AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le Deal du moment : -50%
-50% Baskets Nike Air Huarache
Voir le deal
64.99 €

Partagez
 

 let the story begin (james)

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Anonymous
Invité
Invité

let the story begin (james) Empty
MessageSujet: let the story begin (james)   let the story begin (james) EmptyJeu 30 Mar - 20:07



let the story begin
I'm in love with the shape of you. We push and pull like a magnet do.


Fin de la journée. Un chat coincé dans un arbre, incendie dû à une fuite de gaz, incendie involontaire causé par une cigarette mal éteinte, accident de la route. T'as pas eu une seconde pour toi. La fatigue se fait doucement ressentir. Le soleil est encore bien haut, malgré l'heure avancée de la soirée, signe que l'été s'approche à grands pas. Tu soupires lentement, lassé de cette routine qui s'installe discrètement dans ta vie. Boulot, baise, dodo. Les jours qui se ressemblent n'ont aucun intérêt à tes yeux : une fois la nuit passée, tu les oublies. Seule la surprise présente la moindre importance. T'aimes quand les jours ne sont comme aucun autre. T'veux perdre pieds, perdre la tête. T'veux jouer à un jeu dangereux. Tu veux que le soleil brûle tes ailes de cire. Parce que tu te lasses. Parce que tu t'ennuies.

Tu retires cet uniforme que tu balances dans ton sac de sport. Tu retires le moindre bout de tissus faisant songer au soldat du feu que tu es. Tu retrouves ta place de simple citoyen britannique en enfilant ton t-shirt blanc et ton jean slim. L'astre solaire a suffisamment réchauffé l'asphalte et l'air pour qu'aucun frisson n'accompagne la brise de vent. Tu as même chaud. Assis derrière le volant, tu tournes la clé sur le contact, et le moteur ronronne. Le vrombissement du véhicule te berce le temps de quelques minutes, jusqu'à ce que tu te gares sur le parking. Tu récupères ton sac, claques la portière et t'empresser de monter les trois marches qui te sépare de ton loft. Tu n'as jamais eu une telle envie de t'enfermer dans cet appartement, froid de toute chaleur humaine.

Le temps que tu passes ici est trop minime pour penser décorer les lieux, ne serait-ce qu'en donner un peu de couleur aux murs ternes. Nouveau soupir glissant entre tes lèvres charnues. Alors que tu avances jusque dans la salle-de-bain, tu ôtes chaque vêtement un à un. Le tissus choit sur le parquet, dans un bruissement particulier. Tu saisis ton smartphone et tes doigts pianotent sur l'écran tactile. Ta routine, t'as beau la haïr, tu ne peux t'en passer. T'veux pas être seul ce soir. T'veux jamais l'être. Tu cherches son numéro dans ta longue liste de contact et lui envoies un sms. A lui, à cet homme dont tu ne connais presque rien. Cet homme avec lequel, pourtant, tu souhaites passer ta soirée. #17, Raventhorpe. Viens. Pryam. Envoyé.

Tu poses le cellulaire sur le bord de la vasque en marbre. T'es impatient de recevoir une réponse positive. Un sourire naissant à la commissure de tes lèvres, tu fixes l'écran rétroéclairé un instant, avant de concentrer ton attention sur tout autre chose. L'air frais caresse ton épiderme de sa main froide alors que tu pénètres dans la cabine de douche. Robinet d'eau chaude ouvert, l'eau glisse sur ta peau lisse, laissant s'échapper une douce vapeur qui se colle aux parois vitrées, au miroir. L'odeur de ton gel douche vient embaumer la petite pièce. Tu lèves la tête vers le ciel. L'eau ruisselle sur ton visage. Tes mains plaquent tes cheveux humides sur ton crâne. Tu savoures cet instant. Le plus doux de cette journée.

La fleur de douche se balade sur ton corps, laissant derrière elle un agréable parfum d'opium. Tu te rinces et coupes l'arrivée d'eau. Tu as à peine le temps de t'enrouler dans une serviette sèche que ton portable vibre : un nouveau message. Ce dernier te fait arquer un sourcil. Sourire amusé, tu accroches la serviette à tes hanches et te diriges vers la porte d'entrée que tu ouvres. « Salut. » tu dis avant de te mordre la lèvre inférieure. Quelques gouttelettes traces un chemin sur ton torse. « Je ne pensais pas que tu viendrais si vite. Entres. » Le mot "pudeur" ne fait pas parti de ton vocabulaire. Si bien que tu ne te rends pas compte que ta tenue serait susceptible de le mettre mal à l'aise. Tu ne peux malgré tout t'empêcher de pense que tôt ou tard, la vision de ton corps, ta nudité que tu prends plaisir à exhiber ne deviendra qu'un besoin à assouvir.

Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité

let the story begin (james) Empty
MessageSujet: Re: let the story begin (james)   let the story begin (james) EmptyVen 14 Avr - 18:30



let the story begin
I'm in love with the shape of you. We push and pull like a magnet do.


