétisation de notre couple, sous la gourmette. 03/06/2000. Je m'en souviendrai toujours. « Tu t'en rappelles ? » Je tourne la tête vers toi pour que mon regard embué de larmes croise le tien. Je t'aime tant, Matthias, et ce cadeau est sans doute un des plus jolis que tu m'as offerts. « Merci chéri. » Je te contemple avec amour, apaisement ; tu sais toujours comment t'y prendre pour effacer toute trace de rage d'un coup sec. Tu es doué, je dois l'admettre. J'attrape ta main pour la caresser de mon pouce, puis je te demande. « Tu peux faire réchauffer et tout installer ici ? Je n'ai plus le courage. Mais sache que tu n'es pas tout à fait pardonné. Même si c'est bien essayé. » Je préfère quand même ta présence à une gourmette, mais bon... je ne dois pas trop chipoter, pas vrai ? Je veux juste la chaleur et douceur de ton corps, c'est tout.
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MessageSujet: Re: Je suis désolé (Jamias #1)   Je suis désolé (Jamias #1) EmptyJeu 5 Jan - 21:28


Jamias

Je suis désolé ...


L'enchainement des coïncidences malheureuses de la journée m'a conduit directement à ce désastre. La journée a été particulièrement chargée et ayant oublié de prendre mon chargeur, je me suis trouvé en rade de batterie et donc dans l'impossibilité de te prévenir de mon retard. Et je n'avais pas vraiment le temps de m'amuser à chercher un chargeur. Et cette plainte à prendre n'allait pas arranger mes affaires. Je sais que j'allais subir ta foudre en rentrant, faisant ainsi grimper la tension d'un cran. Tu avais de quoi être déçu vu que j'avais tout bonnement gâché ta soirée. Moi qui espérait une trêve, j'avais tout faux. La tension qui régnait dans la pièce quand j'y pénètre n'augure rien de bon, tout comme l'indifférence dont tu fais preuve quand je pose les mains sur tes épaules. Je préférerais à la limite que tu me repousses avec énergie, mais tu sembles las de tout. Je sais que mes excuses n'ont probablement aucunes valeurs ni même aucunes importances, je ne sais même pas si je dois les formuler. Mais tu demandes des explications, ce qui est tout à fait logique. Alors que je les formule dans ma tête, ça semble totalement dérisoire. Je grimace avant de te répondre "J'ai mon portable qui es tombé en rade, et une plainte d'une jeune victime cinq minutes avant que je termine et c'était donc pour moi" Je grimace, mais si tu m'en veux, je m'en veux déjà bien assez moi-même. J'avais tellement envie d'être là que je me déçois moi-même. Je pose mon front contre ton crâne, ta proximité a toujours eu un effet apaisant sur ma personne, même alors qu'on est plus distant que jamais en ce moment. Je décide quand même de t'offrir le cadeau que j'avais prévu pour toi. Je ne pense pas que ce soit le bon moment mais si je l'attendais je pense pas que tu l'aurais aujourd'hui. Je te tend le paquet avant de faire le tour du canapé pour m'asseoir à tes côtés. "C'est pour te félicité d'avoir bouclé ce contrat monstre, et te dire combien je suis fier de toi." Je te souris et j'attends avec impatience ta réaction sur mon cadeau, même si de première apparence il semble tout à fait banal. Ce n'était pas juste un prénom, mais aussi une date tout à fait symbolique entre nous, que je serais bien incapable d'oublier. Je te souris avant de hocher positivement la tête "Bien sûr que je m'en souviens, comme si c'était hier même." Je glisse une main sur ton visage pour essuyer ces quelques larmes qui coulent sur ton visage, signe de ton émotion. Je les essuie du pouce, avant que celui-ci glisse sur tes lèvres. Ce soir, j'avais décidé de mettre mes problèmes de côté pour ce jour mémorable, et on avait bien besoin d'une trêve, je n'aspirais qu'à ça. "Avec plaisir" Je noue mes doigts au tien avant de me lever et de t'entraîner dans mon sillage. "Laisse-moi déjà te féliciter comme il se doit." J'attrape tes lèvres avec tendresse, laissant ma langue allait cajoler la tienne. Je caresse ta main puis ton bras avant de m'éloigner. "Maintenant je peux m'occuper de tout ça, installe-toi, j'arrive chéri. Et réfléchis à ce que je peux faire pour me faire pardonner" J'affiche un sourire taquin avant de m'éloigner pour m'occuper de réchauffer le repas et de vérifier que ça ne brûle pas, car au vu de mes qualités culinaire ça risque plutôt d'être une catastrophe.
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MessageSujet: Re: Je suis désolé (Jamias #1)   Je suis désolé (Jamias #1) EmptySam 7 Jan - 14:13

Je t'ignore, tente d'être indifférent à ta présence mais c'est compliqué. Je contiens trop de rage à ton égard, et tu as beau faire preuve de tendresse vis-à-vis de moi, je refuse de me laisser berner. Je ne te repousse pas, mais je ne réagis pas non plus. Je te renvoie ma rancune en pleine figure, sans honte, car il faut exprimer son mécontentement dans un couple. Je veux connaître ton excuse, savoir l'explication que tu peux donner à un tel retard. J'ai l'impression d'être gavant, oppressant en te réclamant des excuses, mais c'est plus fort que moi. Je ne peux passer outre sans avoir la vérité en tête. « Tu n'as pas un téléphone au bureau ? Je me suis inquiété, en plus d'être en colère. » Je m'exclame avec agacement pour te faire comprendre qu'il y a toujours un moyen de prévenir. « Ils sont chiants à toujours te coller aux plaintes de dernières minutes. Moi aussi j'ai des plaintes à effectuer. » Plainte de ne pas avoir assez mon homme à la maison ; plainte de ne même pas manger avec lui le soir ; plainte car tu as oublié de ramasser ton boxer au sol ce matin, par précipitation. Moi aussi, j'ai du temps à t'accaparer, moi aussi, j'ai besoin de toi. Mais j'ai l'impression d'en faire des tonnes, de ne pas avoir le comportement approprié, alors je me résous à être compréhensif. « J'imagine que ça devait être une grosse affaire pour que ça te prenne une heure. Désolé. » Je hausse les épaules et te pardonne d'une voix douce, plus apaisée. Après réflexion, tu n'as sans doute pas pu faire autrement, ce n'est pas entièrement de ta faute. Tu me rends un objet, je le déballe et découvre une magnifique gourmette à mon nom, sur laquelle est gravée la date de notre premier baiser. Une délicate attention qui provoque quelques battements irréguliers de mon cœur. Tu t'assois à mes côtés sur le canapé tout en me donnant les raisons qui t'ont poussé à acheter ce cadeau. Tes arguments me déboussolent, ta tendresse est comme un souffle subtile contre ma poitrine. C'est rafraîchissant, agréable, d'être aimé autant. « Merci. » Je te réponds simplement sans m'étaler. Mes yeux devenus clairs par les larmes qui s'y noient dévoilent parfaitement le trouble qui m'agite. Tu me touches. « Ah ouais ? Vas-y, raconte. » J'ai envie d'entendre de jolis histoires, de me raccrocher aux souvenirs doux du temps où l'amour n'était que passion. Tu me relèves pour me serrer contre toi et embrasser ma bouche avec fougue, entremêlant nos langues ensemble. Tu déverses ta fierté en moi, par un baiser, par ton toucher. C'est si bon de sentir ton affection, ton admiration aussi ; c'est ce dont j'avais le plus besoin ce soir et tu es capable de me l'accorder, malgré tout. « Tu devrais avoir peur, je pourrais exiger beaucoup de toi. » Tu t'éloignes en lâchant ma main, à mon plus grand malheur. J'ai envie de me blottir contre toi, me noyer dans ton amour. « Je pense qu'on pourra bientôt partir en vacances avec tout ce fric gagné. » Je te confie avec un sourire en me rasseyant sur le canapé. Je t'attends, j'ai envie de manger devant la télévision, tranquillement, au chaud, avec toi à mes côtés. Une soirée simple en perspective qui chassera toutes les zones d'ombre de notre couple. Le bras posé sur l'accoudoir et retenant ma tête, je t'observe de loin, alors que tu t'appliques à réchauffer les plats dans notre cuisine ouverte. Je te contemple, te dévore des yeux sans pudeur. Ton petit cul surtout. J'aimerais bien te botter le derrière pour t'apprendre les bonnes manières. Et je sais déjà ce que je vais te demander pour te faire pardonner. Je souris en t'observant, je me rends compte que pour rien au monde, je voudrais manquer cette vision. Te voir cuisiner pour rattraper tes erreurs, te défaire de la culpabilité... alors que tu détestes ça, cuisiner. « Ne crame pas tout, ça devrait être bon. » Je te préviens quelques minutes plus tard pour que tu sortes les plats. Tu les amènes jusqu'à nous, les posant sur la petite table de salon. Je commence à picorer d'une main, et l'autre vient attraper la télécommande pour allumer l'écran face à nous. Je savoure le plat, même réchauffé, c'est délicieux. Puis, avec un sourire aux lèvres, amusé et enjoué, je me penche de ton côté pour venir embrasser ton oreille et susurrer quelques mots salaces. « Une fellation... Après manger. » C'est ce que je veux. Surtout que ça fait longtemps que je n'en ai pas reçu une ; c'est l'occasion d'en profiter. Je souris en reprenant ma position initiale, tentant de créer un climat convivial, d'instaurer une certaine complicité entre nous.
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MessageSujet: Re: Je suis désolé (Jamias #1)   Je suis désolé (Jamias #1) EmptyDim 8 Jan - 22:41