"#17, Raventhorpe. Viens. Pryam." Mon œil se soulève dans une réaction ébahie lorsque je reçois ce message. Mon portable affiche le contact en inconnu, mais je ne tarde pas à me souvenir de ton identité. Brun ténébreux aux yeux sombres ; jeunot impétueux et dominant qui s'est servi de mon corps pour se soulager. J'ai savouré aussi de mon côté, je me suis déchargé d'une excitation trop conséquente et de frustrations trop palpables. Le lendemain matin pourtant, j'ai eu ce goût amer en bouche, et l'impression soudaine de n'être qu'une putain. Je n'ai plus l'âge de me laisser emporter par le désir le temps d'une nuit, d'une extase consumée. Je n'ai plus l'âge non plus, normalement, de me jeter dans les bras d'un homme pour une étreinte lascive et passagère ; à m'oublier, à m'abandonner dans la jouissance extrême. Tu m'as entraîné dans les abîmes du plaisir et je m'y suis perdu. Tu m'as permis de négliger les parts sombres de mon existence et de sentir des émotions s'emparer de mon être, tout doucement, puis brutalement. Alors quand je lis ton message sur mon portable, je m'étonne d'abord, puis la tentation arrive. Je veux oublier Matthias, la douleur qu'il m'inflige par son absence ; je veux oublier cette sensation de délaissement, de n'être plus attirant. Alors sans te répondre, j'enfile un manteau et me guide jusqu'à ta porte après plusieurs minutes de route. Comme ça, sans réfléchir une seconde supplémentaire. J'en ai assez de penser, de songer à la souffrance, aux alternatives ; je veux mettre mon cerveau en pause. Je t'envoie un message pour te prévenir de ma présence et tu m'accueilles. Ton corps dégouline d'eau, ton odeur parfumée se faufile jusqu'à mes narines, tandis que tes dents mordillent contre ta lèvre inférieure. Cette vision te rend cruellement désirable. Je t'observe un instant, feignant l'étonnement pour me donner une bonne excuse de te contempler. « Je vois ça. » J'esquisse un léger sourire en croisant ton regard, avant de rajouter : « J'étais libre. » Je t'épargne les longs discours sur mon état de fébrilité et mon incapacité à faire quelque chose de mes journées. J'étais posé sur mon canapé, à regarder des comédies qui ne m'ont pas procuré un soupçon de joie dans le cœur. « Ça nous évitera de perdre du temps. » Je balance concernant ta tenue, avant de me laisser la liberté de m'introduire à l'intérieur de ton appartement. « Je serais venu plus tôt si j'avais su. » aurais-je bien envie d'ajouter, pour complimenter ton physique attrayant, mais je ne suis pas un séducteur. Je n'ai plus l'habitude de jouer de mon charme, si toutefois il est existant.
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité

let the story begin (james) Empty
MessageSujet: Re: let the story begin (james)   let the story begin (james) EmptyMar 2 Mai - 23:54



let the story begin
I'm in love with the shape of you. We push and pull like a magnet do.


Ce court instant de douceur dans l’intimité de la cabine de douche, tu le savoures. Ces moments sans état d’âme sont si rares ces derniers temps, que tu en apprécies chaque seconde, minime soit-elle. Quelques fois, le visage brûlé des victimes des flammes s’impose à ton esprit, d’autres fois, celui de ton père, allongé dans ce lit qui sera le sien pour toujours, le souvenir de ta mère bien loin d’être aimante. La fleur de douche décrasse le moindre pore de ton épiderme, et le gel douche pour homme y laisse un doux parfum ambré que tu apprécies de moins en moins, au fil du temps. L’eau ruisselle à nouveau sur ton corps pour te débarrasser du nuage de mousse créer par les frictions que tu t’infliges. Tu pousses un long soupir satisfait, alors que tu t’enveloppes dans une serviette. Tu noues cette dernière dans le creux de tes hanches et un nouveau message vient perturber le cours de tes pensées. Agréable message qui apaise tes mœurs. Sans prendre la peine de te vêtir, tu te précipites dans l’entrée, poussant ton sac du bout du pied. Dans l’encadrement de la porte, tes pupilles se perdent dans les siennes, avant qu’elles ne se laissent porter par les courbes de son corps. Tu te mords la lèvre, réflexe que tu ne peux réprimer en présence d’un homme si attirant. Tu humidifies tes lèvres et te pousses pour le laisser entrer. Tu fermes la porte derrière lui. Ça nous évitera de perdre du temps. Involontairement, diras-tu, ta serviette vient joncher le parquet flottant, exhibant ta nudité. « En effet. » te contentes-tu de rajouter. Tes jambes suppriment la légère distance qui te sépare de sa silhouette et tes mains se glissent sous son haut, tes lèvres dans son cou. T’as pas envie de perdre ton temps, ce n’est pas ton genre. Ton bassin se presse contre le sien. Tes doigts dessinent le contour de tes tétons. Sans réfléchir, tes lèvres viennent se plaquer sur sa bouche. Ta langue tente de se frayer un chemin entre ses lèvres pour retrouver sa comparse, pour une courte danse. À bout de souffle, tu recules légèrement pour venir murmurer quelques obscénités au creux de son oreille, avant de mordre le lobe de celle-ci. Tu ne fais pas semblant : tu laisses apparaître ta véritable nature, celle de l’homme avide de sexe, de plaisir charnel et chaleur humaine. Dans le fond, ce cœur de pierre a terriblement besoin d’affection. « T’as prit une douche ? Ça ne me dérange pas d’y retourner pour toi… » susurres-tu, sensuellement. Tes mains habiles découvrent une nouvelle fois son torse, puis se perdent sur son postérieur. Elles se glissent sous l’élastique de son boxer, alors que ta virilité s’anime avec quelques pensées lubriques.
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité

let the story begin (james) Empty
MessageSujet: Re: let the story begin (james)   let the story begin (james) EmptyVen 9 Juin - 22:49



let the story begin
I'm in love with the shape of you. We push and pull like a magnet do.


Qu'est-ce que je fous là ? Je l'ignore. L'envie de m'aérer les neurones ou l'envie de me sentir désirable peut-être. J'aimerais apercevoir une pointe d'excitation dans les yeux d'un homme, en plus de vouloir ressentir la passion me grignoter les entrailles. Je voudrais que la morosité qui se coince dans mon être se dissipe pour être remplacée par des émotions plus positives. Une petite touche d'engouement et de séduction pourrait certainement m'éviter de couler dans cet océan de souffrance. Alors mes pas me guident jusque chez toi, Pryam, petit jeunot tatoué qui donne ce goût de s'envoyer en l'air à juste t'observer. Tu m'ouvres sans tarder, m'accueillant avec une simple serviette autour de la taille. Je souris intérieurement devant cette vision, sans trop savoir s'il est question d'un acte de séduction pour éviter le malaise de s'installer. Je n'ai plus besoin de songer à comment tourner la situation vers la luxure, puisque tu es un professionnel dans le domaine. Tu maîtrises, domines la scène en faisant glisser au sol le seul tissu qui te séparait de la nudité. Je ne suis pas suffisamment nerveux pour regarder ailleurs, alors je te sonde pour profiter de ton corps de mes yeux. Tu me donnes toutefois rapidement l'occasion de le savourer de mes doigts, puisque tu détruis la distance imposée entre nos deux corps. Tu la réduis au point que nos peaux se caressent avec sensualité, prêtes à s'assembler. Je sens tes mains se glisser audacieusement sous mon t-shirt, tandis que ta bouche s'amuse à me titiller le creux du cou. Des pointes de frissons parcourent mon ventre, tandis que mes reins s'enflamment à ton contact. Tu sais hypnotiser les gens pour leur soutirer tous leurs maux et les éloigner de leurs cœurs. Tu sais déverser de la fougue en bas du ventre, de l'envie profonde dans l'esprit. Je savoure chaque action que tu as l'audace d'accomplir, même le bisou que tu m'accordes. Nos langues s'emmêlent, se procurent une touche de passion incomparable. Chaque échange embrase mon corps avec tant d'intensité que ça m'en brûle les tripes. Je sens même tes mains se glisser contre mon fessier, sous mon boxer, pour activer d'autant plus mon excitation. « Ici, c'est bien. » Je murmure doucement en venant m'accaparer de nouveau tes lèvres pour un baiser passionné. Je ne veux pas que cette flamme relâche sa puissance ; pas envie non plus que tes bras cessent de parcourir mon corps avec autant de désir. Je refuse de quitter ta peau chaude ne serait-ce qu'un instant, alors je m'accroche à ton bassin de mes deux bras pour freiner ton idée. J'ose même les descendre contre tes fesses pour exercer une pression ferme dessus. Ton corps dénudé contre le mien est un véritable délice. Tu es d'une beauté sans nom, qui vient illuminer mon regard et ma soirée. Je te le fais comprendre en te renvoyant un regard conquis, puis en déboutonnant mon jean pour rendre plus accessibles tes mouvements. Je me presse contre toi pour sentir ta virilité tendue, et toute l'excitation que tu ressens pour moi. Putain ce que c'est bon de se sentir vivant juste durant un moment de plénitude.  
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé

let the story begin (james) Empty
MessageSujet: Re: let the story begin (james)   let the story begin (james) Empty

Revenir en haut Aller en bas
 

let the story begin (james)

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

 Sujets similaires

-
» Everybody's got a story they must tell an'
» Sorry ! I can't do that ! [Pv James]
» Are you here, James?
» Un jour, j'suis né depuis j'improvise ♥ James
» Retrouvailles entre frère et soeur | Charlie&James

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
WALK LIKE YOU :: BAD CRAZY :: LES RPS ARCHIVES-