tu me connais bien, tu sais que plus que le rejet, c'est l'indifférence qui me tue. Mais je suis le seul fautif et donc je ne peux pas t'en vouloir alors que tu ne réagis pas à mes attentions. Mon cœur se serre mais je ne pipe mot. Je laisse mes mains posées sur tes épaules, en me disant que si tu aurais voulu te soustraire à mon contact, tu l'aurais fait depuis belle lurette. Mais tu ne peux t'empêcher de me lancer des piques. Je les encaisse silencieusement. De toute manière je sais que je suis le seul responsable de tout le gâchis de cette soirée. Je n'avais pas mesuré le taux de ton inquiétude, trop habitué à ce genre de déconvenue, pourtant je savais très bien que c'était une soirée spéciale. "Je t'avoue que je n'ai guère eu le temps de le faire, je sais que ça n'excuse rien... " Je suis dos à toi donc tu ne peux pas voir ma tête de chiot contrit, celle dont tu as tant l'habitude. Je resserre mon emprise sur ton épaules avant de sourire. " Alors tu devrais venir au commissariat pour porter plainte, je connais un agent qui serait ravi de prendre ta plainte... " J'embrasse le haut de ton crâne, je comprends totalement ton impression, parce que j'ai un peu la même sensation, si j'ai cherché à le faire, je me suis néanmoins laissé emporter par la surcharge de travail et la distance. Il est désormais temps de changer la donne. Et puis je ne suis pas contre un petit moment volé en ta présence dans mon bureau. Je suis heureux de voir tes yeux scintiller à la découverte de ce cadeau personnalisé. Je ne peux qu'essuyer tes larmes de joies avec un sourire collé à mon visage. Je plonge, à ta demande, dans le livre de nos souvenirs. Je me rappelle de cette fébrilité qui m'avait habité avant ce rendez-vous qui avait littéralement enflammé ma vie. Je t'attire contre moi pour te raconter cela. " Je me rappelle que j'avais passé toute la matinée à me préparer, je voulais être parfait pour ce rendez-vous, parce que je savais que c'était ce jour que je t'embrasserais. J'étais fébrile, car même si je savais que j'allais enfin découvrir le goût de tes lèvres, j'avais toujours cette crainte au fond de moi que je m'étais fais des idées. Mais je me rappelle que ce baiser, dès la seconde où tu as posé tes lèvres sur les miennes, m'a révélé que tu étais le bon " Je souris avant de te montrer combien j'étais fier de toi, et surtout amoureux. Je mettais de côté mes propres problèmes, mes propres questionnements. C'était ta soirée. Mais je m'éloigne de toi avec un sourire conquis. " Tu sais bien que j'aime quand tu exiges beaucoup " Je file à la cuisine tout en t'écoutant. "hum je ne dis pas non à des vacances, tu as une destination qui te plaît particulièrement ?" Je mets les plats à réchauffer, et je surveille car je suis loin d'être un cordon bleu. Je sens que tu m'observes, alors je me mets à bouger les fesses plus ou moins sensuellement. Je ne sais pas si le spectacle est digne d'être vu, mais j'espère qu'il attise ton désir, chose qui n'était pas arrivé depuis un moment. J'éteins quand tu me dis que c'est bon. J'éclate de rire, tu me connais bien, tu sais que je serais capable de tout faire crâmer. J'amène les plats sur la table du salon avant de nous préparer une assiette pour deux. Je m'installe confortablement alors que tu viens me susurrer ce que tu me demandes comme punition. " Je pense que ce serait un plaisir de t'offrir cela ce soir... Et tu pourrais me prendre après ? " Je hausse un sourcil avant de m'installer en travers du canapé, je t'attire contre mon torse, entre mes jambes, tu peux ainsi sentir on envie se gonfler contre tes hanches. Je pose mon menton sur ton épaule tout en picorant dans l'assiette que j'ai posé sur tes genoux. Seize ans de vie commune et toujours l'impression de ne faire qu'un avec toi, malgré les difficultés que l'on traverse. Ma main droite se glisse innocemment sous ton haut pour caresser ta peau chaude. " C'est délicieux mon amour " Je glisse mes lèvres dans ton cou que je dévore avec gourmandise. Puis je monte sur ta mâchoire avant de me contorsionner pour attraper tes lèvres. Et dire que cette soirée avait mal débuté.
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MessageSujet: Re: Je suis désolé (Jamias #1)   Je suis désolé (Jamias #1) EmptyDim 15 Jan - 23:09

Tu débarques dans le salon comme un ouragan, prêt à dévaster mon cœur par la rancune et la tristesse. Mais tout ce que tu parviens à faire, c'est balayer ma colère d'un simple coup de vent. Je reçois ton amour comme une rafale de tendresse, un flot d'affection que je savoure sans tarder. Tu chasses la rage en t'expliquant avec sincérité, en avouant les fautes commises. Et moi je me noie dans tes excuses, et t'accorde facilement le pardon. On parvient même à atteindre un stade peu escompté, celui de l'amusement, de la taquinerie fine. « Suffit de voir cet agent pour m'arrêter de me plaindre. » Je soupire de lassitude, blasé de toujours te pardonner si vite. Tu sais bien te rattraper, pour ma défense, à me serrer les épaules et à déposer des baisers contre mon crâne. Tu as compris que tu venais de réaliser une connerie, à ne plus consommer, c'est certainement l'essentiel. Pas besoin de faire la guerre éternellement, même si l'idée de te faire ramer est plutôt alléchante. Pourtant, je fonds également devant ton récit par rapport à notre premier baiser. Je me souviens de ta bouche gourmande contre la mienne, de tes mains accrochées à ma taille, et des miennes à ton cou. C'était un premier rendez-vous fabuleux, romantique, idéal d'une certaine manière dans le côté naturel qui en dégageait. On n'avait rien prévu, tout était improvisé. Et c'est ça qui était profondément beau, qui rendait notre étreinte plus magique. Tu m'avais donné le goût de la vie en bouche alors que mon cœur avait été réduit en poussières par un autre homme. Tu m'as offert l'espoir, tout incrusté contre tes lèvres exquises. Et je n'ai pas cessé de le suçoter du bout des miennes durant quelques secondes, prêt à me laisser emporter par ce sentiment nouveau. « J'aurais été incapable de te repousser. J'attendais ce moment depuis des semaines. Je suis bien content d'avoir osé. » Tu files finalement dans la cuisine pour rattraper tes erreurs, cuire les plats que je t'avais concoctés avec amour. « L'Islande, la Norvège... Et toi ? » Je t'aurais cité Cuba en temps habituel, une destination devenue habituelle, où se trouve mes origines. Mais ça me rappellerait trop de souvenirs familiaux, et je n'ai pas le cœur de m'y rendre. J'étouffe toutefois ces raisons, sachant que je ne t'ai pas encore évoqué le coma de ma tendre mère.

Tu reviens finalement près de moi, alors que j'ai longuement contemplé tes fesses, parfois se secouant dans un rythme effréné quand tu as décidé de me faire un spectacle. Tu déposes une assiette sur la table basse, que je viens picorer. Je finis ma bouchée avant d'entreprendre un commentaire salace au creux de ton oreille. Tu me rétorques avec un désir palpable que je pourrais te faire l'amour ensuite, accompagné d'un haussement de sourcil coquin. « C'était l'idée. » Je te souris malicieusement en me laissant tirer par la taille. Tu te poses en travers du canapé pour allonger tes jambes, me laissant un espace entre elles pour que je m'asseye, le dos retenu contre ton torse. Un vrai petit couple de vieux, j'adore ça. Je suis si bien contre toi, à manger dans la même assiette. Nos deux êtres deviennent de plus en plus indissociables. Je sens ton sexe se gonfler contre mon bassin, ce qui provoque un sourire indéniable contre mes lèvres. J'ai réussi mon coup, je t'aurais ce soir. Je me presse davantage contre toi pour sentir ta chaleur enflammer encore plus chacune des parcelles de ma peau. Ton visage collé à mon épaule, tu t'empresses de grignoter en piquant dans l'assiette posée sur mes genoux. Tu me confies que c'est délicieux, avant de glisser une main sous ma belle chemise blanche, et d'embrasser ma nuque, ma mâchoire, puis mes lèvres en me faisant légèrement pivoter vers toi. « C'est ça, rattrape-toi petit con. » Je tarde à énoncer à propos de ton compliment balancé, les paupières closes, le bras retenant ma fourchette tombant dans le vide, tant le plaisir me transcende de toutes parts. Je n'ai même plus le goût de manger, ou alors, juste de te dévorer toi. Je me laisse faire plusieurs minutes, tu savoures mon cou, le mordilles, le parsèmes de légers baisers, tandis que ta main continue d'apprivoiser mon torse finement musclé. Cette position me frustre : je suis à ta merci mais je ne peux pas t'atteindre, ou difficilement. Alors je rouvre les yeux, reprends mes esprits, pose l'assiette sur la table avant de me tourner vers toi pour affronter tes yeux noisette, ton sourire amusé et ambitieux. Je leur fais face en me posant au-dessus de toi, une jambe coincée entre les tiennes, et une autre autour de celle de droite. Je viens embrasser tes lèvres, les accaparer durant un instant fougueux ; tandis que mon bassin retrouve le tien, et ma virilité gonflée heurte la tienne. Nos corps s'assemblent, se cherchent et se désirent, tandis que nos lèvres se mêlent, s'emmêlent, et se démêlent pour extirper quelques souffles de plaisir. 16 ans d'amour et de couple, et pourtant, tu m'excites encore comme un jeu adolescent prépubère.  
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Matthias Nikelsen
Matthias Nikelsen
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☞ BAFOUILLES : 3233 ☞ PSEUDO : Squirowl.
☞ AVATAR : Pedro Pascal
☞ CREDITS : squirowl
☞ MULTI-COMPTES : aucun

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MessageSujet: Re: Je suis désolé (Jamias #1)   Je suis désolé (Jamias #1) EmptyMer 18 Jan - 8:45

Cette soirée qui était pourtant mal partie, se passe magnifiquement bien. On avait réussi à désamorcer le conflit naissant. quand on faisait chacun des efforts, on était capable de communiquer sans se hurler dessus. Un vrai miracle. Finalement on était encore capable de passer une bonne soirée. Il fallait en profiter, le fil était encore ténu entre nous et il risquait de se briser en une seule seconde. Mais il était temps pour nous de profiter de ce répit. Pour une fois j'avais fais preuve de franchise en avouant des fautes, que trop évidentes de toute manière. Mais j'aspirais à ce calme, à une soirée un peu romantique. Cela faisait longtemps que l'on ne s'était pas retrouvé de cette manière. Tu avais fais de sacré efforts pour que l'on passe une magnifique soirée, alors je devais en faire pareil. Et puis au vu de l'odeur qui planait à l'intérieur de la maison, tu avais préparé mon plat préféré. Même si je ne le dis pas et je ne le montre pas vraiment, cela me fait énormément plaisir. Mais on dévie sur le fait que je suis un peu trop souvent prisonnier de mon travail. L'idée que tu débarques au bureau pour te plaindre de mon travail est très alléchante. " Sérieusement tu devrais y songer. L'idée est très tentante. T'avoir pour moi juste quelques instants en journée. Ça égaierais l'ennui de l'écriture des rapports.... " Je resserre mes bras autour de tes épaules, et dépose une nouvelle fois un baiser au creux de ton cou cette fois. Tu n'avais, apparemment pas l'esprit vengeur aujourd'hui. Tant mieux, je n'avais vraiment pas l'énergie de te tenir tête. Pas ce soir, alors que le boulot m'avait exténué. Je savoure tes bras, et l'odeur enivrante que tu dégages. Cette ambiance calme appelle les souvenirs à ressortir. Je me rappelle comme si c'était hier de notre premier baiser, et surtout de la manière dont on se tournait autour depuis que nos regards se sont croisés. Je n'avais connu que des échecs amoureux, mais tu as éclairci ma vie par ton apparition. J'avais voulu prendre mon temps pour ne pas tout gâcher. On avait pris le temps de se connaître avant que je ne puisse plus résister. Et je ne regrette pas. Mes plus belles années étaient indéniablement à tes côtés. De plus ma mère et ma petite sœur t'adoraient, et tu sais combien leur avis est important mes yeux. " J'en suis heureux aussi " Je t'embrasse avant de filer en cuisine. " Hum Finlande ou Australie. Mais la Norvège me plaît aussi. "

J'ai enfin réussi à ne pas faire cramer un repas. C'est d'ailleurs étrange que tu ne sois pas venu te coller à mes fesses pour surveiller que je ne brûle rien. À moins que le spectacle de mes fesses qui bougent dans tout les sens t'hypnotise. J'apporte l'assiette sur la table basse avant de m'installer sur le canapé, à mon aise. On va sur la pente délicieuse de la luxure. C'est toi qui avait commencé et je ne faisais que surenchérir. Je lâche un rire léger. J'entoure ta taille de mes bras tout en posant ma tête sur ton épaule. L'issue de cette soirée allait être délicieuse. Mais pour le moment je laissais mes pupilles savouraient le plat que tu avais préparé avec tant d'amour. L'envie gagnait le sud, et je sais que tu n'ignorais pas mon sexe gonflé contre ta hanche. Mais j'avais très envie de passer au dessert, la tension sexuelle entre nous décuplait alors je délaisse l'assiette pour glisser ma main sous ton haut. Je grignote ta peau, me délectant de tes réactions. Grâce à ma main je te ramène un peu plus contre moi. Je souris tout contre ta peau. " Le petit con t'aime... " Ma voix est rauque. Je décale l'assiette d'un coup de main alors que tu viens de la poser sur la table, alors que mes hanches se collent contre tes fesses. Je reprends avec envie tes lèvres, ma langue s'enfonçant entre tes lèvres. Je déboutonne à l'aveugle ta chemise pour avoir encore plus d'accès à ton torse et à ta peau bouillante. Tu te retournes et je peux enfin admirer l'étendue de ton désir. J'aime l'effet d'être emprisonné entre tes jambes. Je termine de déboutonner ta chemise avant de la faire glisser le long de tes bras.  la laisse tomber à terre et glisse ensuite mes mains dans ton jean, les posant sur tes fesses, au-dessus de ton boxer. Nos lèvres ne parviennent plus à se détacher, sauf pour reprendre notre souffle salvateur. Mes lèvres se baladent sur ton visage. J'aimerais bouger pour que l'on soit plus à l'aise et pourtant j'en suis bien incapable. Je masse tes fesses avec envie, laissant mes index s'aventurer plus profondément à travers le tissu. Je gémis alors que mon envie rencontre la tienne. " Encore.... Plus "
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MessageSujet: Re: Je suis désolé (Jamias #1)   Je suis désolé (Jamias #1) EmptyMar 31 Jan - 22:00

La soirée avait pris une tournure bien plus agréable que celle imaginée au préalable. Ma colère s'est rapidement envolée pour laisser place à une ambiance plus chaleureuse. Je déteste cette rage à ton égard qui reste coincée dans mon cœur ; je déteste simplement toutes les disputes qui se rattachent à nos vies. J'ai juste besoin d'exprimer mes ressentiments un instant, que tu les chasses d'un coup de main. Et c'est ce que tu t'appliques à faire, pour me noyer dans ton amour et ta tendresse. « Prépare-toi à avoir de la visite prochainement alors. » Je te souris tandis que tu installes les plats sur la table basse. « L'Australie peut vraiment être sympa. On partirait vraiment loin d'ici. » Je m'accorde à ton idée avant de trouver une autre alternative pour les pays qu'on a en commun. « On peut garder l'idée de la Norvège et Finlande pour plus tard, à compléter avec la Suède. Histoire de faire un gros voyage. Quand on pourra. » Tu sembles apprécier l'idée, mais ce n'est plus réellement le sujet lorsque tu nous détournes du repas et du sérieux imparable qui imprègne nos échanges. Au contraire, tu t'amuses à nous amener vers une étreinte plus sensuelle. Tu caresses mon corps avec plus de gourmandise que tu ne dévores le repas préparé par mes soins. On le délaisse complètement pour se retrouver avec désir. Je finis par atterrir sur toi pour pouvoir profiter de tes courbes à mon tour, de ta bouche sans devoir me plier vers toi. Tu retires ma chemise avant de glisser tes mains à l'intérieur de mon pantalon pour caresser mes fesses. Je sens même un de tes doigts se montrer plus intime que les autres. Je gémis tout contre ta bouche, avant de me laisser emporter par l'excitation, la passion vorace, pour une nuit d'extase comme tu aimes me procurer.
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